Un jour, un peintre aristocrate datant du 1 ier siècle, le plus connu et le plus ancien de tous les peintres de l'histoire de l'humanité, s'attela à ce que sept de ses pinceaux lui reproduisent une illustration des plus exactes de ce qui fut tout droit tiré des profondeurs de ses pensées. Dépeignant une oeuvre intitulée « être humain » et qui avait la capacité de se mouvoir sur le tableau en face de lui, car, étant devenu lui-même la vie de cet ouvrage de distinction. Après quoi, celui-ci se reposa de tout le labeur dû à son grand art et un âge tout entier fut marqué comme son repos tant sa peinture fut d'une très grande beauté et ingéniosité.
Cependant, cet artiste dans sa grande imagination ne voulut pas seulement peindre une toile préhistorique, rupestre ou pariétal qui resterait malgré tout, à toujours une image figée sur un tableau, mais il se lança bien plus loin et donna à son chef-d'œuvre en plus de l'être et du mouvement, la capacité à prendre forme hors du tableau devant lequel il se tenait assis dans son repos. Désirant lui-même donner à son ouvrage peintural la possibilité d'avoir part avec lui, tant son œuvre lui était chère. Alors, ce peintre d'une grande dextérité, sache-le, c'est Dieu. Son ouvrage façonné avec habileté c'est toi, et les 7 pinceaux sont 7 esprits qui t'environnent à l'instant même.
Allez, maintenant ferme lentement les yeux, inspire tout doucement, puis expire. Laisse toi emporter par le chemin qui s'ouvre devant toi, il te conduira dans un sanctuaire nommé vérité, qui t'informera de l'endroit où se trouve caché le grand trésor, l'éternelle vie. Oui c'est à toi que je m'adresse, oui toi, toi qui tient ce livre entre les mains.
Marque la pause suite à ces 7 chapitres parcourus qui sont 7 chemins tout tracés ! Et Reprends le souffle ! Marque la pause et retourne maintenant dans la vie de ton existence qu'est ce peintre.Era, tera, ordim elevat ......
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𝐋𝐄𝐒 𝐅𝐋𝐀𝐌𝐌𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐋'𝐀𝐌𝐎𝐔𝐑 : 𝐓𝐇𝐄 𝐒𝐓𝐎𝐑𝐘 𝐎𝐅 𝐌𝐈𝐋𝐇𝐈𝐀
Paranormal« Pennsylvanie Allentown , Avenue cosper 10:54 Et quand les effluves effrénées des corps inhumés s'évaporaient dans les cavités nasales, atténuant fragrance d'existence, la conscience erronée du terrestre s'évanouissait telle une ombre dans l...