BETWEEN YOU TWO // Charles Leclerc -Arthur Leclerc

Chapitre 7

Le lendemain matin, le soleil se leva sur une journée radieuse. Les rayons dorés pénétraient à travers les rideaux de la chambre où je me réveillai, entourée de l'odeur du café fraîchement préparé qui flottait dans la maison. Je me levai, enfilai une robe légère et descendis les escaliers en me frottant les yeux.

Dans la cuisine, Mia et Suzanne étaient déjà en train de préparer le petit-déjeuner. Elles semblaient plus énergiques que jamais, leurs rires remplissant l'espace. Mia, avec ses cheveux encore en bataille, s'affairait autour des croissants, tandis que Suzanne, avec une concentration exagérée, essayait de préparer des pancakes.

« Oh, la voilà ! » s'exclama Mia en me voyant. « Tu es en retard pour le petit-déjeuner ! »

« Je sais, je sais. J'ai encore besoin de me réveiller complètement. » Je m'assis à la table et pris une tasse de café que Mia me tendit avec un grand sourire.

Suzanne se tourna vers moi avec une expression malicieuse. « Alors, comment s'est passée la soirée ? »

Je pris une gorgée de mon café, essayant de cacher un sourire en repensant à la soirée. « C'était vraiment bien. Et vous, vous avez bien dormi ? »

« Oui, mais c'était un peu bruyant ce matin, alors on a décidé de préparer le petit-déjeuner nous-mêmes, histoire d'éveiller tout le monde ! » répondit Suzanne en secouant la spatule.

Je me levai pour les aider, en écoutant leurs bavardages animés. Le moment de complicité entre nous était réconfortant. Je les observai, mes deux petites sœurs, avec une affection grandissante. C'était fou comme les années passaient et comment les dynamiques changeaient, mais les moments comme celui-ci rappelaient la chaleur et la simplicité de notre lien familial.

« Vous savez, » commençai-je en enfilant un tablier, « c'est vraiment chouette de passer du temps ensemble comme ça. Vous me manquiez, toutes les deux. »

Mia et Suzanne se regardèrent, puis se dirigèrent vers moi pour un câlin collectif. « Nous aussi, tu nous manques. C'est génial d'avoir ces moments en famille. » dit Mia en me serrant fort.

Suzanne ajouta avec un sourire : « Et puis, on a besoin de te garder sous surveillance pour s'assurer que tout va bien avec Charles et Arthur ! »

Je ris doucement. « Ah, je vois que vous avez tout suivi. »

Nous continuâmes à discuter et à préparer le petit-déjeuner ensemble, profitant de la matinée tranquille. La complicité entre nous était palpable, un réconfort chaleureux après les tensions et les préoccupations de la veille.

Lorsque nous fûmes prêtes, nous nous installâmes autour de la table pour déguster nos créations. En voyant nos sourires et en entendant nos rires, il était évident que cette journée serait encore pleine de moments précieux en famille.

Après avoir terminé le petit-déjeuner, nous nous installâmes autour de la table pour discuter de la journée à venir. Les pancakes et les croissants étaient accompagnés de rires et de bavardages.

Je regardai mes sœurs, un sourire aux lèvres, et leur proposai une idée qui me trottait dans la tête depuis un moment. « Vous savez quoi ? Ça vous dirait de passer la journée ensemble toutes les trois au circuit automobile comme avant ? »

Mia et Suzanne me regardèrent avec des yeux écarquillés, leur enthousiasme palpable. « Oh, ce serait génial ! » s'exclama Mia. « On n'y est pas allées depuis un moment. »

« Oui, et c'est toujours un moment tellement amusant ! » ajouta Suzanne en sautant presque de joie. « On pourra même revoir les pilotes qu'on aime bien. »