XXXVIII.

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Le mirage de mes songes passe si vite
Le ciel des rêves est traversé par celui-ci
Une femme prenant mon coeur ermite
Voyant le jeune rêveur le fait ami

Une robe d'été tombe sur cette courbe
Fantasque miroir du désir unique
D'un coeur en plein dans la bourbe
Du marais mort dans le magnifique

La beauté tua la beauté de son glaive
Le mirage tua le mirage de sa lame
"Mort!" crient-ils sur cette Eve

Le matin, disparait la flamme
Réveille et augmente le chagrin
Elle renait chaque soir.

MelancholiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant