Mon artiste

§12ème peinture§

(Yo les gens, j'ai terminé cette histoire et pour vous remercier de m'avoir suivi tout du long de cette aventure. J'ai décidé qu'à la fin de cette semaine vous aurez la fin de cette histoire. tous les jours je vais publier un chapitre jusqu'au dernier. Merci à tous de m'avoir suivi dans cette aventure. Des gros bisous et à la prochaine)

                  Gâteau à la farine magique

PDV Mikey

Si Kyoko à quelque chose à voir avec ça , père ou pas je lui coupe la langue .

Je franchis la porte qui me sépare de ma femme , il n'y a personne , la salle est vide hormis une cabine verrouiller , je colle mon oreille à celle-ci et écoute attentivement . Des pleures , encore et toujours des pleures . Depuis que nous sommes marier je peux reconnaitre le bruit de ses larmes en les écoutant . C'est la seule émotion qu'elle veut bien éprouvé à mon égard , ainsi que le colère et tout un tas d'autre émotion négative que je ne mérite pas .

Je toque un coup , puis deux mais aucune réponse . Juste les larmes qui se sont arrêter de couler et de petit bruit de sanglot étouffer . Elle doit penser que je suis Kyoko et que je suis revenue pour finir le travail .

Moi : Ne t'en fais pas Chou , ce n'est que moi . Tout ira bien , ouvre moi .

Aucun son ne sort de sa bouche , que je ne peux d'ailleurs pas voir à cause de la cabine qui nous sépare . Mais soudain j'entends le clic d'une serrure qui s'ouvre . Je m'écarte légèrement pour la laisser sortir . Quand je peux enfin l'observer , je ne ressens qu'une colère noir envers Kyoko . Le maquillage de Chou n'est plus que d'horrible tracent sur son visage , ses yeux son rouge et bouffies pour les larmes . C'est décidé je vais couper la langue de cette pétasse qui ne me sert plus à rien .

Moi: Enola ne t'inquiète plus je suis là maintenant .

Elle s'approche doucement de moi , et contre toute attente m'enlace tendrement . Sa respiration dans mon cou est un pure délisse .

Chou : Sortons d'ici , cette endroit me dégoute.

Elle s'accroche à mon bras tandis que je me dirige vers le Contoire pour payer l'addition puis une fois fait nous nous dirigeons vers ma voiture . Je lui ouvre la portière du coté passager mais elle refuse de me lâcher .

Moi : Chéri , si tu veux que l'on rentre vite , il faut que tu laisses mon bras même si te sentir contre moi est l'une des chose les plus agréable au monde je dois conduire .

Sur mes dires mais sans me répondre pour autant elle finit par faire ce que je lui demande , je contourne la voiture pour prendre la place du conducteur , je démarre la voiture et positionne ma main gauche sur sa cuisse tout en la caressant .

Moi : Ne t'en fait pas chou dès que nous serons à l'hôtel je téléphonerai  à Sanzu pour qu'il s'occupe du cas Kyoko.  

Elle ne répond toujours pas , elle se contente de regarder dans le vide , comme si elle était lasser de cette situation ou qu'elle n'en avait simplement rien à faire .

Nous finissons par arrivé dans l'hôtel , je la porte en mode princesse jusqu'à notre chambre puis la pose une fois arrivé . Et contre toute attente elle pris enfin la parole .

Chou : Je ne veux plus jamais aller dans ce restaurant  .

Moi :Et n'ai crainte je m'en occuperais plus tard .

Un blanc s'installe , il est pesant et glacent .

Moi : Que veux tu faire ?

Elle lève son regard vers moi , les yeux toujours en larmes puis me lance le plus beau des sourires .

Chou: je veux faire un gâteau au chocolat en regardent Barbie sirène .    

Je me dirige vers la cuisine et sors les ingrédient pendant que Enola cherche sur la télé le dessin animé dont elle m'a parlé. Puis revient dans la cuisine .

Chou : Il nous faut du chocolat du beurre , de la farine , du sucre et du chocolat .

Moi : Tout est là .

Enola se saisi des ingrédients et commence la recette sans moi et en un rien de temps le gâteau est déjà à cuire tandis qu'elle lèche la pate qui reste dans le plat en regardent son dessin animé .

Les trait de son visage se sont adoucie , elle semble paisible comme si elle planait . Enola se tourne un instant vers moi puis commence à déblatérer des choses insensé .

Chou : Et si on couchait ensemble ?

Moi: QUOI !!!

Nos regards finissent par s'encrer l'un dans l'autre , mais le sien n'est pas normal . Ses pupilles sont dilatés et ses yeux vaseux .

Moi: Tout va bien .

Chou : Je vois des licornes et des arc-en-ciel magique partout .

Elle se dirige vers moi en titubant , elle bat des cils et arbore un sourire charmeur .

Moi: Je vais te mettre au lit et tu vas te reposer , tu as eu une longue journée .

Chou: Non je veux pas ! Je veux rester avec toi .

Elle passe ses bras autour de mon cou , elle rapproche son visage de moi , je peux sentir son souffle sur ma bouche.

Chou: Embrasse moi .

Je la repousse légèrement et pousse un long soupir . Evidement que j'ai envie qu'elle m'embrasse mais pas comme ça , pas de cette façon . Au vue de son regard je suis sure qu'elle a ingurgité de la drogue , a son insu bien sur . Je sens un poids contre mon torse , Enola s'est endormi contre moi .

Moi : Tu es vraiment pas croyable Chou .

Je la porte jusqu'à notre chambre , celle-ci a été décoré pour l'occasion . Des bougies ainsi que des pétales de roses sont éparpillé un peu partout. Quand je pense à toute les choses que l'on aurait pu faire dans cette chambre . C'est vraiment dommage . Je pause délicatement Ma chère épouse sur notre lit .

Moi: Tu es tellement belle .

Je m'autorise un baiser furtif sur ses lèvres avant de la laisser se reposer . Je retourne dans la cuisine pour sortir le gâteau du four . Et dire que c'est chou qui à tout fait avec ses petites mains , je pourrais bander .

Moi : Je pense que je peux m'autoriser une petite gâterie .

Je me saisi du couteau me coupe une part de gâteau au chocolat avant de taper un gros Cros dedans . Mais à peine la friandise rentrer en contacte avec ma langue que je la recrache entièrement .

Moi : Putain de merde mais c'est quoi ça !

De la coque , une pure et dure . Je suis sure que c'est Sanzu qui la glisser dans mes affaires , si ma femme est dans cette état c'est de la faute de ce trou du cul ! Je ne vais pas laisser passer ça .