13, Ayame

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Chapitre 13, Ayame.
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« Comment ça se fait que je sois en vie, tu avais dit que ... »

Satoru : J'ai transférer mon énergie occulte en toi, personne n'y avais penser parce que ça n'étais jamais arriver que deux héritiers soit sur terre en même temps, mais nos énergies étaient donc compatible.

« C'est malin, je m'étais fait à l'idée que j'allais mourir. »

Satoru : On peut vraiment dire que je suis ton sauver maintenant.

« C'est le moment où tu me dis que c'est parce que t'es l'homme le plus fort du monde ? »

Satoru : C'est même plus drôle maintenant que tu anticipes mes réponse.

Tu serres la main de ton mari avec affection, profitant de sa présence réconfortante et de sa douce chaleur. Dans ce moment d'intimité partagée, tu te sens enveloppé par son amour et son soutien inconditionnels. Sa main dans la tienne est un lien tangible qui vous unit, vous rappelant que vous êtes plus forts ensemble.

« Je tenais à m'excuser, j'ai fuis alors que tu m'avais dit la vérité, j'étais frustré du fait que tu me touches pas, mais pendant que je parler à ta mère, j'ai compris pourquoi tu l'avais fait »

Satoru était surpris, son regard empreint de curiosité alors que tu lui révèles que tu as parlé à sa mère défunte pendant le court instant où tu étais partie de l'autre côté. Il semble un mélange d'étonnement et d'émotion dans ses yeux, comme s'il était à la fois fasciné et touché par cette révélation. Une preuve peut-être que les liens familiaux peuvent transcender même la frontière entre la vie et la mort.

Satoru : Tu as parlé à ma mère ?

« C'est pour ça que tu as choisis le prénom d'Ayame ? C'était une belle femme, j'ai pus la rencontrer parce que... je suis morte quelques minutes n'est-ce pas ? »

Satoru : Oui...

Ton mari baisse les yeux, submergé par le souvenir douloureux de ton corps sans vie. Tu poses doucement une main sur sa joue, sentant la tristesse qui l'envahit. Puis, dans un geste empreint d'amour et de réconfort, tu viens déposer un baiser doux sur ses lèvres. C'est une manière de lui montrer que tu es là, que tu es vivante.

« Avant de revenir, elle m'a demander de t'embrasser, elle veille sur toi, de là où elle est. »

Satoru : Tépé...Merci de me dire ça, ça me fait plaisir de savoir que... malgré que je ne l'ai jamais rencontrer, j'ai une mère qui veille sur moi.

« En parlant de mère, je peux voir Ayame ? J'ai même pas eu le temps de la voir. »

Satoru te prend dans ses bras, répondant d'un "oui" tendre à ton geste. Il fait attention à toi, sachant que tu es encore sous anesthésie et que tu as dû être recousue en bas. Malgré la naissance prématurée de ta fille, cela avait dû créer pas mal d'agitation en bas.

Un médecin vient vérifier tes constantes, s'assurant que tu as assez de force pour aller voir ta fille. Une fois que tu es jugée apte, un infirmier t'aide à t'installer sur un fauteuil roulant et Satoru te pousse doucement vers le service de néonatologie. Tu es impatiente de rencontrer ta petite fille.

Dans la salle, tu découvres plusieurs couveuses, et Satoru s'approche de l'une d'elles. C'est là que tu vois enfin ta fille, blottie à l'intérieur.

Elle était incroyablement petite, attachée à tant de machines pour l'alimenter, pour qu'elle respire. C'était déchirant de la voir ainsi, si fragile et dépendante de ces appareils pour survivre. La vue de ta fille dans cette situation te remplissait les yeux de larmes, tandis que ton cœur se serrait douloureusement devant la réalité de sa fragilité.

Tu luttais pour garder ton calme, essayant de rester forte pour elle, mais chaque fil et chaque tuyau qui la retenait à la vie semblait renforcer ton sentiment d'impuissance. Dans cet instant, tu aurais donné n'importe quoi pour pouvoir la prendre dans tes bras et la protéger de tout mal. Mais pour l'instant, tout ce que tu pouvais faire était de rester à ses côtés.

« Elle est si petite, si fragile. »

Satoru : Les médecins s'occupent tous d'elle, elle est la plus grande prématurée de l'hôpital, ils sont tous aux petits soins.

« Ça me rassure pas de savoir que c'est la plus grande prématurée, Satoru. »

Satoru : Ce n'est pas le plus jeune prématuré qu'il ont vu et ils ont survécu, l'hôpital est l'un des meilleurs de la région et puis...En tant qu'exorciste ayant le sixième oeil, je ressens son énergie, il n'y a pas soucis à se faire.

« Vraiment. »

Avec précaution, tu passes tes mains à travers les trous de la couveuse, tes doigts glissant à travers les mailles délicates. Tu portes des gants, bien sûr, consciente que tu ne peux pas la toucher directement pour le moment. Pourtant, tu veux lui transmettre tout ton amour et ta présence, même à travers cette mince barrière qui vous sépare.

Tu caresses doucement le bord de la couveuse, tes gestes empreints de tendresse et de douceur. Tu murmures des mots doux à ta fille, lui promettant que tu es là pour elle, que tu l'aimes de tout ton cœur. Même si tu ne peux pas la prendre dans tes bras pour l'instant, tu veux qu'elle ressente ta présence et ton amour, même à travers cette distance.

« Je disais que Takuma, te ressemble mais, c'est ton portrait caché »

Satoru : Que veux-tu, quand je fais des bébés je transmet mon ADN, bien comme il le faut.

« Ouais mais j'aimerais bien que l'un de mes enfants me ressemble quoi. »

Satoru : une prochaine fois peut-être.

Satoru te taquinait avec un sourire en coin, essayant de détendre un peu l'atmosphère et d'alléger l'émotion palpable dans la pièce.

« Dans tes rêves. »

Gojo Satoru : L'enfant caché [Tome 2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant