BETWEEN YOU TWO // Charles Leclerc -Arthur Leclerc

Chapitre 15

Je me réveillai très tôt ce matin-là, juste avant le lever du soleil. L'air était encore frais et la maison était plongée dans un calme serein. Après avoir pris quelques minutes pour me tirer du sommeil, je décidai de me préparer un petit déjeuner léger. Les rayons du soleil n'avaient pas encore commencé à illuminer les pièces, et j'appréciais cette tranquillité matinale.

En passant dans le couloir, je vis Pascale, déjà debout et en train de préparer du café. Elle avait l'air bien réveillée et d'excellente humeur. Je lui proposai de m'accompagner au marché pour acheter des fruits et légumes frais.

« Pascale, que dirais-tu de faire un petit tour au marché ? On pourrait acheter des fruits et légumes pour le repas de ce soir, ça nous donnerait une bonne excuse pour sortir un peu avant que tout le monde se lève. »

Pascale sembla enthousiasmée par l'idée. « Excellente idée, Julie ! Cela nous permettra de discuter tranquillement. Préparons-nous et partons dès que nous aurons fini notre café. »

Nous prîmes le temps de boire notre café rapidement, puis nous nous habillâmes pour notre sortie. Pascale opta pour une tenue décontractée et pratique, tandis que je choisis quelque chose de similaire pour rester à l'aise. Nous montâmes dans la voiture et démarrâmes en direction du marché, sous un ciel encore légèrement brumeux.

Le marché était animé dès notre arrivée, avec des étals colorés bordant les rues. Nous fîmes un tour d'horizon pour repérer les produits qui nous intéressaient. Pascale se montra particulièrement enthousiaste en montrant les stands de fruits frais et de légumes de saison.

« Regarde ces tomates ! Elles ont l'air parfaites. Et ces fraises... elles sont énormes ! » s'exclama Pascale en désignant les produits.

Je hochai la tête en souriant, en appréciant la passion qu'elle mettait dans ses choix. Nous nous arrêtâmes à différents stands, remplissant notre panier de produits frais : des tomates juteuses, des concombres croquants, des fraises sucrées, et même des herbes fraîches pour parfumer nos plats.

Nous prîmes également le temps de discuter avec les marchands, en prenant note des produits locaux et des recettes intéressantes qu'ils nous proposaient. Pascale me parla de ses préférences pour certains produits que je n'avais pas l'habitude d'acheter, comme des légumes racines spécifiques ou des variétés de pommes rares.

Une fois que notre panier fut bien rempli, nous prîmes le chemin du retour, satisfaites de nos achats. Le trajet de retour fut agréable, ponctué de discussions légères sur les repas que nous pourrions préparer avec les produits achetés. Nous parlâmes également de projets futurs et de la maison, en savourant la compagnie l'une de l'autre.

En arrivant à la maison, je remarquai que la maison était encore endormie. Les autres membres de la famille et les invités étaient encore dans les bras de Morphée. Nous décidâmes de commencer à préparer le repas. Pascale et moi nous mîmes à l'œuvre dans la cuisine, déballant les produits et préparant les ingrédients pour le déjeuner. Nous prévoyions de préparer une salade fraîche, des légumes grillés et peut-être un dessert léger pour compléter le repas.

Alors que Pascale se dirigeait vers la voiture pour retourner au marché, je commençai à préparer le petit déjeuner. Les premiers rayons du soleil filtraient à travers les fenêtres, illuminant doucement la cuisine. C'était une matinée tranquille, ponctuée par les bruits subtils de la maison qui s'éveillait.

Je m'affairais à préparer le café et à disposer les fruits et légumes frais sur la table lorsque j'entendis des mouvements dans le couloir. Charles fut le premier à sortir de sa chambre, encore en pyjama, les cheveux en bataille. Il se dirigea vers la cuisine, visiblement encore un peu endormi mais en excellente humeur.