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-vous et moi ?

-oui... Disons que c'est vrai que tu as une allure un peu négligé mais tu es plutôt jolie... Sans compter le fait que tu t'habille Comme un sac poubelle mais c'est peut-être ton style après tout ! Mais il y'a quelque chose dans ton regard... Je ne sais pas mais ça me renvoie des années en arrière, appelle moi marie pour commencer, du coup oui moi en ayant un peu de sincère campagne et toi en bénéficiant de ce dédommagement financier qu’en pense tu ?

Je lui souris faiblement, il faudrait que je me renseigne auprès de Marcus si elle n’a pas été diagnostiquer de folie

-en parlant de vos enfants je ne les voie jamais comment ça se fait ?

-tu sais quelque part j’ai l’impression d’avoir un peu échouer en tant que mère, Marcus est un garçon exceptionnel mais parfois sa gentillesse peut lui faire défaut et c’est un bourreau du travail, il ne jure que par ça et Spartacus en revanche ne jure que par ses nombreuses soirée et fête, je pense qu’après la mort de mon mari j’ai complètement perdu le contrôle.
Pourtant les deux ont eu la même éducation je n’arrive pas à comprendre…

-vous savez madame, elle me regarde avec un regard persan. Je veux dire marie chacun d’entre nous a une façon différente de vivre et de percevoir les choses, mais c’est ce que nous faisons de tout cela qui importe…qui compte réellement… Spartacus a peut-être vécu les choses de façon émotionnellement différente de son frère mais cela n’empêche qu’il ne reste dans le fond une personne gentil, je ne suis pas certaine de penser ma dernière phrase mais bon

-tu sais…pour une personne borner et qui refuse de se faire aider tu as plutôt bon sens

-je ne sais pas vraiment si c’est un compliment mais je pense qu’il vaut mieux le prendre comme telle

-tu me disais donc que tu marchais jusqu’à l’arrêt de bus ce matin,  pourquoi ne pas avoir pris un taxi ?

-faute de moyen voyez vous

-as-tu besoin d’une avance ?

-NON !

Mince trop vif, marie me regarde avec son expression presque médicale je me ses alors comme une petite sourie en cage

-ce n’est pas la première fois que tu refuses mon aide le sais-tu ?

-ah bon vous croyez ?
que me veut cette bonne femme...

-j’ai l’air de plaisanter ? réplique-t-elle
En se mordillant la lèvre inférieure, tu connais le syndrome de l'hyper indépendance ?

DETOXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant