Chapitre 67

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Point de vue de Tyler

Tout s'était enchaîné très vite.

La police ainsi que les pompiers s'étaient rendu sur place.

Bryan était en train d'être emmenée dans l'ambulance.

Ils m'ont demandé ce qu'il c'était passer, mais je n'arrivais même pas à m'exprimer.

— Je... Je Bryan il...

Je regarde mes mains pleine de son sang.

J'étais en état de choc et je n'arrivais pas à respirer.

J'ai également été pris en charge par les pompiers.

[...]

Une fois arriver, il a été emmené au bloc opératoire en urgences.

Après avoir obtenu des vêtements de rechange. J'avais été ausculté par un médecin même si j'avais assuré qu'appart quelques coups, je n'avais rien de sérieux.

Ma mère avait été appelée.
Elle m'a prise dans ses bras morts d'inquiétude.

Après m'avoir laissé du temps pour me calmer. Avec son soutien, je suis allé témoigner auprès des agents de police.

Je n'avais pas beaucoup d'informations à leur donner. C'était très perturbant pour moi.

Je n'avais rien compris.

J'ai été attaqué et Bryan m'avait sauvé la vie. C'était la seule chose dont j'étais sûr.

Les hommes, qui m'ont attaqué, ont été engager par le nouveau petit ami de mon ex ?

Non ça sonne faux.
Même par jalousie, on ne va pas aussi loin.

Il l'avait même empêché de venir m'aider et lui a fait regarder la scène.

Il n'y a qu'un instable mental pour faire ça.

Bryan m'avait clairement caché des choses et tenue à l'écart de sujets très important et de très grave surtout.

[...]

J'attendais dans ce long couloir que l'opération soit terminée.

Mathieu accompagné par Charlie s'étaient également rendu sur place une fois prévenue.

Ils viennent vers nous.

Je n'arrêtais pas de pleurer.
L'état de Charlie n'était pas mieux.

Nous nous prenons dans les bras.

— Heureusement que tu n'as rien. Dit Mathieu soulager.

— Je suis désolée de m'être emporté tout à l'heure. Tu n'as rien fait de mal. Lui dis-je.

— Ce n'est pas grave, je comprends.

Un silence s'installe.

Je ne leur demanderai pas ce qu'ils savent.
Je devrais en parler avec Bryan.

Oui,

Parce qu'il va s'en sortir, c'est sûr.

Il était derrière ses grandes portes en métal.

Le temps continue à passer, sans nouvelles de son état. Mon anxiété ne fait que grandir.

— Je vous en supplie qu'il se réveille.

Je ne voulais pas qu'il meurt.

Il ne pouvait pas mourir et me laisser.
C'était trop tôt.
Trop précipité.

Wild Secrets  [ Boy's Love ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant