Gabriel attal x Jordan bardella choisi moi!

Chapitre 19: après la tempête

"Marine, c'est Gabriel," dit-il, sa voix tremblant de colère. "Écoute-moi bien. Ce que Jordan et moi faisons de notre vie privée ne te concerne pas. Et je ne te permettrai pas de menacer notre relation."

Marine éclata de rire sarcastiquement de l'autre côté de la ligne. "Gabriel, tu n'as aucune idée de ce que tu fais. Tu es en train de détruire tout ce que nous avons construit. Jordan appartient à notre parti, à notre cause. Et toi, tu n'es qu'une distraction."

Gabriel serra le téléphone si fort que ses jointures blanchirent. "Je ne suis pas une distraction, Marine. Jordan et moi sommes ensemble, et rien de ce que tu diras ne changera cela. Ton contrôle s'arrête ici."

Marine resta silencieuse un instant, puis sa voix devint froide. "Très bien, Gabriel. Mais sache que ceci aura des conséquences. Jordan appartient à notre parti. Il n'y a pas de place pour un... pour un désordre comme toi."

Gabriel sentit sa patience s'effriter. "Marine, tu parles de Jordan comme s'il était une propriété. Il est un être humain avec des choix, des sentiments. Et il a choisi d'être avec moi."

"Choisi ?" ricana-t-elle. "Jordan n'a pas choisi. Il est simplement perdu. Et je suis là pour le remettre sur le droit chemin."

Gabriel ne put plus contenir sa colère. "Tu es un monstre, Marine. Ton étroitesse d'esprit et ta haine sont les véritables problèmes ici. Jordan mérite mieux que d'être manipulé par une personne aussi vile que toi."

"Vile ? Moi ?" Marine cracha les mots avec une fureur froide. "Regarde-toi. Tu n'es qu'un opportuniste. Tu as détruit ta carrière, et maintenant tu t'accroches à Jordan comme un parasite."

Gabriel prit une profonde inspiration, luttant pour ne pas crier. "Jordan et moi, nous nous soutenons mutuellement. C'est ce que font les gens qui s'aiment. Quel concept étranger pour toi, n'est-ce pas ?"

Marine répondit par un silence glacé avant de lancer une dernière attaque. "Tu es une honte, Gabriel. Une honte pour la politique, pour notre pays. Et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour m'assurer que tu ne t'approches plus jamais de Jordan."

Gabriel, malgré la colère qui bouillonnait en lui, parvint à répondre avec une voix tremblante mais ferme, "Et moi, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour protéger Jordan de personnes comme toi. Parce que contrairement à toi, Marine, je sais ce que signifie réellement aimer quelqu'un."

Il raccrocha brutalement, les mains tremblantes de rage. Jordan prit doucement le téléphone des mains de Gabriel, puis l'attira dans ses bras. Gabriel se laissa aller dans l'étreinte, sentant la chaleur réconfortante de Jordan l'envelopper.

"Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer," murmura Jordan. "Et puis, tu devrais aller prendre une douche. Je t'assure que tu es beaucoup plus convaincant quand tu ne sens pas la colère et la sueur."

Gabriel sourit malgré lui, un léger rire s'échappant de ses lèvres. "Merci pour le compliment," répondit-il sarcastiquement. "Je suis sûr que c'est exactement ce dont j'avais besoin d'entendre."

Jordan sourit et lui donna une tape affectueuse sur le dos. "Allez, file. Je m'occupe du petit-déjeuner. Et ne t'inquiète pas pour Marien. Nous trouverons une solution."

Gabriel acquiesça, se sentant un peu plus léger grâce à l'humour de Jordan. "D'accord. Mais ne brûle pas la cuisine pendant que j'y suis."

Jordan leva les mains en signe d'innocence. "Je te promets, pas d'incendies aujourd'hui. Juste des œufs brouillés et du café."

Gabriel rit et se dirigea vers la salle de bains, laissant derrière lui une partie du poids qui l'avait accablé. Jordan le regarda partir, un sourire tendre sur les lèvres. Il savait que ce ne serait pas facile, mais il était déterminé à se battre pour leur relation.

En attendant que Gabriel finisse sa douche, Jordan se mit à préparer le petit-déjeuner. Les œufs brouillés et le café emplissaient bientôt l'air d'une odeur réconfortante. Quelques minutes plus tard, Gabriel réapparut, les cheveux encore humides et une serviette autour du cou.

"Voilà, c'est mieux," dit Jordan en lui tendant une tasse de café. "Prêt pour une journée meilleure que celle d'hier ?"

La journée s'était écoulée sans accrocs, une rare tranquillité que Gabriel et Jordan savouraient pleinement. Pas d'appels d'urgence d'Emmanuel, pas de drame avec les paparazzi, et aucune confrontation avec Marine. C'était juste eux, ensemble, profitant d'une journée ordinaire, un luxe précieux dans leur vie tumultueuse.

En fin d'après-midi, une visite surprise fit son apparition. La sœur de Gabriel, se tenait à la porte avec ses deux jeunes enfants, âgés de moins de dix ans. Ils étaient très proches, et Gabriel sourit en la voyant, bien que surpris. Sa soeur, un peu embarrassée, expliqua qu'elle avait une urgence à régler et que personne d'autre n'était disponible pour garder les petits.

"Je suis désolée de débarquer comme ça," dit-elle. "Je sais que vous devez être occupés, mais c'est vraiment urgent."

Gabriel jeta un coup d'œil à Jordan, qui acquiesça malgré son malaise évident avec les enfants. Gabriel lui sourit, reconnaissant de son effort.

"Ce n'est pas un problème" dit Gabriel. "On s'occupera des enfants. Vas-y, fais ce que tu as à faire."

Elle les remercia chaleureusement et s'en alla après avoir embrassé ses enfants. Les petits se tournèrent vers leurs oncles avec des yeux curieux et pleins d'excitation.

"Alors, qu'est-ce qu'on fait maintenant, tonton Gabriel ?" demanda le premier.

Gabriel sourit et se pencha pour être à leur hauteur. "On va trouver quelque chose de sympa à faire. Qu'est-ce que vous diriez d'un petit film et de quelques jeux ?"

Les enfants acquiescèrent avec enthousiasme, et Gabriel jeta un regard encourageant à Jordan. Ils s'installèrent dans le salon, mettant un film d'animation pour les enfants tout en jouant à des jeux de société. Au début, Jordan semblait un peu maladroit, mais rapidement, il se détendit en voyant à quel point ils étaient faciles à vivre.

Gabriel les regardait interagir, un sourire attendri sur les lèvres. C'était une nouvelle facette de Jordan, plus douce et plus vulnérable, qui lui plaisait énormément. Jordan, malgré son malaise initial, fit des efforts pour participer et plaisanter avec les enfants, ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux de Gabriel.

À un moment donné, un des petits grimpa sur les genoux de Jordan, lui montrant fièrement un dessin qu'il venait de faire. Jordan prit le temps de l'admirer et de le complimenter, gagnant un large sourire de l'enfant.

Alors que Gabriel avait terminé de débarrasser la table, il retourna dans le salon, où il trouva une scène attendrissante. Les petits étaient blottis dans les bras de Jordan, tous les trois profondément endormis sur le canapé. Un sourire se dessina sur les lèvres de Gabriel, et il s'affaissa doucement contre le mur, les observant avec une tendresse silencieuse.

Jordan, malgré ses réticences initiales, semblait parfaitement à l'aise avec les enfants. Gabriel ressentit une vague de chaleur en le voyant ainsi, réalisant à quel point Jordan s'était impliqué pour lui faire plaisir. Cette image de Jordan, entouré de ses neveux, renforça encore davantage son amour pour lui.

Après un moment, Gabriel se redressa doucement et s'approcha du canapé. Il hésita un instant, puis décida de ne pas les réveiller. Il alla chercher une couverture et la drapa délicatement sur eux pour les garder au chaud. Ensuite, il se laissa tomber dans un fauteuil à proximité, regardant encore un moment la scène paisible devant lui.

Nda:
Je tiens a rappeler que ceci est une FICTION, elle ne représente en aucun cas la réalité et la situation réel et actuel des personnages. Et que la Fanfiction a pour but de divertir et pas de prendre parti ou encore de dédiaboliser quelconque partis politiques. Je trouve ça important de le rappeler étant donner la situation actuel.

Voila voila sinon j'espère que vous kiffer toujours autant mes chapitres, je vous remercies pour tous vos commentaires que je prend le temps de lire un par un, qui me régale les uns après les autres. <3