Dans l'obscur reflet de son âme

Prologue

Quand les sentiments sont purs, on ne peut les cacher très longtemps, car ils nous rattrapent plus vite que l'on ne le pense. Ils y a des mots que l'on ne dit pas ou pas assez fort.

C'est surement ce qu'il c'est passer entre moi et ce dieu froid comme la glace, mesquin et joueur.

Mais pour mieux le comprendre, revenons-en au moment où nos regards ce sont croisé pour la première fois.

C'était le printemps, sur un banc dans mon parc préféré de la ville, le plus grand soit disant passant. J'avais l'habitude de m'assoir sur un celui-ci qui se trouvait face au lac qui surplomber le centre de celui-ci. Le soleil briller plus fort que d'habitude ou peut être que dans mes souvenirs je lui est donner plus d'importance pour me convaincre que ce jour était parfait en tout point.

Il y avait également une douce brise qui faisait bouger mes long cheveux coloré au rythme de mes pas peut assurer. Je fini par arriver à mon banc habituel ou je revenais chaque jour après mes journée de travail longues et éreintante.

Mais cette fois une personne y était déjà installer. Il était assis là entrain de pianoter plus fort qu'il ne le faut sur son Gsm. Je pense avec le recul qu'il devait être en colère après son interlocuteur. Ce Monsieur poussé de long soupir à en faire culpabiliser la brise présente tant ils étaient fort.

Celui-ci avait un regard noir et à faire pâlir toute personne qui osé s'approcher de lui, des lèvres charnus et une coupe à en faire jalouser certain personnage ultra sexy des séries que toutes les femmes regardes pour mater le Bad boy de l'histoire.

Au bout de quelques minutes nos regard ce croisât :

- Je vous dérange peut être Mademoiselle ?

- Euh, ah, euh non du tout ce banc n'ai pas à moi qui qu'onques souhaite si assoir, le peut.

Mais quel cruche je suis d'avoir dit cela, je m'assainis des claque mentale.

J'étais resté une bonne demi-heure assis à contempler le lac et à repenser à ma dure journée de labeur puis je suis rentré chez moi tranquillement.

Une fois glissé sous mes draps, ma main avait rejoint ma tendre boule d'amour pour un moment de plaisir.

Cet étranger m'avait définitivement retourné la tête.