Chapitre 47________
« Les larmes s'essuient, les peines restent. »
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Z Y A D
-Tu peux parler bien aussi.
Kawtar-Toi tu peux décaler et éviter de me parler, merci.
-Tu crois t'es qui tu viens chez moi faire la meuf?
Kawtar-Mais c'est quoi ton problème? Je veux pas tu me salues, décale frérot.
Je voulais tellement la gifler celle là, elle me montait trop haut.
Zyad-Mais parle bien avec ta bouche. Je m'en fou de ce que tu peux penser de moi, juste reste respectueuse, je te dois rien.
Kawtar-Me salue pas dans ce cas.
Zyad-Ça s'appelle l'éducation, toi t'as pas reçu ça on dirait.
Kawtar-Alors là c'est la prostituée qui se fou du trottoir. Venant d'un mec comme toi, je le prends comme un bénédictin carrément.
Zyad-Et ça veut dire quoi ça?
Kawtar-Que t'es une grosse lopsa, Aisha elle ose pas te le dire, je te le répète si tu veux.
Je me retenais tellement de lui briser la nuque. Mais bon j'avais fait assez de conneries pour les 5 prochaines années.
-T'as vu depuis je suis gentil avec toi, mais wAllah je vais oublier t'es là pote de Aisha, je vais te-..
Kawtar-Tu vas grave rien faire. Dégage du passage je dois aller voir ma soeur.
-Tu vas voir personne, tu crois on est où là, tu parles bien. Tu crois t'es qui toi?
Kawtar-T'es en boucle. Décale frère!
Aisha-C'est bon Zyad pousse toi, elle vient me voir.
Je me suis tourné vers elle.
-Je pensais tu dormais.
Aisha-Je dors plus, laisse la entrer.
Je me suis poussé et l'autre conne est entrée en tchipant. Je savais déjà qu'elle était venue lui faire une formation sur comment me quitter et jamais me pardonner cette attardée.
J'ai prit sur moi et j'ai prit mes clés de voiture.
-Je vais aller faire des courses, tu m'appelle si y'a quoi que ce soit.
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𝐀𝐢𝐬𝐡𝐚:« 𝐥'𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐩𝐫è𝐬 𝐥𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐢𝐚𝐠𝐞.»
Lãng mạnOn dit du manque qu'il s'estompe avec le temps, les jours qui défilent et les années qui passent. On se rassure comme on peut, on se persuade que demain ce sera moins fort, moins présent, plus flou. Alors on vit, on comble le manque comme on peut...