Chapitre 26 : Sébastian

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Avertissement : scène +18 et torture ! 

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Actuellement dans une de mes caves avec le connard qui m'a désobéi, je profite un maximum du bien fait que me procurent les tortures que je lui inflige.

Il se trouve debout, les bras attachés au-dessus de la tête encaissant mes coups sans émettre le moindre bruit.

Tous les hommes que je choisis pour travailler avec moi doivent avoir une résistance forte à la torture si jamais l'un de nos ennemis venait à les capturer. En effet, dès leur entrée au sein de ma mafia, un entraînement intensif a lieu pour chacun d'entre eux dont des séances de torture qu'ils se font l'un après l'autre entre nouvelles recrues. Ainsi, cela me permet de voir s'ils sont suffisamment doués pour infliger et subir.

Je suis fière de constater qu'après des années à mes côtés, ils sont encore capables des deux.

Puis je suis loin d'être doux avec ceux que je martyrise, même s'ils travaillent pour moi. Certes, je ne vais pas tuer celui que j'ai en face de moi comme je l'ai dit à mon père mais la torture que je lui donne n'en est pas moins douloureuse.

Après l'avoir battu simplement avec mon poing, les choses sérieuses vont commencer.

Je m'empare d'une chaîne en métal que je viens abattre sur son dos. Ainsi, je le fouette encore, encore et encore en essayant de déterminer jusqu'où peuvent aller ses limites, si un bruit minime va sortir de sa bouche. Seulement, je n'entends rien, il encaisse simplement. Même si je suis fière de lui, cela reste assez frustrant étant donné que j'adore entendre mes victimes crier.

Mais je ne m'arrête pas pour autant, je continue à frapper avec la chaîne. Plusieurs os ont craqué et son dos n'est pratiquement que lambeau. Des morceaux de chair sont éparpillés à ses pieds, pendant que d'autres pendent encore sur lui ne tenant plus qu'à un fil.

Après avoir reposé la chaîne sur la table qui se trouve près de la porte, je remonte les manches de ma chemise pleine de sang, découvrant ainsi l'encre noire qui couvre mes bras et mes mains.

Je prends une clope et commence à tirer une taffe envoyant la fumée au visage de l'homme qui a osé me trahir en obéissant pas aux simples règles que je lui avais données.

Je m'approche un peu plus de lui et demande.

- Je suis qui, moi ?

- Le patron. Il me répond avec difficulté

- Tu as tout compris. Dans ces conditions, quand je te donne un ordre, qu'est-ce que tu dois faire ?

- Obéir.

Je lui fais un sourire en coin en tirant une nouvelle fois sur ma cigarette.

- Exactement. Donc rappelle-moi qu'elles étaient les règles concernant ma mère ?

- La frapper jusqu'à ce qu'elle nous supplie d'arrêter.

Je sens qu'il va bientôt s'évanouir, alors, je lui fous un coup de poing, ce qui a pour conséquence de le réveiller aussi sec.

- Reste avec moi Dario ! on en à bientôt fini. Continue, parce que ce n'est pas la seule règle que je t'avais donnée.

- Si votre père essayait de la récupérer, on devrait la violer devant lui.

- L'a-t-il fait ?

Il secoue la tête négativement. J'écrase la fin de mon mégot au coin de sa bouche avant de le jeter.

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