Gojo Satoru : L'enfant caché [Tome 2]

3, Un père et un mari

-Point de vue de Tépé-

Satoru : Est-ce que tout va bien ?

« Oui ! S'il vous plaît... arrêter de me surprotéger, je sais ce que vous essayez de faire, je comprend vos inquiétudes mais s'il vous plaît, prenez en compte mes sentiments... »

Satoru : Sache que je comprend ton ressentis, je m'inquiète énormément à ton sujet avec Shoko et Takuma.

« Je suis désolé pour ta mère, mais cela n'arrivera pas avec moi, tu me connais, je suis une personne forte »

Satoru : C'est parce que je te connais que je suis inquiet. Ma mère était malade, oui, mais elle était suffisamment puissante pour concevoir un héritier du sixième œil.

« Parce que je ne le suis pas ? »

Satoru : Tu es puissante mais la guerre de Manjiro t'a affaibli, tu dois bien le sentir.

« Même mort, tu continues de parler de ce fléau. »

Satoru : C'est la triste réalité, je ne veux pas que tu mettes ta santé en danger et celle de notre fille !

Tu regardes Satoru, les larmes commencent à se formaient au coin de tes yeux, tu les retirais avec le dos de tes mains, tu détestais cette situation.

Satoru : Écoute, Je t'aime terriblement, j'ai cru te perdre lors de ces combats, notre famille ne s'en remettra pas si nous devions te perdre, je t'en pries... je me mettrais à genoux pour te supplier s'il le faut.

« Je sais... Je pense que ce qu'il me fait si mal, c'est d'admettre que tu as raison... Je me sens si nulle et inutile, depuis que je suis enceinte... tu me touches même plus... J'ai l'impression que tu n'as plus envie de moi, et maintenant même prendre soin de la famille me fatigue... »

Satoru : Hey... mon cœur....

Tu t'asseyais sur le lit pour te calmer, ton chagrin était bien présent.
Ton mari, Satoru gojo mit ses genoux à terre face à toi, passant ses bras autour de toi, autour de ton ventre...
Tes mains prient place sur ces cheveux blanc, une habitude que tu avais pris.

Satoru : Je te désire ardemment. Si je ne touches pas c'est pour t'éviter de souffrir. Ton corps supporte déjà mal tout ces changements. Je veux éviter le plus possible les perturbations que pourrait cause notre bébé.
Je me bats pour le bien-être de cette famille... je te promet que dès que notre fille sera de ce monde, je re toucherais autant de fois que tu le voudra. Je te demande juste de patienter encore quelques mois.

« Tu me le promets ? »

Satoru : Et bien j'ai des devoirs conjugaux à tenir. Et qui ne voudrais pas avoir la plus belle femme de sa vie, dans son lit à ses côtés ?

« Qu'est ce que je dois faire ? »

Satoru : Demain, nous irons voir Shoko, pour la prochaine étapes à suivre, nous pouvons négocier un début de traitement pour que ça ne soit pas brutale pour toi, est ce que ça te va ?

« Cela m'aideras, moi et notre fille ? »

Satoru : Oui... cela nous permettra de souffler un peu sur ton états de santé.

« J'ai l'impression d'être un poids pour tout le monde... »

Satoru : Non, je fais mon travail de mari et de père.

Il levait sa tête, ces yeux bleues te transcendaient.
Il se relevait te donnant un tendre baiser, posant ses pouces sur tes yeux pour te débarrasser de ces dernières larmes.

Takuma, vous appelez, le repas était prêt, la table était joliment dressée, son plats présenter digne d'un restaurant étoilé, ton souriait face à cette évolution, fière de lui.
Il avait tant mûri en espace de quelques années, il devenait bientôt un ado, dans quelque mois il fêterais c'est 10 ans, mais il en paraissait plus.

«  Tu as fait beaucoup de progrès en cuisine »

Takuma : Il faut que tu manges sainement, j'ai bien cuit ton poisson, comme tu n'a pas le droit à la cuisson mit cuit.

« C'est délicat comme intention, je te remercie »

Takuma : J'aime vraiment bien cuisiner, ça me dépend et je suis heureux de vous voir manger avec autant d'envie et d'appétit.

Satoru : Crois-moi que je vais bien manger avec appétit.

« C'est Megumi qui t'apprend tout ça ? »

Takuma : Oui, même si c'est derniers temps il est beaucoup occupé, les missions des premières sont plus rapprocher que les nôtres en secondes. Entre ça et le fait qu'il a une copine maintenant.

Satoru : Sérieux ? Megumi, une copine ? Il m'en a même pas parler.

« Après, c'est un beau jeune homme, c'était sûr qu'il serait pas sur le marché des célibataires toute sa vie. »

Takuma : C'est une fille non-exorciste.

Satoru : Je comprend sa discrétion, alors.

Takuma : S'il vous plaît, soyez discret sur ça.

Satoru : Promit.

Vous profitez ensemble de ce repas en famille, dégustant cette magnifique fondue de poireaux et ton poisson bien cuit, malgres tout tu enviais leurs dorades mit cuits.
Le repas déguster, tu te levais pour faire la vaisselle, frottant les verres et les assiettes mais tu ressentes un énième coup, tu lâchais le verres, tombant à terre se brisant.
Tu manques de tomber et tu te rattrapes grâce au plan de travail.

Takuma : Maman ! Ça va ?

Satoru qui était en train de ranger la maison, lâchait les plaids qu'il plier et il vient à tes côtés, t'aidant à te relever.

Satoru : Ma chérie... va au lit, je m'occupe de la vaisselle.

« D'accord... Est-ce que tu peux m'aider ? »

C'est ainsi que ton mari t'aida à aller au lit, il te faisait un petit massage des épaules, prenant soin de toi, t'aidant à t'apaiser du mieux qu'il pouvait.

Satoru : Demain, Shoko va t'aider.

Peu à peu tu t'endormis, aider par ton mari, qui avait réussit à t'apaiser face à ces malaises multiples. Tu te rendais compte que ça commencé à se compliqué.