Gabriel attal x Jordan bardella choisi moi!

Chapitre 2: silence radio

6 mois plus tard;

Gabriel avait réussi, il était devenu premier ministre, l'achèvement de son travail acharné durant ces dernières années. Il passait ses journées à rencontrer des ministres, à examiner des rapports, à proposer des lois et à s'assurer que les projets étaient exécutés avec efficacité. Sa passion pour son travail était telle qu'il n'avait pas de temps pour autre chose. Les loisirs, les sorties et même les moments de détente avec sa famille étaient rares. Il repensait de temps en temps à la dernière fois qu'il est sorti, malheureusement cette histoire avec ce Jordan n'a jamais eu de suite, car Gabriel n'a jamais eu le courage de lui envoyer un message.

Un jour, un débat crucial fut annoncé. Gabriel devait affronter l'un de ses principaux opposants politiques, dans un débat télévisé, Il avait entendu dire qu'il était charismatique et possédait une grande éloquence. Il critiquait souvent les politiques de Gabriel et était populaire auprès d'une partie de la population. Le débat s'annonçait intense et plein de surprises.

Pendant les jours qui précédaient le débat, Gabriel se plongea dans les préparatifs. Il passait des heures à étudier les dossiers, à consulter ses conseillers et à élaborer des stratégies. Ses nuits étaient courtes et souvent sans sommeil, mais il ne laissait jamais paraître sa fatigue. Son équipe le soutenait, reconnaissant son dévouement et sa détermination.

A force de travailler Gabriel manqua de se réveiller, il était en retard pour ce fameux débat. finalement il arriva de justesse en train de se préparer en loge et revoit rapidement le dossier de son adversaire. il entre sur le plateau et l'émission commence. Il parle rapidement avec le présentateur avant que son adversaire arrive sur le plateau à son tour, mais lorsque le présentateur introduit le représentant du parti politique opposant, le cœur de Gabrielle manqua un battement et il arrête de respirer quand  le fameux garçon mystérieux arrive sur le plateau. il avait l'impression de rêver il n'y croyait pas comment se faisait-t-il qu'il n'avait pas remarqué avant que son opposant était la même personnes avec qui il avait passé la meilleure nuit de sa vie, c'était sûrement à cause du manque de sommeil ou le travail acharné. Il avait jamais fait attention au nom qui était inscrit sur les dossiers qu'il avait tant étudié. Il connaissait tout de sa vie. Il n'avait jamais pris la peine de relever son nom, en face de lui Jordan Bardella, son ennemi juré jusqu'à présent et aussi le seul homme qui lui avait fait ressentir quelque chose depuis des années. Il devait garder la tête froide pour la télé. Il ne pouvait pas faire de faux pas mais c'était très dur pour Gabrielle de cacher ses sentiments.

Gabrielle ne s'était pas trompé, il savait que le débat allait être intense, mais ne savais pas que c'était à cause de Jordan.
Une fois le débat fini,Gabriel retourne dans sa loge. Il se passa de l'eau sur le visage pour Essayer de remettre les idées en place, il venait de revoir ce qu'il pensait être l'amour de sa vie mais ce n'était pas les retrouvailles qu'il espérait. Il avait bien compris que Jordan était en colère contre lui et il avait des raisons. mais Gabrielle ne voulait pas y penser, il voulait seulement rentrer chez lui et dormir, il s'est dit qu'il verrait ça avec Jordan un autre jour peut-être si il arrive à trouver le courage.

Mais quelqu'un toque à la porte, pensant que c'était sûrement un des membres de son équipe,  Gabriel l'invite à rentrer mais quelle ne suis pas sa surprise. Quand il remarqua que ce n'était pas son assistante, mais bel et bien Jordan.

« -Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu n'as pas le droit. Bégaya-t-il décontenancé par la situation.
- J'ai besoin de te parler en privé. Jordan ferma la porte à clef derrière lui.
- Non je n'ai pas le temps pour ça je dois y aller. Tenta de le raisonner Gabrielle pour qu'il parte.
-Oui, comme d'habitude, tu n'as jamais le temps pour moi.
-Écoute si tu fais référence à cette nuit, là je regrette de pas t'avoir envoyé de message mais j'étais débordé par le travail. Se justifie maladroitement Gabriel.
-Oh alors tu n'as pas oublié notre nuit c'est bizarre, je pensais que c'était le cas vu la manière dont tu réagis avec moi. Lacha Jordan amèrement. Je pensais que tu étais différent de tous les autres mecs que j'avais déjà rencontré mais en fait t'es quand même.
-Je t'interdis de dire ça, tu me connais pas. Gabrielle s'approcha rapidement de Lui jusqu'à ce que leur visage sois qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.
- Alors quoi c'est Nuit ne voulais rien dire pour toi c'est pour ça que tu vas pas renvoyé de message après.
- Ce n'est pas ça, et tu le sais très bien. Souffla Gabriel.
- Non je ne le sais pas, c'était y'a six mois et j'arrive toujours pas à passer, Putain tu me rends fou Gabrielle à me faire de tes sourire en coin, ça n'a aucun sens. S'exclama Jordan sous la surprise de son adversaire.
-Non tu as raison, ça n'a aucun sens, aucun sens, on est ennemie maintenant je ne peux pas te parler tu ferais mieux de partir. Gabrielle eu le cœur qui se serra, Il ne voulait pas le laisser partir mais il était obligé Jordan est un ennemi de son parti maintenant. il ne pouvait pas pactisé avec Lui, Toute relation était interdit maintenant.
- Très bien et à partir du moment où je franchirais cette porte,nous serrons ennemis et rien d'autre, Je te lâcherai pas avant de t'avoir détruit comme tu m'as détruit. Jordan lui a lancé un regard noir, mais triste à la fois avant de partir en trombe. »

Encore sous le choc Gabriel  s'assoie sur une chaise et passe sa main sur son visage pour se remettre les idées en place. Comment avait-il pu en arriver là? Son téléphone sonne, c'était Emmanuel Macron il voulait savoir comment s'était passé le débat il avait pas le temps de le regarder à la télé. Gabriel la rassurer en disant que bientôt Jordan Bardella sera anéanti et que ça sera Gabriel qui portera le coup final. Il avait larmes aux yeux en disant ça, il voulait tout sauf le détruire. Mais Il était obligé pour son parti politique, pour son poste, en tant que premier ministre, et pour Emmanuel Macron.

La guerre était dorénavant déclaré, il ne savait pas comment, et quand elle allait s'arrêter