HALE: Revenge (T2)

Chapitre neuf

Mon père me fixe d'un regard incompréhensible, je le conduis facilement à ma chambre. Je dégage le meuble de Malia d'un simple coup de pied, pour en découvrir une spirale sur le mur.
Il fronce les sourcils en touchant doucement la spirale du bout des doigts.

- Ça te suivra jusqu'à que tu as réussi ta vengeance, dit-il. J'ai fais la même chose étant gosse.
- Je dois tuer Kate, dis-je.
- Nous partons demain, dit-il en me souriant. Je sais où elle se trouve.

Une heure plus tard, la meute se réunis dans le salon, Brett se trouve être le seul à me parler, rire avec moi. Quand je suis partie c'était pour une chose, je ne me sentais plus à ma place après la disparition de Aiden, il a était mon premier amour et le perdre fut un désastre pour moi..Discrètement, je textote avec Jackson, il ne fait que dire que nous devons arrêter de sortir ensemble et chaque fois que je demande une raison il me dit que mes erreurs sont la seule des causes. Par énervement, et sans que je me contrôle mes griffes sortent et mes yeux virent au rouge je balance mon portable contre le mur qui s'éclate en deux.

- En plus d'être conne, dit Malia. Elle se contrôle pas.
- En plus d'être une salope, dis-je en la prenant par la gorge. Tu vas mourir.

Ses yeux changent rapidement de couleur sur le bleu océan, petite coyote va sortir les crocs. Je l'a balance contre un mur avant de reprendre place et de me calmer. Mon père ferme les yeux en essayant de se calmer, je me lève une nouvelle fois et une nouvelle fois je ne contrôle pas mon geste, et le sert dans mes bras. Je suis devenue sentimentale aujourd'hui. Il ressert mon étreinte, mais je me détache rapidement de lui pour regagner définitivement ma place. Derek me regarde avec un petit sourire, et sa copine bizarroïde me fusille du regard. Elle veut quoi elle?

- Je sais que vous êtes contre le retour de Clary, dit mon père.
- C'est faux, dit Scott. On est heureux qu'elle soit là.
- Sauf Malia, dis-je. De toute façon elle est inutile pourquoi vous l'a gardez?
- Peut être parce que c'est ma copine, dit Stiles.

Je me retiens de rire en détournant mon regard, mon père se lance dans un récit inutile sur notre combat de demain, sachant très bien que ça va partir en autre chose que le plan j'ignore la discussion pour fixer la baie vitrée, je me lève doucement et me poste devant fixant les rues totalement vide. Londres n'est pas cela, tout est rapide. Ici, tout est on va dire calme d'un point de vue d'humanité, d'un point de vue plutôt surnaturel rien n'est calme chaque jour d'autres créatures entrent et sortent de la ville, chacune plus redoutable que les autres et attendent simplement qu'on les tue. Contrairement à Londres, le surnaturel est plat, c'était ma meute qui semait le chaos, mais avant mon départ je les tous achevés.

En me tournant, le salon est totalement vide, ils sont tous réunis dans la cuisine autour d'un verre mais Isaac est le seul sur le sofa. Les yeux rivés sur le sol. Je m'installe à ses côtés.
Il me prend dans ses bras en souriant.