Chapitre 24

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Imagine Dragons - Whatever It Takes 

PDV de Belladonna

— Nous sommes arrivée, annoncé-je en garant la voiture devant la maison.

— C'est... magnifique, fit-elle lorsqu'on mit pied à terre.

— Plutôt tranquille et caché de la civilisation oui, fis-je en riant légèrement.

— Elle est à toi?

— Elle était à ma mère. Mais maintenant oui elle m'appartient.

— C'est vraiment l'endroit parfait pour vivre. Loin de tous les regards.

— Tu trouves? La questionné-je en reportant mon attention sur elle.

— Oui. C'est juste parfait.

— Je pensais que tu étais plus du genre grand château au milieu du peuple, plaisanté-je.

— Très drôle. Elle me bouscula gentiment tandis que je rigolais franchement.

— Plus sérieusement, je suis ravie que ça te plaise.

Je lui souris doucement et l'invite à entrer.

— Vous allez bien??

Elle se précipita vers eux lorsqu'elle les vit.

— Arizona! Dieu merci tu vas bien, fit son père en la serrant dans ses bras malgré le fait que sa maladie prenait de plus en plus de place dans son corps.

— Ma chérie, fit sa mère en la serrant dans ses bras à son tour.

— Tu vas bien soeurette, fit son frère, soulagé de la voire en face de lui, bien vivante.

Elijah releva la tête vers moi.

— Bella, me salua-t-il.

— Bonjour, répondis-je simplement en restant en retrait.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé? Demanda Jasiah à sa soeur.

— C'est... une longue histoire. Mais je suis là grâce à Bella et un de ses amis.

Elijah s'approcha de moi et posa une main amicale sur mon épaule.

— Merci Bella, sincèrement.

— Je n'ai fais que mon travail.

Il hocha simplement la tête.

— À propos, ajouté-je, je souhaiterai me porter volontaire pour être la garde du corps personnelle d'Arizona à plein temps.

— Sa garde du corps personnelle?

— Je la suivrai partout où elle va et la protégerai quoi qu'il m'en coûte. Je vous le promets.

— Ça ne me semble pas être une mauvaise idée étant donné que c'est vous qui l'avait sauvé.

— Je ne l'aurai pas pu si mon ami ne m'avait pas aidé.

— Ça me parait juste. Vous êtes désormais la garde du corps personnelle de ma fille.

— Seulement si elle est d'accord, ajouté-je.

Elijah tourna son regard vers sa fille et attendit son approbation.

— Bien sûr que je le suis.

Elle me dédit un sourire auquel je réponds. Il s'approcha de moi pour que seulement lui et moi entendent ce qu'il s'apprêtait à me dire.

— Je vous fais confiance. Faites votre travail correctement et ne faites pas de mal à ma fille.

Il se recula avec un faux sourire. Je lui rendis son faux sourire.

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