TERMINÉ. Inspiré de faits réels (romancé pour l'histoire)《Neyla : Mon amour interdit.》 💘
Moi c'est Neyla, et j'ai deux frère dont un qui est dans le business de la rue. Comment vous pensez qu'il va réagir quand il va apprendre que je suis tombé am...
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Debout appuyé contre une rambarde sous la pluie, je regardais les gouttes ce mélanger à l'eau du lac que j'étais en train d'admirer.
C'était la guerre dans ma tête w'Allah je savais pas quoi faire ni où aller.
Si je rentre chez moi Yassine va me défoncer, si je vais chez Seymin sa mère va me tuer... j'étais trop dans le mal. J'avais nul part où aller.
Mon portable arrêtait pas de vibrer. Toute la terre étaient au courant de ce qui venait de ce passer.
Yassine à prévenue Bilel qui était en train de me harceler d'appels, ma mère aussi était au courant, vu qu'elle aussi essayait de m'appelais. Tout comme Rania et Inaya qui ont du m'envoyer 30 messages chaqu'unes.
J'étais dans le mal, j'étais trop dans le mal. Je savais pas quoi faire en sah.
Soit je me marie avec Seymin, donc on a pas le choix que de ce barrer mais ont a pas d'argent, ont a rien. Et même pour aller où ? Ont peu pas s'enfuir comme ça.
Soit je reste ici et je me fait défoncer par tous le monde, ma mère, Yassine et je prend même le risque que Bilel me tue. Nan c'est trop la.
... : Neyla ! PUTAIN MAIS TU M'AS FAIT FLIPPER W'ALLAH TU FOUS QUOI ICI ZEBI ?!
J'ai directement reconnu la voix inquiète de Seymin. Il m'a retrouvé alors que j'étais dans un endroit isolé et reculé de la ville.
Miskin il était trempé de la tête aux pieds. Ça ce voit qu'il a du me chercher comme un fou pendant des heures sous la pluie.
Et en le voyant trempées comme ça pour moi, j'ai éclatée en sanglot avant de vite me blottir contre son torse.
J'en pouvais plus.
C'était trop douloureux. J'avais envie d'être avec lui et que lui. Il est ma moitié, il est mon deuxième moi, il est l'autre partie de mon cœur. Je suis bien que quand il est à mes cotés.
Même dans l'épreuve, même dans l'ennui, même dans le malheur il fallait qu'il soit là, je n'avais besoin que de lui.
C'était celui qui me facilitait ma vie, c'était celui qui l'a rendait rose, qui l'a rendait joyeuse... j'avais envie d'être avec lui et qu'avec lui.
J'ai commençais à pleurer de plus en plus fort blotti contre son torse trempé.
Lui, il me serrait très fort dans ses bras. Ce câlin sonnait comme un adieu.
Je le savais, et il le savait. C'est pour ça qu'il retenait ses larmes du mieux qu'il pouvait.
Moi : Je t'aime Seymin.
J'avais l'impression que mon cœur allait exploser. Je voyais aucune issu possible.
Seymin me pris par les épaules pour me repousser légèrement de son torse et me mettre face à lui. La pluie n'arrêtait pas de couler tous comme mes larmes.
