PDV Angel :
Nous mangeons dans la joie et la bonne humeur, quand une fille viens nous voir et parle avec Carter.
La fille : Salut beau gosse. Dit-elle en lui touchant le bras.
Carter : Tu n'as pas vue que je parlais avec mon ami ?
La fille : Qui ? Lui ? Dit-elle en me pointant du doigt avec ses longs ongles rose.
Carter : Oui, lui.
La fille : Je ne l'avais pas vu.
Carter : Tu veux quoi ? Lui dit-il en commençant à s'énervé.
La fille : Il y aura une soirée à 19 heures 30, ce soir. On y va ensemble ? Demande-t-elle en lui faisant un clin d'œil.
Carter : Voit-tu avec une meuf qui vient et qui ne voit même pas mon frère. Je ne veux pas y aller avec.
La fille : Connard. Elle s'en va furieusement.
Moi : Tu aurais pu y aller avec elle, tu sais.
Carter : D'un, je ne t'abandonne pas. De deux, elle t'a manqué de respect et tu sais très bien que je n'aime pas ça et enfin, tu as bien vu qu'elle n'était pas mon style de meuf. J'aime les vraies brunes alors qu'elle est brune colorer et mal maquillée, je préfère les femmes qui ne se maquille pas comme un clown, une femme naturelle quoi. Ou un homme.
Moi : C'est vrai que je ne t'ai jamais vu avec une personnes à la couleur de cheveux peu naturelle. Lui dis-je en rigolant.La pause de midi est finie, nous allons à notre cours de danse. Nous entrons et commençons à nous étirer puis le professeur arrive. Le cours se passe tranquillement, le professeur nous a parler de la soirée dont on a entendu parler.
Je me suis fait une amie, elle s'appelle Malia, elle très gentille et drôle (elle est mate de peau, des cheveux bouclés noir, des yeux noirs, d'1 mètre 70). Nous nous dirigeons dans le parking, la cloche de 15 heures sonne quand j'entends quelqu'un crié mon prénom.
Liam : Angel ? S'approcha-t-il essouffler.
Moi : Oh, Liam. Ça va ?
Liam : Ouais, vous n'auriez pas vu Théo ?
Carter : Il est encore dans des problèmes ?
Liam : Je te jure que je vais tuer notre frère. Lui dit-il les poings serrés.
Moi : Je suis sûre qu'il est avec une fille. Lui dis-je en rigolant.
Liam : Justement, c'est ça le problème.
Carter : Oh non. Ne me dit pas qu'il s'est encore taper une meuf déjà en couple.
Liam : Dans le mille. En plus c'est la copine du capitaine d'hockey sur glace. Dit-il désespéré.
Carter : Quand on parle du loup. Théo !! Dit-il furieux.
Théo : Oulala, il est fâché lui. Salut les mecs. Dit-il comme s'il n'y avais pas de problème.
Carter : Un hockeyeur ? Tu es sérieux là ? Lui dit-il en le prenant par le col.
Théo : Doucement, grand frère. Il lui enlève les mains qui attrape son col.
Moi : Calme-toi, Carter. Je suis sûr qu'il sait ce qu'il fait.
Théo : Merci petit cœur, il n'y a donc que toi pour me comprendre. Dit-il en me prenant dans ses bras.
Moi : Ah non, je suis d'accord avec tes frères mais tu fais ce que tu veux. Ne viens juste pas nous dire qu'on ne t'avait pas prévenu. Ça va mal se finir cette histoire. Je me dégage de ses bras.
Liam : Très mal même.
Moi : Aller, on rentre. Je crois que mes mères nous attendent.
Liam : Trop bien. Dit-il en sautillant.Nous nous rendons chez moi. Et y trouve Kaiya (L'une de mes mamans) assis dans le salon.
Kaiya : Mes fils. Dit-elle en nous regardant.
Carter : Salut Kaiya.
Théo et Liam : Salut, mon autre maman.
Moi : Hey, Mom.
Kaiya : Salut mon bichon. Alors les premiers cours ?
Moi : Ça c'est mieux passer que ce que j'aurais espéré.
Kaiya : Bah tu vois, je t'avais dit que ça allais bien ce passer. C'était bien la Corée du Sud, Liam et Théo ?
Théo : Franchement trop bien, c'est propre, c'est ouvert jusqu'à très tard, les femmes y sont belles, les vieux trop marrant enfin surtout à Busan. Et on s'est fait un nouveau tatouage.
Kaiya : Vous me montrez ?
Eux : Oui.Il relève leurs t-shirts et nous montre un aigle sur le côté gauche de Liam et sur le côté droit de Théo.
Kaiya : JA.DO.RE
Théo : Merci.
Kaiya : Vous avez faim ?
Moi : Grave.
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Le basketteur et moi
RomanceLa rentrée a déjà commencé mais pas pour Angel Castillo qui est nouveau dans son école de sport. Lui qui est très timide se fait une meilleure amie et des amis grâce à son meilleur ami. Jusqu'à l'instant où Jack Dunbar pose les yeux sur lui tout cha...