Chapitre 5: HOME, SWEET HOME

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Je suis hors d'allène, j'ai tellement courue pour fuir cette scène, pour fuir ce cauchemar, pour fuir la réalité. Je suis maintenant a quelque rue de chez moi, de ma maison, de ma famille, de tout se que je souhaite le plus au monde retrouver. Certaine maison se sont effondrer sous la force de l'impact, tandis que d'autre sont toujours debout ne voulant pas céder. Je tourne à droite et puis à gauche, encore a gauche, pour enfin aboutir dans ma rue. Je regarde les maisons qui m'entoure, aucune ou presque n'a céder sous la force de l'explosion. Les fenêtres ont tous éclater, les portes sont toujours grande ouverte et aucune voiture se trouve sous mes yeux. Encore et toujours c'est désert, le silence règne, un silence plat, un silence de mort... Je me retrouve enfin sur le porche de ma maison. Cette maison au style campagnard m'avais tellement manquer. Du bout du doigt je pousse la porte déjà entrouvert pour créé un ouverture assez grande pour pouvoir m'y glisser. Toujours sur le qui-vive je pénètre tout doucement dans ce qui a été autrefois ma demeure, mes mains se s'erre sur le manche de mon couteau maculer de sang sécher. Rien n'a changer, le salon est toujours aussi mal décorer et la cuisine est toujours aussi bordélique a croire que rien n'avait changer en une semaine. Mon regard fut attirer par un portrait de famille accrocher au mur, ma sœur et moi étions assise sur un banc de style victorien en bois vernie, tandis que nos parents se tenaient droit derrière nous. Elle avait été prise quand j'avais 14 ans et ma sœur 11, ce souvenir me fit sourire en repensant a notre surprise quand notre mère nous avait demander de porter la même robe à jabot. Toute les deux, nous avions détester cette robe a la première seconde où notre regard avait croiser cette horreur. Nous l'avions tout de même porter pour faire plaisir a notre mère qui tenait tant a avoir un portrait de famille réussie. J'arrête de contempler ce portrais et me précipita au deuxième étage pour me prendre un sac et des vêtements de rechange. Pour me rendre jusqu'à ma chambre je dois passer devant celle de ma petite sœur, je m'arrête quelque instant pour contempler sa chambre blanche et mauve. Mes souvenirs encore flou de la journée où il y a eu l'explosion reviennes d'un coup:

«Moi et mes parents, nous nous étions réveiller plutôt pour organiser l'anniversaire de ma petite sœur, Luna qui fêtait son quatorzième anniversaires. C'était rendue la routine familiale, nous avions préparer son déjeuner favori et nous nous préparions pour aller la réveiller en chantant "Happy birthday to you". 1...2...3... Nous avions commencer a chanter tous en cœur pendant que Luna se réveillait le sourire au lèvre, contente de vieillir une année de plus. Ma mère, placer sur le bord de son lits, flattait ses cheveux châtain alors que moi et mon père tenions une assiette pleine a craquer de pancakes doré a la perfection. C'était une nouvelle journée joyeuse qui commençais pour notre famille. Après avoir réveiller ma sœur, nous somme descendu pour déguster notre petit déjeuner.

 

-Laura, ma mère m'interpela, est ce que tu peu aller acheter du lait de soja au commerçants a la place public, s'il te plait?

 

-Oui, bien sur, je fourra ma dernière boucher de pancakes et parti.

 

Je venais a peine de tourner dans la ruelle que la bombe a exploser. Une brique me tomba sur le crâne pour ensuite tomber dans les vapes. Je me suis réveiller une semaine plus tard.»

 

Je m'étais assis sur le lit de Luna, ces souvenirs me secoue mais me donne également plus de volonté et de force pour les retrouver. Je me lève d'un bond et me dirige vers la porte de sa chambre, il me faut toujours prendre des vêtements de rechange. Alors que je sortais de sa chambre mon coude accrocha son vase et le fit valser jusqu'en bas de sa commode. Le vase éclata en plusieurs morceaux en un bruit sourd. J'arrête de bouger et de respirer de peur que le bruit ai été assez fort pour les prévenir. Aucun bruit pour l'instant. Je me dirige vers ma chambre sorti quelque vêtement confortable et les compressa dans mon sac a dos. De retour dans le couloir, je m'arrête ayant entendue un bruit qui proviens de la sale de bain. Un espoir commença a briller en moi, peut-être se sont-ils réfugier dans la sale de bain! Après tout c'est la seul pièce de la maison qui se pare de l'intérieur. Faisant face à la porte, je prit une grand inspiration et ouvrit la porte en grand. Ma sœur est là, devant moi, sans toute fois l'être... Elle a été contaminer.

Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant