Deux Amoureux en couche

Chapitre 20 : Alice a honte !

Nous sommes au début du mois d'octobre. Cela fait déjà plus d'un mois et demi que nous avons repris les cours. La semaine prochaine, ce sont les vacances, donc nous attaquons actuellement la dernière semaine. Nous sommes lundi et il est 8 h du matin. Avec Alice, nous attendons le cours de français.

Mais ce qui est de notre situation. Nous sommes toujours punis quand nous sommes chez nous. On est toujours traité comme un vrai bébé.

À 8 h 05, la sonnerie retentit. La prof n'arrive pas longtemps après et elle ouvre la salle de classe. Nous nous installons à notre place, puis la prof commence par faire l'appel.
Ensuite, elle continue de faire cours. Au bout d'une demi-heure, la CPE du lycée toque à la porte et elle rentre.

– J'ai une bonne nouvelle pour vous ! Je vais vous distribuer vos attestations de sortie.

— Nous allons où, demanda un élève.

– Donc la deuxième semaine après les vacances. Avec votre prof d'anglais et d'autres professeurs, vous allez passer une semaine à Londres.

– Trop cool, disent la plupart des élèves.

La clé finit de distribuer les attestations de sortie, puis, avant de partir de la salle de classe, elle précise que la sortie est obligatoire et que l'attestation doit être remplie pour lundi de la rentrée. Après, la CP nous dit au revoir et elle sort de la salle de classe. La prof de français continue donc son cours.

– Alice, je n'ai pas vraiment envie d'aller à Londres. À cause des couches.

— Moi aussi, et je ne sais pas comme on va faire. Déjà, je ne pense pas que nos parents seront d'accord pour qu'on enlève nos couches, et maintenant, cela fait déjà pas mal de temps qu'on en porte, donc je ne garantis pas qu'on se sera retenu.

– Oui, d'accord avec toi, je vais leur en reparler avec eux ce soir.

– Pareil.

Le cours de français se finit dans le calme. La sonnerie retentit et les élèves de classe se dirigent vers le cours de mathématiques.

La sonnerie retentit et nous rentrons en classe, et puis tous les élevés s'installent à sa place. Aujourd'hui, nous avons un contrôle de maths. La prof commence par distribuer les copies.

– Allez ranger vos affaires et sortez un stylo.

Tous les élevés exécutent ce qu'elle demande.

– Bonne chance. Alice

– Toi aussi, Max.

– Merci !

Tout l'élève commence à faire le contrôle de math. À vue d'œil, il a l'air facile, donc c'est faisable d'avoir une bonne note. Au bout d'une heure, la sonnerie retentit.

– Je vous laisse cinq minutes pour finir et après, je ramasse et ceux qui ont fini, vous pouvez partir. Pensez à mettre votre nom de votre copie, sinon c'est un 0 et laissez votre copie retourner.

Les élèves ayant fini, il met leurs noms, il retourne la feuille et ils sortent de la salle de classe afin de partir en recréation.

Au bout de cinq minutes, la prof commence donc à ramasser les copies. Je mets donc mon nom et mon prénom. Alice fait donc de même et puis nous rendons notre copie. Nous sortons de la salle de classe pour aller en récréation.

À la fin de la récréation, nous partons au cours suivant. À la fin du cours, nous avons deux heures pour manger, du coup, nous partons manger.

Nous partons donc manger à la cantine. Nous prenons le repas qui est proposé et nous partons s'installer. Puis à un moment, pendant qu'on mange, nous entendons un petit pet. Je regarde donc Alice. Elle est toute rouge de honte.

— Vas-y finir.

– Non, je vais le retenir jusqu'à la maison.

– Comme tu veux.

Nous finissons de manger. Ensuite, nous débarrassons notre plateau avant de sortir de la cantine et d'aller en direction de l'infirmerie.

Une fois que nous sommes devant la porte de l'infirmerie, nous toquons. Elle nous demande de rentrer et de fermer la porte à clé dernière nous.

– Bonjour.

– Bonjour, vous avez besoin d'être changé.

– oui

– Alice, ça va ?

En voyant Alice paniquer, j'expliquai donc la situation à l'infirmière.

– Alice, lâche tout, en plus, ce n'est pas bon de trop se retenir, car imagine, ça t'arrive quand tu es en classe devant tes camarades.

– Bon, OK.

– Bon, Max, en attendant, tu me suis, je vais commencer par toi pour qu'Alice puisse finir de ce qu'elle doit faire.

Je suis donc sur la table à langer et je m'allonge. Ensuite, elle baisse mon pantalon et elle ouvre le body. Puis, elle me retire la couche et elle m'essuie les fesses.

– Tu étais temps d'être changé, toi.

– Oui.

Elle me glissa donc une nouvelle couche propre sous mes fesses et elle me met du talc et de la crème.
Par la suite, elle referme la couche et le body. Ensuite, elle me remet le pantalon et je descends de la table à langer.

– Alice, c'est bon, tu as fini ce que tu devais faire ?

– Oui, dit-elle tout timidement.

– Ok, vas-y, monte sur la table à manger, je vais m'occuper de toi.

L'infirmière lui enlève son pantalon et son body. Puis, elle ouvre sa couche et elle commence à la nettoyer. Une larme commence à couler sur la joue d'Alice.

— Non, ne pleure pas, ne t'inquiète pas, les couches sont faites pour ça.

– Oui, mais j'ai honte.

Je pars donc vers Alice pour lui tenir la main et elle me sourit.

L'infirmière finit donc de la nettoyer avec des lingettes, ensuite, elle lui remet une nouvelle couche propre sous ses fesses avec du talc et de la crème. Elle referme la couche. Puis, elle lui met un body et elle remet son pantalon. Et elle descend de la table à langer.

– Merci beaucoup, Max, me dit Alice en me déposant un bisou sur la bouche et me tenant la main.

– Merci beaucoup et à revoir.

– Il n'y a pas de quoi à demain.

Nous sortons de l'infirmerie main dans la main. Alice ne voulait plus me lâcher. Il nous reste donc 1 h de trou, donc nous décidons d'aller au CDI.

Nous rentrons par la suite au CDI et puis nous nous installons à une table. Ensuite, nous commençons à discuter.

Au bout d'une heure, la sonnerie retentit. Donc, nous allons en direction de nos prochains cours.

Au bout de deux heures, nous avons fini notre journée de cours. Alice rentre chez elle, car sa maman a pu aller la chercher.

Avant de partir, on s'embrasse pour lui dire au revoir, puis je monte donc en voiture afin de rentrer à la maison. Je parle à ma mère du voyage que nous allons effectuer à Londres.

– On va prendre RDV avec les parents d'Alice et la CPE.

— D'accord, merci, mais sinon on peut enlever nos couches.

– Hors de question.

– D'accord.

Une fois que nous rentrons à la maison, ma mère vérifie ma couche.

– Ta couche peut attendre d'être changée. Tu veux le goûter.

– Oui, s'il te plaît.

– Ok, va t'installer dans le canapé.

Je vais donc en direction du canapé. Ma mère m'emmène de quoi goûter et mon biberon. Je bois donc mon biberon. Je me mets donc un film avant de m'endormir devant.