Coup d'un soir

Chapitre 1 Coup d'un soir

Attention : âme sensible, chapitre un peu coquin🔥🔞

Main dans la main, nous quittons le bar et le bruit pour nous retrouver dans les rues endormis de New York. Mon coup d'un soir n'a pas été difficile à convaincre, le courant est passé direct. Je pose mon regard sur sa frimousse, plus petite que moi, elle est habillée d'une robe que j'ai follement envie de relever.

Les températures sont douces pour un mois de mai, soudain, elle s'arrête près d'une ruelle et me tire vers elle pour capturer mes lèvres. Ses doigts s'agrippent sur ma nuque, elle m'embrasse avec passion. Front contre front, ma respiration s'accélère.

— Chez toi ou chez moi ?

Elle hésite.

— Chez moi, je n'habite pas très loin.

Je l'embrasse et mon bas ventre se serre. J'ai envie d'elle. Je passe ma main dans ses cheveux bruns. Cette fille est magnifique et elle est tout à fait mon genre. Elle me dévore des yeux, il faut vite qu'on aille chez elle sinon je risque de faire des folies dans cette ruelle sombre.

Elle m'attrape les doigts et appelle un taxi. Nous nous installons côte à côte. Elle fournit son adresse et s'empare de ma bouche. Le gars en reste coi. Ses mains descendent de mon torse à ma poitrine, j'essaye de calmer le jeu. Je n'aime pas trop me donner en spectacle surtout devant un mec.

Elle s'arrête et lance un regard noir au conducteur, celui-ci se reprend et fixe la route. Je pouffe de rire. Elle s'avance vers mon oreille et me dit :

— Je ne te veux rien que pour moi.

Je l'embrasse de nouveau, nos langues dansent sensuellement ensemble. Elle me mord la lèvre inférieure, cela me rend dingue. Le taxi ralenti, je paie la course et descends avec la jeune demoiselle. Elle me tire par la main et nous entrons dans son immeuble. Nous montons les étages en silence pour éviter de réveiller les voisins, mais une fois la porte fermée... Mon coup d'un soir me plaque contre le mur du couloir, du moins, je suppose, car tout est éteint.

— Qu'est-ce que tu aimes ? lui dis-je.

— Tout, mais j'ai un fantasme, dit-elle timidement.

J'attends qu'elle m'en dise plus. Mon coup d'un soir est intimidé, elle réfléchit.

— J'aimerais que tu me dises des choses cochonnes, des mots crus.

— Du genre, je vais te faire jouir comme une petite s...

Je n'ai pas le temps de finir qu'elle gémit et se jette sur mes lèvres. Je sens que je vais kiffer cette nuit avec elle. Je la pousse contre le mur d'en face et attrape ses poignets pour les levés en l'air.

— Je vais adorer te baiser, tu es d'accord avec ça, coquine.

Elle se tortille et son regard devient intense. Je l'embrasse dans le cou et ma main part en exploration sur sa poitrine. Son téton pointe, mes doigts descendent plus bas et je relève sa jupe. Je n'en peux plus, il faut que ce tissu disparaisse. Je la relâche et la soulève contre moi. Ses jambes se croisent derrière mon dos, elle s'agrippe à ma nuque. Je l'appuie contre le mur et son bassin ondule sur mes abdos. Elle me fait beaucoup, beaucoup d'effet.

— Où est ta chambre ?

— La porte à droite.

— J'ai très envie de toi, tu vas jouer à la fille docile ?

— Oui, je veux que tu me fasses jouir, dit-elle en haletant.

Oh bon sang ! Je frissonne de désir. Cette femme est incroyable. Nous entrons dans la pièce et je la dépose au sol. Elle allume la lampe de chevet et se retourne vers moi intimidée.