ADRIANO SANTINO
C'était quoi ce bordel putain ?
Ma femme ? D'où pouvait-il sortir de telles sornettes ? Ils m'ont bien niqué, au point de qualifier cette chose de ma femme. Je sentais la colère monter en moi, brûlant mes entrailles. Comment osaient-ils ? Cette salope d'espionne ne méritait que ma méfiance, et encore. Ils pensaient vraiment m'atteindre avec ça ?
Je savais bien qu'après cette foutue vidéo, mes ennemis n'hésiteraient pas à s'attaquer à elle. Je pouvais déjà voir leurs sourires sardoniques, leurs yeux brillants de malveillance. Mais qu'ils essaient. J'irai la libérer, mais en échange de rien. Elle pouvait encore rester quelques jours dans la peur, avant de réellement flipper et de mourir par mes mains.
Pour l'instant, je devais me détendre. Cette salope m'a péter les couilles que je bandais comme un malade depuis des heures. Trois femmes étaient déjà passées par mon lit, mais aucune n'avait réussi à calmer cette rage en moi. Toujours tendu, toujours sur le fil du rasoir.
Une charmante blonde était agenouillée devant ma bite, ses yeux de biche remplis de supplication et de désir. Ses lèvres entouraient mon gland, sa langue caressant chaque centimètre de ma peau. Je frissonnais, mais c'était loin d'être suffisant. Elle léchait mes couilles avec une ferveur désespérée, espérant apaiser ma tension.
Elle essayait d'avaler, mais c'était trop gros pour elle. Un rictus sardonique apparut sur mon visage. Elle m'amusait, cette petite, avec ses tentatives pathétiques. Une idée me traversa l'esprit, une pulsion sombre et malsaine. J'empoignai ses cheveux blonds, les tirant violemment en arrière, et l'enfonçai brutalement dans sa gorge. Elle suffoqua, ses yeux s'agrandissant de terreur, et un rire sombre monta de ma poitrine, résonnant dans la pièce.
De ma main gauche, je saisis ses bras et les plaçai derrière son dos, les maintenant fermement. De l'autre main, je repoussai ses cheveux derrière ses oreilles, découvrant son visage. Elle me regardait toujours avec cette envie désespérée, maintenant mêlée à une peur viscérale. Elle commença à me sucer sans l'usage de ses mains, me faisant une gorge profonde. J'en profitai pour l'enfoncer encore plus profondément, pinçant ses narines pour l'empêcher de respirer.
Elle lutta, cherchant désespérément à se retirer, mais elle était bloquée par mes muscles. Ses yeux étaient rivés sur les miens, terrifiés par mon sourire sadique. Ses pleurs se mêlaient à ses suffocations, créant une symphonie de détresse. Ses efforts pour se libérer devenaient de plus en plus frénétiques, mais je ne relâchai pas ma prise. J'accélérai mes va-et-vient dans sa bouche de salope, sentant la pression monter en moi.
La malveillance brûlait dans mes veines, un feu noir et insatiable. Je ressentais un plaisir cruel en la voyant suffoquer, en sentant ses larmes couler sur mes cuisses. Elle était mon jouet, un instrument pour satisfaire ma haine et ma domination.
Elle s'étouffait, et moi, j'arrivai déjà à mon orgasme. Puissant, brutal, incontrôlable. J'accélérai encore, poussant un soupir de plaisir en jouissant dans sa bouche. Le sperme ressortit par ses narines. Je la relâchai enfin, et elle tomba, inerte, devant moi.
Malheureusement, elle n'était pas morte, juste évanouie. Je me rapprochai d'elle et vérifiai son pouls. Rien. Une vague de déception me traversa. Je voulais la voir brisée, achevée par ma volonté.
Moi : Oh putain, elle est morte... orhh, je comptais manger moi. Mais pas avec un cadavre devant moi.
Je rangeai ma bite dans mon pantalon, traversai le corps et sortis mon téléphone. Je composai le numéro de mon frère Elio. Après trois sonneries, il décrocha.
Lui : Il est 3h. J'espère que c'est important.
Moi : Réveille l'autre débile. Je sais qu'il est là vu que vous êtes mariés.
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Adriano
РазноеAdriano Santino, héritier d'un empire mafieux, incarne la puissance et le danger, ses yeux sombres dissimulant des secrets inavouables. Sa présence magnétique attire tout en inspirant la peur, et lorsqu'il croise Lune Perez, une femme de ménage intr...