LA LUMIÈRE D'UNE VIE ( Attal X Bardella )

Fuir son passé

Cette histoire est fictive et ne représente en aucun cas les personnes politiques présentent dedans. Je les emploie dans cette histoire afin de faire passer un message, et car il y a beaucoup d'engouement envers ce "couple". Ne vous basez pas sur ça et sur d'autres fanfictions,edits, ect pour aller voter. Voter pour leurs idées et non pour des personnes. Merci.

Encore une nouvelle journée pour Gabriel, chaque jour se ressemblait depuis son agression. Ses journées se résumaient à se lever, du moins si il y arrivait, aller au travail et rentrer chez lui. Depuis ce jour tragique, il ne trouvait plus de goût à la vie. Sa vie ne se résumait qu'à une chose : le travail. C'était la seule chose sur lequel il s'accrochait afin de rester en vie, malgré qu'il n'en avait plus envie.

Sa vie n'était qu'une rose fanée, ayant perdue tous ses éclats et toute sa beauté, celle que personne ne voulait ramasser.
Il se demandait si un jour il réussirait à retrouver rien qu'un petit sourire sincère sur son visage. Le problème avec Gabriel c'est qu'il "se demandait" trop. Il se demandait si un jour il irait mieux, il se demandait si un jour il réussirait à oublier son passé douloureux, il se demandait si il trouverait quelqu'un qui voudrait bien de lui, il se demandait sans cesse. Il pensait trop, était trop préoccupé, et ça le rongeait. Ça le rongeait non seulement lui, mais également les seuls proches qui lui restaient, enfin, ceux qui étaient restés malgré son comportement qui avait changé du jour au lendemain.

Lorsque sa famille lui parlait à un repas ou quand ses amis lui parlait lorsqu'ils allaient discuté dans un parc comme il avait l'habitude de faire, ses réponses se résumaient à "oui, non, rien, peut être," ou parfois il ne répondait même plus. Perdu constamment dans ses pensées, en se demandant toujours un tas de choses auxquelles il savait qu'il n'aurait jamais les réponses.

Puis, il repensa à ce jour. Toutes ses pensées le ramena à ce jour. Son esprit était focalisé sur ce jour. Lorsqu'il revoyait les vêtements qu'il portait ce jour là, lorsqu'il passait devant l'endroit où il a été violemment agressé, ou tout simplement lorsque quelqu'un le touchait même si ce n'était que pour lui faire une petite tape sur l'épaule ou une poignée de main amicale. C'est là qu'il comprit qu'il ne pouvait pas échapper à son passé. Malgré toutes ses tentatives à l'oublier, c'était un échec. Car tout le ramenait à son agression. Il n'était plus le même depuis, sentant son cœur se briser un peu plus chaque jour, chaque souffle était un coup de couteau car il ne songeait qu'à une chose : mourir. Mais il n'en avait jamais eu le courage, en tout cas pas encore.
Il y avait toujours une petite lumière en lui, qui croyait encore en lui, mais il n'y prêta attention car il y avait trop d'obscurité en lui.

Gabriel rêverait qu'un jour, on lui tende la main et qu'on lui demande si ça allait. Ses proches n'avaient jamais prêté attention à sa santé mentale, ils le critiquaient seulement lorsqu'ils ont vu Gabriel changé, inconscients que derrière ce comportement d'un homme soûlant, se cachait finalement un homme mourant.