Chapitre 13

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Décembre 1941,

Maison des Lefebvre, le May sur Èvres,

Le soleil, projetait ces rayons a travers la fenêtre. Allongée dans les bras de son amant. Élise dormait paisiblement, Walter se fit réveiller par ces rayons frappant son visage endormi. Il ouvrit les yeux et souris. En ce jour spécial, l'allemand avait décidé de ne pas être séparé d'Élise pour retrouver les siens. Sachant pertinemment que si il retournait la bas, il serait agressé par temps de questions de ses proches.

Il s'étira dans le lit et vînt se coller contre le corps d'Élise, celle-ci dormait encore. Le souffle court il passa ses lèvres sur les épaules de la jeune femme. Elle se retourna, au même instant et Walter profitant de la situation lui vola un baiser, Élise ouvrit délicatement les yeux et souris, en voyant son amant l'embrasser.

- Bonjour ma douce.

- Bonjour mon tendre.

Walter se mit au dessus de la jeune femme, et continua ses baisers.

Il était midi, quand la jeune femme entendit frapper a sa porte.
Elle alla en direction de celle-ci, elle l'ouvrit et vit Walter de retour, dans ses bras un panier rempli de denrées rare ou trouvable que sur le marché noir.

- Walter je, enfin comment. Merci.

- Mais derien ma douce.

Il lui fit un clin d'œil et rentra dans le salon.bio disposa les denrées sur la table en bois, le regard d'Élise était sur lui.

Le sourire aux lèvres il prit la jeune femme par la taille et l'embrassa doucement.

Cette année Élise allait fêter Noël. Elle n'était pas seule. Walter était la avec elle.

Janvier 1942,

Kommandantur le May sur Èvres,

L'odeur d'humidité et de sang, était coller aux murs, une cigarette coincée entre les lèvres le sturmbannführer Weber, observa le résistant. Celui-ci n'avait rien dit jusqu'à présent.

L'allemand commençai a être, énervé par son comportement, sa patience ayant atteint la limite, il recracha la fumer de son mégot, un sourire se forma sur ces lèvres, le résistant ayant compris ce qui allait lui arrivé pâli en le voyant approché, les cendres de la cigarette lui tomba sur le bras droit, soudain l'allemand écrasa son mégot sur le bras de l'homme. Un cris déchira la pièce, le jeune résistant sentie son bras lui brûler.

Weber le sourire aux lèvres répéta une nouvelle fois la même question.
Cette fois ci il eu droit a une réponse, victorieux, l'allemand laissa le jeune homme a un de ces soldats, et se dirigea vers son bureau.

D'un regard exaspéré il observa la pile de dossier qui l'attendait patiemment, se disait que le reste de sa journée allait être longue, il se mit au travail.

Le vent froid d'hiver, s'immiscait a travers le manteaux de la jeune femme. Le souffle coupé par plusieurs bourrasque de vent, Élise sembla exténué. La jeune femme marcha le long de la rue Pasteur, pour entrer dans cet éternel café.

Raimond le sourire aux lèvres l'accueil comme a son habitude d'une joie inexplicable. L'homme resta derrière son bar durant le temps qu'Elise passait assise a sa table. Seule la jeune femme en profita. Le repos lui fit du bien depuis sa dernière mission. Mais la jeune n'ayant toujours pas eu de nouvelles du réseau commençait a s'inquiéter. Raimond ne lui avait rien dit bien évidemment.

Il était 18 h, quand la jeune femme s'extirpa du café pour rejoindre son domicile. Devant elle, une berline se stoppa Élise releva la tête pour apercevoir son amant y sortir, le sourire aux lèvres il la pris dans ses bras.
Élise regarda autour d'elle mais personne, alors elle soupira de soulagement. Walter amusé par son comportement la raccompagna.

- Puis-je passer ma nuit ici ?

Élise releva le coin de ses lèvres en voyant l'allemand lui faire les yeux doux.

Enroulé dans les bras de son amant, la jeune française, tenta vainement de trouver le sommeil malheureusement Morphée était têtu, ce soir pour la jeune femme. Élise regarda Walter, il dormait paisiblement, elle passa ses doigts sur son visage il était si doux. Élise le sentie frémir a son toucher. Quand elle vit ses paupières bougé, elle ferma les yeux. Walter ouvra doucement ses yeux pour apercevoir sa bien-aimée, endormi dans ses bras il lui vola un baiser, et referma les yeux.

Le vent frappa contre la vitre, les températures elle descendit, en une heure là jeune femme se colla un peut plus contre le corps chaud de son amant se laissant emporter dans une chaleur agréable. Morphée avait décidé de venir la trouver. Élise s'endormit paisiblement, sans aucun problème.

Une semaine, cela fait maintenant une longue semaine que je n'ai plus eu de nouvelles du réseau. Que c'est il passé, durant mon absence. Ou plutôt durant ma mission.

Raimond ne le parle plus de réunion, et le chef n'a jamais été dans les alentours depuis cette longue semaine.
Avons nous été démantelé ? J'en est bien peur ?

Allongée dans mon lit, je regarda le plafond blanc de la chambre, a les côté Walter, il dormait paisiblement, sans aucun tourment. Qu'il est chanceux.

Je sentie les draps chaud bouger sur mon corps se qui m'interpella.
Walter c'était quasiment garder les draps rien que pour lui, les sourcils froncées, je prit un bout du tissu blanc et le tira vers moi, ce qu déplu a l'allemand, d'un geste brusque il tira la couette sur lui de nouveau. Je fit de même, ce petit jeux fini par s'arrêter quand l'allemand se tourna vers moi un sourire espiègle au lèvres.

Il s'affala sur moi, me vola un baiser.
Le froid s'immiscait entre nous, 'ous faisons frissonner, Walter se colla contre moi pour garder le peut de chaleur entre nos corps.
Ses baisers ne cessèrent pas, il continuait a m'embrasser sur les lèvres, et mon cou.

Mars 1942,

École du May sur Èvres,

Appuyer sur le pupitres j'attendis, Walter. L'allemand devait venir en classe pour m'annoncer une nouvelle qui m'avait l'aire très peut réjouissante. Je me mordillait la lèvre inférieure, quand soudain j'entendis les pas de mon amant venir, jusqu'à la. Il ouvrit la porte, dans ces yeux je ne vis que du vide.



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