Chapitre 16

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Août 1943,

Maison des Lefebvre, le May sur Èvres,

Allongée dans ses draps blanc, Élise était coller contre le torse de Walter.
La jeune femme dormait paisiblement dans les bras de son amant.

Le Soleil vint laisser apparaître ses rayons a travers les rideaux rouge de la jeune femme, laissant une chaleur réconfortante dans la chambre. Walter, sentant son visage être chatouiller par les rayons du Soleil ouvrit les yeux, il esquissa un sourire en voyant la jeune française dormir paisiblement dans ces bras. Il lui baisa le front, puis se leva, essayant de ne pas la réveiller, il mit son sous-vêtement et son pantalon et descendit vers la cuisine.

Élise fut réveiller peut de temps après, par des odeurs délicieuses. Elle sourit en s'imaginant Walter faire a manger.

Elle pris la chemise de l'allemand et descendit les escaliers, en arrivant devant la cuisine elle vit Walter torse nu, le sourire aux lèvres préparant un café.
Elle se faufila derrière lui et entoura son torse de ses bars. Walter se retourna au même instant déposa la tasse sur le comptoir et prit Élise dans ses bras.
L'embrassant avec douceur, ils restèrent plusieurs temps sans bouger, se regardant dans les yeux.

- Je t'aime ma douce.

- Je t'aime mon tendre allemand.

Les vacances allait bientôt se clôturer, alors l'allemand prit Élise et ils partirent vers la côte.

Le sourire aux lèvres la jeune française se laissait guider par son amant dans cette douceur, envoûtante qu'était ce calme entre eux.

Walter emmena Élise a un hôtel et réservait une chambre pour deux nuits. Heureuse Élise ne cessa d'embrasser son amant. Celui-ci profita de la situation pour l'emmener dans la chambre.

- Élise, mon petit ange. Je t'aime temps.

- Je t'aime Walter mon grand et beau allemand.

La douceur était entre eux dans les draps seule les bruits des deux amants, était audible.

Le soir venu Walter tenait la main d'Élise et ils marchaient côte à côte, sur le sable chaud. Soudain l'allemand se stoppa et se retourna vers la jeune femme.

- Élise. Walter prit les deux mains de la jeune femme et se mit a genoux.
- Je t'aime, et je ne veux que l'on soit séparé, après cette guerre.
Mademoiselle Lefebvre voulez-vous m'épouser ?

Élise se stoppa, son cerveau eu du mal a suivre comme son cœur. Elle ne sut que répondre mais, le mot sorti sans le savoir.

- Oui.

Walter se releva vivement et pris Élise dans ses bras l'embrassant avec fougue ils rentrèrent dans leur chambre,

Se déshabillant les deux amants ne perdit pas de temps.

Ils firent l'amour trois fois, dans ce lit, minuscule et pourtant solide.

Quand Élise jeta un coup d'œil à la petite pendule il était minuit passé, Walter a ses côtés lui caressait le dos avec douceur, voulant faire durer leur moment intime.

- Quand aura lieu le mariage ? Demanda Élise en se retournant vers l'allemand.

- Dès notre retour.

Élise ne choqué eu du mal a répondre, une seule journée allait être courte pour la jeune femme, pour se trouver une robe de mariée et un prête qui accepterait de les mariés.

- Voyons ne me regarde pas, comme ça m'a petite française, j'ai déjà prévu ou on se marierai mon ange, ça sera a l'église du May bien évidemment, et pour ta robe ne t'en fais pas j'ai déjà une idée.

Deux jours, voilà que le temps avait courut vers ce jour, ce beau jour. Aujourd'hui je me marie, avec Walter. Je le regardais dans la glace, j'étais juste splendide dans cette tenue, ma robe m'allait divinement bien. Mes joues teinté de rouge comme mes lèvres, un grand sourire aux lèvres, je sorti vers l'extérieur ou m'attendais mon chauffeur.

L'église était, la devant moi, je retenue mon souffle en sortant de la Citroën. Serrant mon bouquet entre mes mains. C'était l'un des prête qui vint m'accueillir et me prêta son bras, il me guida vers mon futur époux. Existé je l'étais. Le sourire aux lèvres, je positionna a ses côtés et nous échangions nos vœux.

La dernière phrase sortie des lèvres de l'allemand avant que moi même je dises,

- Oui je le veux.

- Je vous déclare donc mari et femme, vous pouvez embrila mariée.

Nous échangions ce baiser qui nous unissait, devant Dieu.

- Je t'aime ma femme.
- Je t'aime mon mari.

Septembre 1943,

École du May sur Èvres,

Depuis maintenant une semaine les élèves n'arrêtent pas de me demander qui est mon époux, cet homme mystérieux qu'il était pour eux. Je souris en pensant à Walter.

Le directeur lui savait qui était mon époux, je dois dire qu'il avait eu du mal a se l'imaginer. Et pourtant je suis heureuse aujourd'hui, une alliance au doigt je peux enfin dire une je suis mariée a l'homme que j'aime.

Et pourtant cette guerre nous divise toujours chaque jour. Walter reste encore mon ennemi.

Janvier 1944,

Ma chère petite sœur, comment te sens-tu ? J'ai eu vent d'une splendide nouvelle, que tu te serais mariée mais que ton époux ferait, de l'armée. J'espère qu'il te rend heureuse, comme papa rendait heureuse maman.

Tu dois être joyeuse après c'est fête de fin d'année. Ma chère sœur, sache pertinemment que je suis vraiment désolée pour t'avoir laisser quand ces hommes son arrivée. Mes après la disparition de nos parents je n'est pu supporter cette dur souffrance.

Soit heureuse avec ton mari petite sœur, je t'aime. Ta sœur.

Janvier 1944,

Maison Des Lefebvre,

Élise serra la lettre entre ses mains Walter derrière elle lui pressait gentiment l'épaule, elle soupira en relisant une nouvelle fois la lettre.

Walter lui susurant des mots doux. Elle sourit. Se laissant aller dans les bras de son époux Élise, se sentie emporté dans une vague de sensations réconfortante.

La radio allumé, le général Pétain, s'exprimait avec son ton lasse, il savait pertinemment que l'Allemagne avait perdu contre les russes et pourtant il ne pouvait dire si il était avec ou contre eux dorénavant. Walter lui avait décidé, de ne plus se mêler de tout cela. Voulant rester avec Élise après cette guerre sans être séparé l'un de l'autre.

Nos cœurs ennemis Où les histoires vivent. Découvrez maintenant