Gojo Satoru : L'enfant caché [Tome 2]

2, La famille Gojo

Ce voyage de rêve prit fin le lendemain, tu avais profiter de ce long trajet en avion, pour te reposer, la main de ton chère et tendre posait sur ton ventre bien rond, cinq mois, ça faisait déjà cinq mois que tu portais votre fille.
Ces derniers mois avait été si tranquille, profitant de ces instants de bonheur, mais la, tu avais une seule hâte, c'était de voir ton fils, Takuma après cette semaine de pure détente.

Arriver à l'aéroport de Tokyo, vous sortez de la zone de débarquement, vos valises à la main.

Takuma : Maman ! Papa !

Votre fils vient à votre rencontre, heureux de vous revoir, il était accompagné de Shoko, qui l'avait gentiment accompagné.

Satoru : Takuma, te voilà.

Satoru fut le premier à prendre Takuma dans ses bras, les deux hommes de la famille, c'était beaucoup rapprocher.
Puis Takuma vient te faire un câlin.

« Bonjour mon trésor, j'espère que tu as étais sage. »

Takuma : Évidemment ! J'ai étais en mission avec mes nouveaux camarades de classe, tu verrais, je sort déjà du lot.

Satoru : Je n'attendais pas moins de toi, Takuma, je suis sûre que tu feras un excellent exorciste.

Takuma : Oui, il m'ont classer en classe 2, tu crois qu'un jour, je pourrais faire un classe S ? Je m'entraîne chaque jour, juste pour ça.

Satoru : Classe S ? Tu es ambitieux mais n'oublie pas que tu restes la plus jeune recrues à étudier à l'école d'exorcisme, chaque chose à la fois, Taku.

« Ton père a raison, tu fais sans aucun doute du plus jeune exorciste de l'histoire, sans l'approbation de ton père, n'oublie pas que cela n'aurait pas été possible, alors évolue mais doucement. »

Takuma : D'accord...

Shoko : Votre voyage c'est bien passé, ton malaise de la semaine dernière m'avait inquiétée.

« Tout va bien, Shoko. Satoru a prit bien soin de moi »

Satoru : Shoko, je devrais te parler seul à seul à notre retour à l'école.

« Seule à seule ? Je n'ai pas le droit de savoir ? »

Satoru : Je t'en parlerais juste après, ne t'en fais pas, Tépé.

Tu regardais ton mari, il avait ce regard si sérieux, même Takuma observait son père avant de regardait sa mère, plein de joie il prit sa main pour l'amener vers le taxi.
Le retour jusqu'à l'école c'était dérouler sans aucun soucis, tu étais rentré avec ton fils, posant les valises à la maison, pendant que Satoru était partie avec Shoko.

« Takuma, Tu sais ce qu'il se passe avec ton père ? »

Takuma : Non, mais son regard était super sérieux à l'aéroport, mais j'avais semblait y voir un soupçons d'inquiétude.

« De l'inquiétude ? Je n'ai rien remarqué. »

Takuma : Ça doit être dans les gènes Gojo. Je ressens sûrement des choses plus facilement... puis, je le vois bien que tu es fatigué en ce moment... Je vais m'occuper de ranger tes affaires, va te reposer.

« Je ne suis pas malade Takuma, tu es adorable mais, je vais bien, je te l'assure. »

Takuma : Nan maman, tu ne vas pas bien ... tu essaie d'être forte mais admet au moins ce que tu ressent. Ma sœur te pompe l'énergie...?

« Trésor, je t'assure que tu fais fausses routes. »

Takuma : Je ne crois pas, au début tu étais fatigué mais ça aller, je vois bien que depuis quelques semaines tu es vite surmené, tu es limite plus à capable d'assurer les cours à l'école.

« Je vais bien ! Pourtant on me surprotège comme si j'étais une enfant ?! »

Tu avais lever la voix, sans t'en rendre compte. Tu culpabilisais, cela ne te ressemblais pas.  Tu posais ta valises sur la table avant de l'ouvrir, pour toi, tout aller bien, tu n'étais pas aussi mal que le prétendais tes proches. Tu étais juste enceinte.
Tu pris tes affaires, défaisant ta valises, mettant le linge au sale et rangeant les accessoires dans la salle de bain.
Tu sentais d'un coup un gros coup d'énergie au fond de ton ventre, les vertiges revient, tu te rattrape posant tes mains sur la machine à laver, caressant ton ventre pour calmer cette agitation.

« Je vais bien, ça va aller, ma chérie, maman est là et elle va bien. »

Ayant eu le souffle légèrement coupé, tu reprenais doucement ton souffle.

-Point de vue Satoru-

Satoru, l'exorcisme de classe S et père de famille du clan Gojo, avait suivit Shoko jusqu'à son bureaux à l'infirmerie de l'école d'exorcisme de Tokyo.
Ce lieu était d'un calme réconfortant mais pourtant Satoru ne l'était pas.

Shoko : Peut tu me dires la raison de cette inquiétude que je perçois au fond de toi ?

Satoru : Tu le sais bien, Tépé, elle m'inquiète.

Shoko : Elle nous inquiète tous, j'ai cru que lors de son dernier malaise, qu'elle se serait fait mal sans le vouloir.

Satoru : Je sais qu'elle fait bonne figure devant tous, mais à moi, elle peut pas me mentir, elle va pas bien. Elle m'a posé des questions sur ma mère et ma naissance..

Shoko : Que lui as-tu dit ?

Satoru : la vérité, c'est la femme, je n'allais pas lui mentir.

Shoko : Satoru .... Il a des circonstances où si, il vaut mieux un mensonge réconfortant qu'une cruelle vérité.

Satoru : Ça dépend sur quel sujet.

Shoko : Donc tu as pensé que lui dire que ta mère était morte à l'accouchement était une bonne idée ?

Satoru : Shoko, j'aimerais juste que tu l'aides. Nous devrions commencer les transfusions de vitamines et d'énergie...

Shoko : Satoru, sans son accord, je ne peux rien faire... et tu le sais que jusqu'au bout... elle contestera, ça voudrais dire qu'elle sera alité 24h sur 24, elle ne l'acceptera pas.

Satoru : J'ai peur pour ma famille, ma femme.... Je comprend qu'elle veulent faire les choses naturellement mais... si cela devait la tuer ?

Shoko : Satoru .... Tu fais un bon mari et un bon père, tu trouveras les mots pour l'aider j'en suis sûre, continue à l'aider comme tu peux. Si son état ne se dégrade pas pour l'instant rien ne justifie des transfusions. Mais surveille la.

Suite à cette conversation Satoru prit congés, retournant chez lui, au près de sa famille et sa femme, quand il franchis le seuil de sa porte, l'odeur exquise d'un bon repas vient jusqu'à ces narines.
Depuis que la famille avait emménager dans un maison plus grande mais toujours au seins de l'école, Takuma continuer à parfaire son talent pour la cuisine, pour le plus grand plaisir des papilles gustatives de toute la famille.

Satoru : Fondu de poireaux accompagner d'une dorade royale mit cuit ? Hey ben, tu as des goûts de luxe mon fils.

Takuma : Je sais mais c'est super bon, je devais bien m'occuper pendant que maman gère sa crise.

Satoru : Sa crise ?

Takuma : Papa... j'ai essayer de lui parlé de sa santé, elle s'est emporter.

Satoru : Je vois.. et où est ta mère ?

Takuma : Dans la chambre en train de ranger les valises.