10 juin 1940,
Le May sur Èvres,
Déambulant dans la classe, une jeune femme âgée de dix-huit ans, interrogea les élèves, sur leurs sorties qu'ils feront prochainement. Beaucoup d'entre avait des idées intéressantes, pour d'autres ce n'était qu'un songe.
Le sourire aux lèvres elle les observas se lever pour sortir dans la cours, le ciel bleu leurs donna du bôme au coeur en c'est temps de guerre. La nouvelle de l'occupation les avaient pour tous chamboulé, beaucoup craignaient l'arrivée des allemands au May sur Èvres.
En jetant un coup d'œil au portrait du maréchal, la jeune femme expira, inquiété par ces nouvelles, allaient ils bientôt arriver jusqu'ici, se demanda t'elle. Les Allemands étaient des hommes grands blond aux yeux bleu pour la plupart, et ils étaient tous cruels froids sans pitié. Pamis eux ils y auraient même des gradés qui auraient deux s, désignant leur dévouement envers Hitler.
La jeune femme s'extirpa de ses pensées en entendant des pas se diriger vers sa classe, en se retournant elle vit le directeur avec un grand sourire aux lèvres, il était bien le seul a avoir de l'espoir a propos de cette guerre.
- Mademoiselle Lefebvre, j'ai eu vent de la sortie qui aurait lieu la semaine prochaine pour fêter la fin de l'école. C'est une bonne idée de faire ça pour les enfants.
- Monsieur le directeur, oui c'est l'un de mes élèves qui m'a donné l'idée. Je pense les emmener au cazeau. C'est un très belle endroit, et au moins on sera a l'ombre et a l'abri.
- C'est merveilleux Élise, je suis sur qu'ils vont tous adorer ma chère.Le directeur continua d'échanger avec Élise, la laissant par la suite finir sa journée avec ces élèves, quand la journée fut fini la jeune femme sortie passant par le centre ou l'église rayonnante faisait surplomber son ombre sur le bâtiment de la mairie,
Élise marcha vivement sur les pavés faisant claquer ces talons, ces cheveux brun clair rayonnait a la lumière du soleil, elle salua les quelques passants qui se trouvait sur sa route.
En arrivant chez elle la jeune femme, se déchaussait, ces talons étaient rougies par ces chaussures. Elle s'installa devant sa cheminée éteinte et lut un livre. Le calme cessa en entendant des bruits a sa porte, allant ouvrir elle trouva son vieil ami Paul la regarder essoufflé, le pauvre jeune homme avait dû courir sous une chaleur étouffante comme celle-ci.
Questionnant le jeune homme de sa visite, Élise regarda Paul intriguer par sa réponse. Celui-ci la regarda les yeux emplie de peur et de colère. Soudain Élise compris, ils étaient là. Les Allemands, l'ennemi qui avait souiller le sol français était ici au May sur Èvres.
- Vient Élise vite. Dit Paul désemparée. La jeune femme remit ces chaussures et suiva Paul vers le centre bonder, tous ces élèves étaient là, cacher derrière leurs parents.
Élise s'avança pour savoir a quoi ils ressemblaient ces allemands. Elle se mit sur la pointe des pieds pour essayer de voir un seul uniforme vert-gris.
En les observant brièvement la jeune femme, se sentie faiblir face à cette armée, ils marchaient a l'unisson la tête relevée l'arme tenue en bandoulière.
Un des soldats s'approcha de la foule, il portait une casquette avec une tête de mort dessus, celle-ci faisait froid dans le dos. Sur son col deux s y était inscrit, son uniforme était noir, ces bottes elles étaient bien cirée, si bien que l'on pourrait voir notre visage.- Français, vous avez été vaincus, le Maréchal Pétain a signé l'armistice avec notre Führer, vous êtes dorénavant occupé et allez vivre a l'heure Allemande.
C'est nous qui faisons la loi dorénavant, ceux qui refuseront d'obtempérer seront fusillés, j'espère que vous l'aurez compris.L'allemand termina sont discours, laissant les français abasourdi par ces nouvelles. Ceux qui refuseront l'occupation seront fusillés.
Élise s'avança, dans la foule pour récupérer le peut de denrées possible, depuis le début de l'occupation il y a 1 semaine, les problèmes n'ont fait qu'augmenter, la famine était le compagnon des français les menant pour certains aux volés et d'autres a la mort. La jeune femme tendit ces tickets de rationnement, a Henry l'épicier du village. L'homme lui souria en lui tendant un panier rempli de différentes denrées. Les autres derrière elle pesta, pour l'attente.
Elle remercia l'homme et sorti, serrant son panier contre elle la jeune femme pressa le pas vers chez elle. Le seul endroit où elle était en sécurité. En rentrant chez elle Élise souffla, la vie devenait dure, si dure qu beaucoup avait tenté de fuir vers le sud, malheureusement plusieurs se sont cassés les dents.Plusieurs heures après être rentré Élise entendit frapper a sa porte, Elle jeta un coup d'œil vers l'horloge qui pointait 20 h. En ouvrant la porte elle vit un allemand se tenir sur le seuil d'entré.
- Ihr Wohnsitz wird für die deutsche Armee beschlagnahmt. ( Votre domicile est réquisitionné pour l'armée allemande.) Élise regarda l'homme sans comprendre un mot de ce qu'il venait de lui dire.
D'une voix étranglée elle demanda,
- Je ne comprends pas l'allemand. Elle baissa les yeux vers le col de l'allemand, celui-ci portait l'insigne des deux s, en relevant timidement les yeux, la jeune femme aperçue le regard de l'homme sur elle. Elle retenue sa respiration durant une seconde.
L'allemand resta devant Élise, la surplombant de trois ou quatre tête de plus. D'une ton cinglant il dit,
- Votre domicile a été réquisitionné par l'armée allemande, vous allez loger un officier de la waffen-SS.
Élise choqué par ces mots ne suffisent quoi répondre, elle ne pu qu'accepter, car si elle refusait ce serait la mort.
D'un hochement de tête, Élise accepta sans broncher, l'allemand claqua son talon sur le plancher, puis retira sa casquette, laissant voir ces cheveux blond, coiffer a la perfection, ces yeux bleus était planter dans ceux d'Élise.
- Je suis l'officier en question. Mademoiselle Lefebvre, laisser moi me présenter convenablement. Cette allemand avait un léger accent germanique, mais il savait très bien s'exprimer en français.
- Je suis le ss-Sturmbannführer Weber Walter, je travaille à la gestapo. Et vous êtes Mademoiselle Lefebvre Élise ? Est-ce bien cela ?
- Oui. Dit d'une voix basse Élise.
- Puis je entrer ? A vrai dire qu'elle question bien évidemment. Walter rentra dans la maison en bousculant Élise, la jeune femme se tut ne disant rien elle avait les yeux rivés aux sols, ce sol qui avait vécu énormément de choses. L'allemand pose délicatement sa casquette et sa vareuse sur une chaise, il mit les mains dans les poches attendant patiemment. Sifflent d'un geste ennuyeux, il parcoura la pièce d'un regard plaintif.
- Puis-je voir ma chambre. Prise de cours la jeune femme ne su quoi répondre, ça chambre n'existait jusqu'à lord dans un conte mais pas ici, serrant les points elle guida l'homme a travers le deuxième étage l'emmenant dans l'ancienne chambre de ces parents, celle qu'elle n'avait jusqu'alors jamais ouverte depuis un mois, elle mis sa main sur la poignée puis l'abaissa, pour ouvrir la porte celle-ci laissa entre voir une chambre qui n'avaient jamais été utilisé depuis un certain temps, tout était encore a se place, leurs photos de mariage, il y avait aussi une autre photo la montrant elle et ces deux frères devant un grand chêne, ses frères alors vêtu de leurs uniformes, Élise portait le casque de son aîné Henry.
Elle n'hésita pas et prise les deux cadres dans ses bras et laissa l'allemand devant sa nouvelle chambre sans lui adresser un seul regard.
Enfermé dans sa chambre Élise, posa délicatement les cadres sur sa table de chevet, une larme rebelle dévala sur sa joue. La jeune femme épuisé par les évènements de la soirée alla se coucher, se laissant aller dans les bras de Morphée.* Ss-Sturmbannführer : Major, commandant de la division SS.
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Nos cœurs ennemis
Historical Fiction10 juin 1940, La France défaite, vit comme humiliation l'occupation. Le village du May sur Èvres, un endroit calme et causie, se voit occupé. Élise Lefebvre, jeune professeur dans l'école du village, se voit engloutir dans un monde rempli d'horreu...