Shanks X OC // Au Delà Du Rêve.

Chapitre 18

Anecdotes de l'écriture :

Au tout début du chapitre précédent, au moment que la fille pleurait et cherchait sa mère....

Nous avions hésité à la tabassé a mort.

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Je regardais la salle, les yeux plissés. Je pouvais sentir leurs regards posé sur moi, m'oppressant. Complètement dans les vapes, je n'arrivais pas à réfléchir sereinement.

PDV SHANKS

Je découpe le dixième doigts lentement, prenant plaisir d'entendre ses gémissements de douleurs.

Il en était à 100.

Moi : Ooh... Tu as bientôt terminé les 1000. Brave garçon.

Je tapote sa tête.

Je le regardais songeant à ma prochaine action.

Moi : J'ai retire tes doigts qui l'ont toucher, ton regard sale. Oh ! Et si je découpe tes oreilles ?

Je le regardais faire non avec la tête complètement à bout. Dommage que je n'ai pas terminé avec ses yeux pour regarder ses yeux remplis d'effroi et de terreur.

Moi : A ton avis... Lequel je vais couper en premier ? Celle ci... Mmmh.. ? Où celle-la ?

Il tremblait des lèvres alors qu'il continuait à soustraire ses nombres.

Moi : Tu pourrait répondre. Impoli. Allé ! Je compte jusqu'à trois et je coupe !

Il gémit de terreur. Comptant de plus en plus vite.

Moi : Un... Deux.... Trois !

Mais je ne fis rien, ne bougeant plus attendant qu'il baisse sa garde.

Quand il se détend légèrement et souffle, je tranche son oreille. Surpris, il hurle de douleur.

Tingo : J-j'ai une famille... S'il te plaît.
Moi : Rien à foutre. Tu as pensé si ma douce Lucie n'avait pas une famille elle aussi ?
Tingo : Désolé ! Si j'avais su-
Moi : Tais-toi. Tu gâche mon plaisir.
Tingo : Mais Luc-
Moi : Ne prononce pas son nom !

Je donne un énorme coup dans son estomac.

Moi : Écoute moi bien petite merde.... Par ta faute elle est dans un trafique d'esclaves ! Par ta faute elle aura l'esprit tromatiser ! Par TA faute, j'ai déjà brisé ma promesse de la protégé de tout ! Alors écoute moi bien... Si par malheur... Elle a le moindre fêlure, le moindre blessure, je traquerais tes amis, ta famille, les uns après les autres et je les tuerait et si tu à une petite amie, je la vend a des trafiquants d'esclaves.

Il avait blanchit.

Moi : Reprenons.

Je lui affligé des coups sur l'entièreté de son corps, le sang éclaboussant. Quelques dents tombaient, la jambe plié anormalement, la tête en sang, les mains coupé et brisé, les hématomes, l'oreille de droite tranché, le nez gonflé. Il avait quelques côtes brisé et déplacer ainsi que le poumon de gauche perforé.

Il cria zéro, pleurant du sang, sachant qu'il était sauvé et que tout cela s'arrêterait.

Tingo : J-je vais vivre !
Moi : Comment ça ?
Tingo : C'était notre accord ! Si j'arrive à Zéro, tu me laisses vivre !

Il avait parler d'une voix rauque et brisé.

Moi : C'est vrai. J'ai dis ça.

Il eut le sourire aux lèvres alors que le miens se fit plus grand. Bien plus grand.