18 juin 1940,
Mairie du May sur Èvres,Soutenue par deux bras, un jeune homme supplia le Sturmbannführer Weber de le relâcher, un geste impossible venant de l'ennemi. Celui-ci fut emmener dans une pièce, a l'écart des autres dans les sous-sols de l'ancienne mairie, qui est aujourd'hui la Kommandantur.
Assise devant une porte Élise, se retint de secouer sa jambe droite, ne voulant point montrer sa peur, qui montait dans son ventre, elle essaya de penser à autre chose, cas l'allemand qu'elle veut essayer de faire partir de chez elle. Elle n'avait aucun motif pourtant, mais c'est bien pour cela. Il est allemand et elle est française, et si il découvrait le journal qu'elle caché dans sa table de chevet, elle pourrait bien finir devant un mur et être fusillés, par cet homme le sturmbannführer Weber. Cet homme avait un calme inquiétant, ne montrant que rarement sont coter sadique, et énervé. Depuis 1 semaine la jeune femme ne l'avais vue que très peut, ce qui lui allait très bien.
Mais si elle est ici devant un bureau aujourd'hui c'est bien pour qu'il aille dormir ailleurs l'allemand. Élise avait appris par une amie qu'elle pouvait faire partir l'allemand de chez elle mais c'était a ces risques. Elle devait trouver une excuse. Une qui tiennent la route.- Mademoiselle Lefebvre, je vous en prie entré. Dit un homme de taille moyenne avec des lunettes ronde.
- Alors dite moi, que puis je faire pour vous aidez ? Interrogea l'allemand.
- Comment dire, j'ai un officier qui loge chez moi.
- Ah oui le sturmbannführer Weber. C'est bien cela ?
- Oui c'est exact. Disons que cet officier n'a pas sa place chez moi, enfin par pour son comportement non loin de la. C'est juste qu'un officier devrait avoir le luxe et non avoir droit à la pauvreté.
- Dite vous, que vous êtes pauvre ? Ou est-ce juste un moyen pour me faire comprendre qu'il faudrait que le sturmbannführer, devrait loger dans un endroit plus luxueux pour son grade ?
- Oui c'est cela, mais ce n'est pas une obligation.
- Ne vous inquiété pas il sera loger a l'hôtel, car nous avons eu l'écho que les officiers qui logeais la bas était bien. Alors le sturmbannführer, iras là bas. Vous pourrez dormir sur vos deux oreilles ce soir. Dit l'allemand d'une voix amusé.Élise remercia l'allemand, avant de se diriger vers l'école, arriver dans sa salle de classe ces élèves se levèrent, et attendirent le moment de s'asseoir.
La journée fut longue, Élise termina ça soirée plus tard que les autres, exprès pour écouter la radio qu'avait ramener le concierge, appuyer contre son bureau, Élise écouta le discours de De Gaulle, qui appelaient les français a la résistance.
Elle se demanda si il était préférable ou non de s'engager, le risque de perdre la vie était terrifiant pour la jeune femme, mais elle en serait capable pour son pays, pour le général De Gaulle, Élise songea a cette idée de rejoindre la résistance, tout le long du trajet.
Arriver devant chez elle, elle sentit son cœur s'affoler dans sa cage thoracique, le souffle cour elle ouvrit la porte d'un geste lent, et entra timidement. Elle jeta un regard furtif dans le salon et la cuisine, aucun signe de l'allemand. En regardant les marches en bois ronger par le temps la jeune femme, expira l'inquiétude monta creusant un vide dans son estomac. Elle monta les marches les contants, dix, elle se fixa un compte a rebours jusqu'à se chiffre, en arrivant vers la chambre de l'allemand.Dix,neuf, huit.
Élise avança vers la porte.
Sept,six, cinq.
Elle baissa la poignée.
Quatre, trois, deux.
Elle ouvra la porte.
Un, zéros.
Elle passa la tête dans la pièce aucun signe de l'allemand. Elle remercia l'officier qu'elle avait vue plutôt.
En refermant la porte derrière elle, Élise soupira de soulagement, en sachant que l'allemand ne serait plus chez elle.
S'affaissant dans son lit, Élise n'eut aucun mal a s'endormir.Assise devant le cazeau, Élise observait ses élèves, ils étaient tous attrouper vers les ruines de l'ancien château, la jeune femme les regardaient s'amuser.
Le Soleil fit de l'ombre, ce qui combla la jeune femme. Un petit vent frais vint se faufiler entre ses cheveux les emportant doucement dans l'aire.
Cette sortie lui faisait du bien, un bien fou. Ces élèves étaient heureux de pouvoir courir, dans ce champ a l'abandon depuis des siècles.En regardant vers la route, le sang d'Élise se glaça, plusieurs allemands venait de s'arrêter près du près où ils étaient, elle reconnue l'un d'eux, le sturmbannführer Weber, il portait sa casquette, sa vareuse lui descendait jusqu'au cheville, un sourire carnassier sur les lèvres, il s'approcha de la jeune femme. Élise sentie son oxygène s'évaporer de son corps. Elle se leva avec hâte allant vers ses élèves.
Quand elle arriva vers eux un bruit vint déchiré ce calme et cette sécurité. Élise sentie une douleur dans son épaule relevant la tête, elle fut horrifié de la voir en sang, la pâleur apparue sur son visage, l'un de ses élèves hurla quand il vit les Allemands s'approcher.
Ne pouvant céder à la douleur, Élise se sentie tomber dans l'abîme. Le sturmbannführer Weber coura vers elle, il hurla des ordres a ces hommes qui sans broncher allait vers la direction que la balle avait effectué.- Terroristes ! Hurla l'un des allemands, Weber fronça les sourcils en prenant la jeune femme dans ses bras. Les élèves affoler.
En ouvrant les yeux, Élise sentie son bras gauche enquilauser, un bandage lui avait été mis sur l'épaule. Elle vit par l'entrebâillement de la porte le directeur parler avec le sturmbannführer Weber, l'allemand ne semblait pas fin. Élise tenta de se lever avant qu'une main ne l'en empêche, l'infirmière lui demanda de rester allongée en évitant de faire des efforts pour l'instant. Elle se dirigea vers la porte qu'elle ouvrit en grand.
Les deux hommes regardèrent en direction de la jeune femme, Weber retira sa casquette et s'approcha de la jeune femme.
Celle-ci sentie son pouls s'accélérer en
le voyant venir vers elle.- Mademoiselle Lefebvre, votre épaule a été touchée, comme vous le savez. L'homme qui vous a tirée dessus a été arrêté et il sera fusillés. Avait conclu, Weber d'un ton sérieux.
L'observant sans lui adresser un mot Élise, tenta de se relever cette fois ci l'infirmière ne broncha point.
En mettant les pieds par terre, la jeune femme se sentie fébrile. Weber s'approcha d'elle par sécurité. Élise se retenue au matelas en se mettant debout. Weber vint mettre son bras autour de ses épaules.- Je vous raccompagne chez vous Mademoiselle. Dit Weber en l'aidant a partir.
Arriver devant sa porte Élise remercia, l'allemand. En tentant de se libérer, de l'emprise de l'allemand, Élise souria gentiment a l'allemand en essayant désespérément de se détacher de lui.
- Vous êtes bien la première dans ce village, a avoir réussi a faire sortir un officier d'un domicile pour aller a l'hôtel. Je suppose que vous avez fait de l'effet au commandant.
En souriant l'allemand la laissa s'en aller. Sans regard, Élise rentra chez elle. Tête baissée, elle essaya de contenir ses pensées dans sa tête.
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Nos cœurs ennemis
Historische Romane10 juin 1940, La France défaite, vit comme humiliation l'occupation. Le village du May sur Èvres, un endroit calme et causie, se voit occupé. Élise Lefebvre, jeune professeur dans l'école du village, se voit engloutir dans un monde rempli d'horreu...