Love in the Fast Lane

•chapitre 11•

Amortentia

Je regarde mes réseaux pendant que Lewis dort dans mes bras, il y a plus de commentaire gentil que des commentaires méchant, hier ça faisait 2 semaine que j'avais pas ouvre mes message privé, trois semaine sont passé depuis l'annonce de mon autiste, j'ai été 4e à Baku et cette semaine on été à Singapore, il reste 6 course avant la fin de la saison, l'année prochaine je serais plus en Formule 1, c'est ma dernière année, j'arrête le sport automobile en temps que pilote. Un message privé attire mon attention, c'est un pilote de Formule 2, il s'appelle Kimi Antonelli, j'ai déjà entendu son prénom, il me pose une question.

Kimi : Bonjour, je voulais vous poser une question, comment faites vous pour ne jamais douter de vos capacités ?

Cette question me rappelle mes premières années en tant que pilote chez porche en Hypercar, on me disent que j'étais talentueuse pour une femme, je déteste qui precis que j'étais une femme, comme si s'étais different pour une femme que pour un homme, je suis talentueuse. J'ai douté de mes capacités pendant très longtemps, je crois que si on ne doute pas de nos capacités c'est qu'il y a un problème. Je vais lui répondre, j'aime bien répondre au message privé qui sont aussi pertinent, c'est des questions que tout le monde se pose.

Moi : Bonjour, je pense que chaque pilote à déjà doute de ces capacités, je mentirais si je disais que je n'ai jamais douté de mes capacités. Si aucun pilote douté aucun pilote serais talentueux, on peut douter de nos capacités mais il ne faut pas oublier que si on n'était pas doué, on serais pas en Formule 1 ou en Formule 2, cela veut dire que l'on est plus doué que certains qui ne sont pas réussir à arriver jusqu'ici.

Je souris en sentant Lewis bouge, je pose mon téléphone sur la table de nuit, je passe délicatement mes mains dans ces tresses, je sens sa respiration s'accélère, il est en train de se réveiller, quelques minutes plus tard il lève sa tête pour me regarde, je continue de jouer avec tresses, ces yeux sont fixés dans les miens, il soupire, il est magnifique même au réveille.

Lewis : Bonjour Sweetie

Moi : Bonjour mon cœur

Lewis : bien dormi ?

Moi : très bien et toi

Lewis : très bien aussi

Je pose mes lèvres des siennes, après ce baisers, il met son front contre le mien, nos respirations se mélange, les mains de Lewis sont sur mes hanches tant dit que je met les miennes sont sur ces joues, nous avons les yeux fermés, ça fait si longtemps que j'ai pas ressentir ça, le calme et la paix en même temps. Lewis arrive à touche mon corps sans que je suis malaise ou dégoûté de mon propre corps , comme si mon autisme est de côté alors qu'hier matin avant qu'il arrive à l'hôtel, j'étais en crise, j'ai pu récupérer mon chien, il n'y as pas si longtemps que ça, Lewis m'a aidé. Lewis et moi, nous ne somme pas encore montré ensemble sur les réseaux même pas dans les interviews, on reste silencieux, Charles me parle beaucoup moins, j'imagine qu'il n'ai pas content que je soit en couple avec Lewis, en 3 semaines beaucoup de chose se sont améliore, le harcèlement sur réseaux c'est presque arrête, je suis première au classement des pilotes, Max est à 30 point de moi, j'ai pu récupérer mon chien et je suis en couple avec Lewis.

Lewis : Je t'aime Amortentia Hacker.

La voix de Lewis me sort de mes pensées, je souris en l'entendant dire c'est 5 mots.

Moi : Je t'aime aussi Lewis Hamilton.

nos voix sont douces, l'atmosphère est très calme et reposant, mon téléphone vibre, j'imagine que c'est Kimi qui m'a répondu.

Lewis : tu penses que c'est qui ?

Moi : j'imagine que c'est Kimi Antonelli.

Lewis : pourquoi, lui ?

Moi : il m'avait envoyé un message.

Je sens les mains de Lewis caresser mes hanches, mes mains caressent ces joues, sa peau pourrait être décrite avec les mots douce et délicate, il m'embrasse encore.

Lewis : on va déjeuner Sweetie ?

Moi : oui, mon cœur.

Lewis me serre dans les bras puis commence à se lève, je vois son tatouage dans le dos, je souris, j'adore voir Lewis assise dos à moi avec ces mains sur le lit, Lewis est remplie de tatouage, c'est juste magnifique, ces tatouages vont tous bien ensemble, j'aime tellement touché les contours du tatouage dans son dos.

Moi : Still I Rise ?

Il se retourne pour me regarder, il sourit, il le sais que j'adore ces tatouages.

Lewis : je m'élève encore.

je le regarde, je souris, je l'aime et maintenant j'assume .

Moi : tu es magnifique mon cœur.

Lewis : merci, tu es magnifique aussi ?

Moi : merci beaucoup .

On vas s'habiller, Lewis porte son ensemble noir de Rick Owens, Tant di que je porte une robe noir en soie de Prada, Lewis m'aide attacher la robe, je sens sa mains glisser sur ma colonne vertébral, je frissonne .

Lewis : j'aime beaucoup ta robe.

Moi : merci mon cœur.

Lewis : tu serais magnifique avec un tatouage dans le dos.

Moi : j'aimerais beaucoup mais j'aime pas le contacte.

Lewis m'embrasse l'épaule.

Lewis : si un jour, tu voudras un tatouage, je serais là pour t'accompagner.

Je sourit, je m'assois sur le lit pour mettre mes chaussures mais Lewis se met à genoux pour me mettre mes talons de Yves Saint Laurent , je le regarde faire.

Moi : merci, mon cœur.

Lewis : de rien Sweetie.

Quelques minutes plus tard, on descend pour aller prendre le petit déjeune au restaurent de l'hotel, en rentrant dans la pièce, je m'arrête pour observe les alentours, la pièce est blanche avec du bois noir, il y a de grandes vitres on peut voir les journaliste nous prendre en photo. Lewis me tient la main, il se retourne vers moi, il sait que je fais ça pour que cela ne m'angoisse pas, quelques secondes après je recommence à suivre Lewis, on va manger. On va s'asseoir à une table, il as pris des œufs avec du bacon pendant que je mange un yaourt avec des fruits, je sais qu'il va avoir des rumeurs sur nous, mais on s'en fout complètement. On mange tranquillement jusqu'à ce que Lando Norris et Oscar Piastri rentrent dans le restaurant en se disputant, je regarde Lewis, on rigole, on a tellement l'habitude qu'ils se disputent que cela, nous fait plus rien. On continue à parler, on est dans notre bulle, plus rien à autour de nous, on est dans notre monde, c'est vrai qu'on est très proche.