Chapitre 17

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Juin 1944,

Sainte-Marie-du-Mont, la Normandie,

6h30, en jetant un énième coup d'œil a ça montre Le sturmbannführer Weber, retenue un bâillement, devant lui une feuille avec un stylo a côté, il écrivait a sa femme Élise. Sa tendre française qui l'attendait patiemment dans leur maison.

Il prit le stylo entre ses mains et débuta sa première phrase, soudain, le bruit de bateau fit alerté l'allemand en jetant un coup d'œil a travers une trappe du bunker il vit les alliés.

Les minutes passèrent si vite que l'allemand ne pu songer a autre chose que ces hommes qui tenait bon sur les plages. Ces camarades manquait de temps, la plupart d'entre eux étaient posté aux mitrailleuse.

Les balles sifflait dans l'aire, déchiquetant tous ce qui se trouvait sur le sable.

C'était la guerre vue de près pour l'allemand. Ces tremblait, les alliés réussir a entrer, faisant une brèche dans le chemin.

Il pensa à Élise.

Elle pensa a lui a cet instant même, assise dans son fauteuil, la jeune femme lisait un livre au calme, les fenêtres ouvertes elle laissait entrer l'aire frais d'été de bon matin.

La jeune femme se sentie bien, mais savoir que son époux était au front lui fit si peur. Allait il bien ? Elle espérait.

Il était 19h quand a la radio, De Gaulle passa, Élise écouta avec intention. Le général parlait d'un débarquement réussi par les alliés. En Normandie, la jeune femme se stoppa dans son travail, réalisant que son époux était là-bas, une boule vint se former dans son estomac. La peur, peur de le perdre. Lui son époux l'homme qu'elle aime tant.

Les alliés avait réussi a prendre les plages faisant prisonniers les Allemands qui résistaient, Walter n'avait toucher a aucune arme depuis le début, se laissant faire, ne disant rien les alliés c'étaient même questionné a son sujet. Puis l'un d'eux vint vers lui et avec étonnement l'allemand répondi en anglais. L'américain fut surpris et questionna l'allemand.

- Je suis de votre côté, cela peut vous sembler étrange, mais j'ai rencontré une jeune française un jour, et elle m'a ouvert les yeux sur ce monde. Notre monde que est en guerre, je l'est épouser il y a un an.
Tous ce que je demande c'est de pouvoir la revoir un jour.

L'américain hocha de la tête et partie vers Sony supérieure celui-ci, lui tendit la main.

- J'ai eu vent d'un certain ennemi qui serait enfaite notre allié ? Et qui serait marié à une jeune française alors qu'il me semble que c'est interdit dans son pays. N'est-ce pas major ?

- Oui cela est vrais, capitaine je suis bien allemand qui plus est votre ennemie et pourtant j'ai trahis mon pays en épousant cette française qui est résistante. S'il vous plaît je vous demande juste de pouvoir la revoir. Rien d'autre.

- Bien.

Une semaine, une longue semaine sans lettre de sa part. Mais où était il donc passé, ou est mon mari. Walter je me fait un sang d'encre pour toi mon époux. Je t'aime, si tu savais.

Tu me manques, tellement.

Marchant dans le couloir de l'école, je lisais les derniers devoirs des élèves. La fin des cours allait bientôt arriver.

Les enfants se faisaient depuis un temps  plus mouvementé.

En entrant dans la classe j'ouvris les fenêtres, laissant passer l'aire frais d'été, en fixant l'horloge je vis qu'il n'était que 7h, une heure avant le commencement.

Fin juin 1944,

Maison des Lefebvre, le May sur Èvres,

Assise sur le fauteuil, je feuilletait le journal, celui-ci indiquait les dernières nouvelles sur la guerre, en Normandie les alliés ont débarqué. Mon époux  était posté là-bas.

Je fit soudain sorti de ma rêverie en entendant la porte s'ouvrir.

Il était là.

Face à moi.

Il avait l'aire si maigre, je me leva et vint vers lui. Ses mains trouvèrent le chemin vers mes hanches, sa bouche trouva la mienne. On s'embrassaient, les larmes aux yeux je le regardais.

- Mais que t'on t'ils faient ?

- Ils mon laisser te revoir, j'ai eu la chance de te retrouver.

- Walter, tu m'a tellement manquer.

- Tu m'a manqué ma douce, tu m'a tellement manqué que je me suis même imaginer rêver parfois de te voir.

Je fixait mon époux, le sourire aux lèvres, il me fixait une lueur de joie dans les yeux.

- Fait moi l'amour.

Ces mots sortir avec temps de douceur, qu'il me prit dans ces bras, et l'emmena a notre chambre, il me déposa délicatement sur les draps, il retira sa ceinture, la jetant a l'autre bout de la pièce. Je me mis debout sur le lit faisant sa taille, et je lui retira sa casquette, elle fit le meme parcours que la ceinture et le reste de nos vêtements firent de même. Il me prit par les hanches et me soulevant une deuxième fois, ce qui me fit rire. Un sourire espiègle aux lèvres, Walter et nous jeta sur le lit, il se mit sur moi, et avec sa plus grande délicatesse, m'embrassa son sexe frotta mon petit bout de chaire, me faisant gémir. Il se mit en moi, et l'extase prenait place en moi.

- Je t'aime tant ma douce.

- Je t'aime mon tendre allemand.

Après plusieurs heures, on était encore là dans le lit on se regardait, enroulé dans les draps Walter et moi étions si bien qu'on ne voulais pas y sortir. Et pourtant, on se fit extirper de notre moment intime en entendant la porte d'entrée frapper a plusieurs reprises, Walter les sourcils froncées, mis des vêtements civil et alla voir.

- Je veux voir Élise, maintenant.

- Et je peux savoir qui vous êtes ?

- Je suis sa sœur et vous vous êtes qui ?

- Son époux.

La femme ne sut quoi dire, Walter ennuyer tenta, de fermer la porte, mais Élise arriva juste avant.

- Chéri, tout va bien ?

- Une femme qui serait ta sœur.

Les sourcils froncées la jeune femme alla en direction de son époux et vit sa sœur.

- Que fais-tu ici, Lisette ? N'était-tu pas, dans le Sud ?

- Je m'inquiètai pour toi Élise, je n'avais jamais de nouvelles pourtant moi je t'en envoyait.

- Depuis quand t'inquiète tu pour moi, ma sœur ?

- Depuis toujours !

Élise regarda son époux, lui avait les yeux rivés sur elle, le sourire aux lèvres il chuchota aux creux de l'oreille de la jeune femme,

- Ça m'excite de te voir énerver ma douce. J'ai une bosse qui commence a apparaître.

Élise les yeux grand ouvert les riva vers le pantalon de son époux et vit une bosse, elle se positionna contre lui cachant cette bosse, et dit a sa sœur,

- Que veux-tu Lisette.

- Me faire pardonner, pour être partie si vite quand les boches sont arrivés. Ton mari lui, doit être content en tout cas de savoir que les boches sont partis.

Walter se crispa, un sourire forcé aux lèvres il dit,

- Oui bien sûr.

Nos cœurs ennemis Où les histoires vivent. Découvrez maintenant