Chapitre 4:

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C'est en hurlant que je suis sorti de mes songes. Je réalise que j'ai un homme en train de me culbuter et un autre qui lui entre par mon autre orifice. Je suis paniquée et déchirée. Je n'en peux plus. 2 ne suffit pas, non voilà maintenant qu'ils me prenaient à 2. Je reconnais assez vite qu'ils sont des guerriers de notre meute. Mes larmes dévalent sur mes joues tel un toréant et malgré le peu de voix qu'il me reste, je hurle tellement j'ai mal. Après un moment ils se retirent en même temps, un râle parce qu'il a du sang sur lui alors que l'autre dit que ce n'est rien d'en profiter. Ils échangent donc leur place et sans perdre de temps ils s'enfoncent en même temps. Mes hurlements sont tellement grands que je perds connaissance immédiatement.

Cette fois quand j'ouvre les yeux, je suis complètement nue, la maison est calme et je comprends donc que le gala est terminé. Je cherche mes vêtements mais je les retrouve en lambeau non loin de moi. Je me recroqueville dans un coin et pleure de douleur et de haine. Je me promets que si je survie à ça, je tuerais de mes propres mains Kyle et toutes les personnes qui ont osé abuser de moi. Le reste de la nuit, je n'ai pas dormi et quand la porte s'ouvre une nouvelle fois, je sursaute. Je reconnais malgré l'éblouissement la carrure de Kyle. Il s'approche de moi et me fait un sourire.

- Je te félicite Kara, tu as bien fait ton travail hier soir. Toutes les conversations étaient basées sur toi. On pouvait même entendre tes hurlements ce qui était je dois bien me l'avouer tellement excitant de savoir que tu donnais du plaisir à mes convives.

- Pourquoi ? Lui demandais-je en murmurant.

- Pourquoi quoi ? pourquoi tu es là ? C'est très simple, je n'ai jamais pu te voir en peinture. Quand on était jeune je cherchais déjà se que je pourrais bien faire de toi quand je serais l'alpha de cette meute. On dirait que j'ai fini par trouver. Les hommes payes cher tu sais pour pouvoir baiser sans que leur compagne le sache.

- Je ne t'ai jamais rien fait. Lui dis-je sans jamais le regarder.

Il me fait un grand sourire.

- Tu es la fille des traitres Kara, c'est largement suffisant. Vu la haute trahison qu'a fait tes parents et le danger qu'ils ont mis sur notre meute, je trouve tout à fait normal que toi leur fille tu paies leur dettes et comment la payer mieux qu'avec ton corps. Tu le mets à disposition de chaque personne qui en on envie, après tout tes parents ont failli les faires tués.

Je comprends alors assez vite que tout ça n'est que le début. Il a mis mon corps à la disposition de chaque homme dans cette meute... Je ricane en réfléchissant, notre meute est composée de 75 pourcents d'homme.

- Tu sais, j'ai eu que des bons retour, surtout de Marco, il était ravi de pouvoir faire sortir cette violence sexuelle...

- Tu ne pourras pas faire ça éternellement tu sais, quand j'aurai ma louve, elle ne se laissera pas faire.

- Je sais, mais pour le moment tu ne l'as pas et quand tu l'auras, je trouverais bien un moyen pour la tenir sage.

Après quoi il laisse glisser sa main le long de ma cuisse me donnant des frissons de dégout. Quand sa main s'approche dangereusement de mon sexe, il s'arrête, se relève avant de sortir.

Peu de temps après la porte s'ouvre une nouvelle fois. On dépose cette fois une assiette de viande crue et une bouteille d'eau à l'entrée.

- L'alpha te fait savoir que tu dois prendre des forces parce que la liste est longue. Me dit une ado avec un sourire en coin.

Puis elle finit par sortir. 

Je te rejette alpha !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant