LA LUMIÈRE D'UNE VIE ( Attal X Bardella )

Plaisir intense

Après avoir appris que Gabriel était apte à sortir de l'hôpital, Jordan l'aida à prendre ses affaires et le ramena en voiture.

- Tu peux mettre le chauffage s'il te plaît je meurs de froid, dit Gabriel d'une voix tremblante.

- Désolé mon gaby mon chauffage ne marche pas..

Une fois arrêté à un feu rouge, Jordan enleva sa veste et la mit autour de Gabriel afin qu'il puisse se réchauffer. Sa veste était encore chaude grâce à la chaleur corporelle de Jordan et elle sentait son odeur, il voulait la garder pour toujours.

Une fois arrivé à l'appartement de Gabriel, Jordan ne voulait pas le laisser seul, par peur qu'il refasse une bêtise ou qu'il ne se sente pas bien.

POV Jordan

- Gabriel je veux rester cette nuit avec toi.

Je le voyais rougir et écarquillés ses yeux, tout gêné.
-Q-quoi?..

- Je vais dormir ici. Tu viens de rentrer de l'hôpital alors peut être que tu aurais besoin d'aide.
Je venais d'inventer un prétexte mais il n'y voyait que du feu.

Un sourire aux lèvres, il se retourna afin de ranger ses vêtements. Pendant ce temps je m'asseyai sur son canapé  en compagnie de sa chienne Volta, elle était trop mignonne !!
- Jordan si tu veux tu peux aller te doucher.

Une fois sous la douche, je pensai à la nuit que j'allais passer avec l'homme que j'aimais par dessus tout. Je pensais à nos corps proches, son souffle transpercé mon cou et à ses beaux yeux plongés dans les miens.
J'étais en train de me sécher quand soudain la porte s'ouvrit : c'était Volta.

- Volta revient ici !! Désolé Jor-

POV Gabriel

Wow.

Lorsque j'allais refermer la porte de la salle de bain je vis Jordan, une serviette à la taille, ses cheveux mouillés, et des gouttes parcourant ses abdos. Un plaisir visuel. Je restai focalisé sur son corps musclé. Tout d'un coup je repris mes esprits et je me rendis compte de ce que j'étais en train de faire.

- P-pardon Jordan je... je vais fermer.

Aussitôt, je sentis le bras de Jordan m'attraper par la taille. Nos corps étaient proches, mes yeux plongés dans les siens, nos fronts se touchaient.
- J-jordan tu me rends fou je te jure.. disais je avec une voix fébrile. Ce mec me faisait perdre la tête.

Il se mordait la levre inférieure tout en me regardant. Je n'avais qu'une envie : de l'embrasser.
J'approchai mes lèvres des siennes mais il reculait sa tête, afin de me voir mourir d'impatience.

Après un long moment, nos lèvres se touchèrent enfin. Tous les deux savouraient ce baiser si doux, passionné mais à la fois violent et plein de désir. On ne s'arrêtait plus : cela faisait tellement qu'on attendait ce moment. Il me plaquait contre le mur, prenait mes deux cuisses afin de me porter et de me déposer sur le lavabo, tout en s'embrassant.
Lorsqu'on s'embrassait, rien ne comptait. Ce n'était que lui et moi.

Il commençait à déboutonner ma chemise petit à petit, un bouton à la fois, si lentement que j'en devins fou. Je ne voulais qu'une chose : qu'il me l'arrache.
Ses mains parcouraient mon torse, pendant que mes lèvres exploraient son cou. Jordan mit sa tête en arrière, pris par le plaisir. Il faisait si chaud. Mais peu importe, qu'il fasse chaud, froid, qu'il vente, tant que nous étions ensemble, tout allait bien.

Malheureusement, une personne toqua à ma porte.

Et merde.

- attend moi Jordan, ne fait pas de bruit je reviens très vite, disais je tout en remettant ma chemise et essuyant mes gouttes de sueur.

- ne part pas... Gabriel je n'ai pas fini d'explorer tout ton corps et de goûter tes lèvres.. il m'attrapait le bras, m'empêchant d'aller ouvrir, pour m'offrir un dernier baiser intense.

- je.. reviens promis lui chuchotais je dans son oreille.

Je respirai un bon coup avant d'ouvrir la porte, tout en me recoiffant pour être présentable. Ce n'était que le livreur, enfin il était déjà parti mais m'avait laissé un colis. Je l'ouvrirai plus tard, pas le temps, Jordan m'attendait.

Jordan était sorti de la salle de bain  et m'attendait dans la cuisine, il s'était servi un verre d'eau, tellement emporté par la chaleur.
- ce n'était que le liv- je n'ai même pas eu le temps de finir ma phrase qu'il m'embrassa, encore et encore, en me touchant en dessous du bas du dos. Il me poussa sur mon lit, me prit afin de me mettre sur lui. J'enlevai violemment ma chemise, ainsi que mon pantalon. Lui, était toujours en serviette. Il embrassait chaque partie de mon corps, il appréciait chaque partie de mon corps contrairement à moi qui me détestait corps et âme.
- j'embrasserai chaque partie de ton corps une centaine de fois encore si il le fallait, jusqu'à que tu les aimes à ton tour.

Mes mains descendirent de son cou, jusqu'à son torse, déposant des baisers de partout. J'étais tellement bien à ses côtés. Je voulais que ce moment ne se termine jamais.

Pov Jordan

Je pris Gabriel et je me mis sur lui. Je pris ses poignets, pour qu'il soit dans l'incapacité de bouger. Je lui chuchotais des mots doux dans ses oreilles.
- je t'aime Gabriel, je suis tout à toi, tu es à moi...

Ce qui fit réagir Gabriel, il rougissait, tout en gémissant de plaisir face à ce que son adversaire politique lui disait. Mes cheveux étaient encore mouillés, quelques gouttes tombaient sur le torse et le visage de Gabriel, que j'essuyai petit à petit. Je le décoiffais, je le voyais, il fermait les yeux. Il appréciait tellement ce moment. Je mourrai d'envie d'encore l'embrasser, mais je le fis patienter encore un moment, pour le rendre fou de moi.

- Jordan embrasse moi.. me suppliait il. Une de ses mains était accroché derrière mon dos et mes épaules musclés, son autre main parcourait mes abdos. Il adorait ça.

Nos visages étaient si proches, nos souffles se rencontraient, se mélangeaient. Je déposais des baisers doux de partout sur son visage, ses joues, les coins de sa bouche, son front, sauf ses lèvres. Je voulais le voir mourir d'envie. J'aimais tellement tout de chez lui. Son physique, son caractère, il était parfait.

-putain Jordan embrasse moi je t'en supplie... j'en meurs d'envie.

- patiente encore un peu gabychou..
disais je tout en caressant ses lèvres du bout de mes doigts.

Enfin, je lui offris le meilleur des baisers. On s'embrassait violemment, passionnément, langoureusement, comme si c'était le dernier. Je caressais du bout de mes doigts ses joues et lui continuait à parcourir avec ses mains mes abdos et même en dessous. Ce baiser était sans doute le plus sensuel de tous, le plus long.

Épuisés, Gabriel s'endormit torse nu sur mon torse, pendant que moi j'essayai de reprendre mon souffle après ce moment intense partagé avec lui.

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J'ai vu que vous étiez quelques uns à lire cette histoire. J'espère qu'elle vous plaît ! Et merci beaucoup, même si ce n'est que quelques vus, je ne pensais pas que cette histoire allait être lu un jour.
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