Un amour unique

Chapitre 16

(Musique: Feel it - Michel Morrone)

Quand Farès ouvrit la porte il cru mourir devant cette muse, elle ressemblais à une déesse qu'il en perdit les mots mais au fond de lui il se fit la promesse d'être patient avec elle.

Lina tomba nez à nez avec un torse à la musculature de pierre impressionnante, le Cheikh quand à lui se tenais à la porte en la dévisageant de la tête au pieds. Dans ses yeux elle y vit du désir mais aussi de la colère qu'elle ne comprit pas. Ce fut Farès qui reprit la parole en premier.

- Viens entre, tu n'avais pas à frapper.

Gêner elle le suivis alors qu'il lui fit faire le tour de ses appartements priver. La cuisine, salon, bureau, salle de bains...

- Et voici la chambre.

Respire, respire Lina.

- Tu dort de quelle coter?

- En général  coter fenêtre mais dort du coter que tu souhaite malaki, je ne veux pas que tu est peur.

Lina n'avais pas peur et pour lui prouver elle s'avança jusqu'au lit du coté opposé de la fenêtre afin de s'installer sous les couvertures. Farès en fut ravis et lui montra avec un sourire qui se voulais rassurant, il la rejoint dans le lit.

- Bonne nuit Farès. lui dit-elle d'une voix douce.

Farès était connu pour son impatience il le savais mais comment résister à cette femme d'une beauté naturel. C'est alors qu'il se pencha vers elle pour fixer son regard, ni l'un ni l'autre ne se quitta des yeux. Doucement le Cheikh passa de son regard à ses lèvres qu'il caressa délicatement avec son pouce. Il senti un petit soupir de Lina, c'est alors que ca patiente lui fit défaut. Lina cligna des yeux et les ferma quand le pouce du cheikh passa sur ses lèvres avec un petit soupir elle souhaita qu'il l'embrasse. Alors qu'elle s'apprêter à rouvrir les yeux le cheikh brisa le silence.

- Je suis désoler.

 Sens un mot de plus il fonça sur ses lèvres qu'il dévora au début délicatement avant que cela ne devienne un baiser sauvage . Farès fit glisser ses mains le long de ses bras jusqu'à se que ses mains puissantes n'attrape le bassin de la jeune femme qui poussa de petits soupirs de désir.

Il se reprit et mis fin à ce baiser, Lina le regarda avec des yeux aussi rempli de désir que lui, ses lèvres l'appeler encore dangereusement.  

- Tu n'as pas l'air désoler. dit-elle pour briser son angoisse.

- Parce que je ne le suis plus. J'étais désoler de ne plus pouvoir te résister mais plus besoin maintenant. Dors habibi, bonne nuit et fait de beaux rêves malaki.

 Puis il coupa la lumière et s'allongea . Lina reprit sa respiration quand la lumière se coupa, elle senti le Cheikh s'allonger très près d'elle. Sens y réfléchir elle ferma les yeux pour faire semblent de dormir à cette instant le sommeil n'allais pas arriver de sitôt. Comme si le cheikh l'avais compris ou senti il passa un bras sous sa nuque tendis que l'autre se posa sur son ventre afin de l'attirée d'avantage contre lui, il la serra sens un mot de plus.

Avant même que l'aube ne se lève Farès était déjà réveiller, il avais passer une bonne partie de la nuit à la serrer contre lui tout en la contemplant.

 Un vrai psychopathe! ce dit-il.

Pour lui il n'était plus question qu'elle se réveille seule après leur première nuit ensemble. Il sorti tout de même du lit afin d'aller préparer leur cafés.

Lina ouvrit doucement les yeux en ce remémorant la soirée d'hier, un sourire étira délicatement ses lèvres avant qu'elle ne tourne la tête de l'autre côté du lit qui fut vide de présence, son sourire retomba de suite.

Quand Farès vit son sourire disparaitre il se mit à regretter de ne pas être rester au lit auprès d'elle. Elle  tourna la tête et comme à leur habitude tels un aimant leur regard s'accrocha.

- Bonjour ma douce bien dormi?

- Bonjour, oui comme un bébé ton lit est très confortable. Et toi tu as bien dormi? Je bouge beaucoup la nuit et. . .

Farès la coupa en l'embrassant par surprise.

- Ce fut la nuit la plus belle de ma vie. Je suis désoler de ne pas avoir attendu ton réveille dans le lit auprès de toi.

- Ce n'ai pas grave je ne veux pas déranger ton travail ou ton emploi du temps.

- Je suis le Cheikh ma volonté fais loi, jamais tu n'as était et ne sera jamais un obstacle à mon devoir. 

Avec plus de détermination il rajouta:

-Tu seras toujours ma priorité.