Sa faisais quelque minute que j'étais assise, sous le choc de ce que Nic venait de m'annoncer. Je ne pensais pas qu'on allaient repartir, je croyaient que nous allions refaire notre vie ici, en sécurité. Les mots tournait en boucle dans ma tête, ne savant pas comment les placer pour que ceux-ci fassent du sens. Devrais-je partir ? Laissant ainsi mon père seul, lui qui a déjà tellement perdu. Ou devrais-je rester avec mon père, laissant mes amis partir sans moi vers leur quête qui n'était pas mienne. J'aurais tellement voulu être avec eux, mon père et mes précieux compagnons. Cependant, un choix doit être fait et je n'ai que deux jours pour la prendre sans quoi... en faite il n'a pas vraiment de conséquence, mais je pourrais tout de même regretter mon choix. Apres avoir ranger mon bol de bouillie, j'allais m'enfermer dans une petite pièce on fond du couloir principale. Cet endroit confiner est mon refuge, je l'ai trouver avec Mélissa lors d'un de nos jogging matinal. C'est une petite pièce circulaire, très restreinte, qui laisse passer quelque fécaux de lumière qui, je précise, sont très rare dans les sous-terrain. En plus de la lumière, une légère brise de vent fret et revivifiant nous parvenais par les fissures commise par les temps passer. L'obscurité me permet de me retrouver, de me laisser réfléchir à se que je veux vraiment, se qui est bon pour moi. Dos au mure, tête sur les genoux et bras autour de mes jambes, je pense au moment passé avec chacun d'entre eux. Mon père avait toujours été là pour moi, à l'exception de ma sœur, il était mon meilleur ami et mon confident. C'était avec lui que j'avais connue mes haut et mes bas et c'était lui qui m'avait épauler durant des moments embarrassants de ma jeunesse. Je le revoyais, à l'époque de mes premières menstruations, sortir avec près de dix sac remplie de serviette sanitaire et de tampons de toute sorte pour finalement m'avouer qu'il ne savait tout bonnement pas quel marque prendre et qu'il avait fini par prendre tout se qui se trouvait sur le rayon de la pharmacie. Il était même plus paniquer que je l'étais, criant comme un dégénéré que sa petite fille étais devenue une "femme". A se souvenir mes lèvres se fendis d'un petit sourire timide, à cette époque j'aurais tout fait pour qu'il agisse comme les autres père et qu'il laisse ma mère s'en charger, mais il avait vraiment insister pour traverser cela avec moi, bien qu'il s'agissait seulement d'aller a la pharmacie pour acheter des serviettes. Sinon il y avait mes amis, ceux qui m'on sauver a plusieurs reprise, ceux qui, même s'il ne me connaissaient pas, ont tout fait pour m'aider durant mes crises de larme incessantes. Moi et Mélissa avions tisser un lien d'amitié fort et je la concorderais maintenant comme une sœur. Avec Nic, notre relation était plus basée sur les mille et une connerie que nous avions fait, même durant des moments les plus sérieux qui soit. Jacob et moi... Bien nous avons pas vraiment de relation, il ne parle jamais et le seul sourire que nous pouvons voir sur son visage est quand il décapite des zombies, alors coter affinités c'est plutôt faible...sinon il est très attachant. Finalement il y a Marc, moi et lui nous avons une relation assez compliquer, on s'entend extrêmement bien certaine journée et puis il en a d'autre que nous arrivons à peine à nous parler, par gène peut-être ? Tout se que je peux dire c'est qu'il est quelqu'un de génial que je ne veux vraiment pas perdre et puis son sourire, son corps et surtout ses fesses ! Oh mon dieux, ses fesses sont tout simplement à tomber à la renverse ! Euh... Bon il est vrais que j'ai peut-être une petite fixation sur les fessier, mais si vous l'auriez vue vous comprendriez. Dans tout les cas je devais dire au revoir a l'un ou l'autre de mes bonheurs et ce choix était maintenant fait, il ne me restais plus qu'à leur annoncer le moment venue.
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Survivante [EN PAUSE]
FantastiqueIl y a eu un boum, après s'ensuivit le néant, un trou noir, une catastrophe totale qui toucha la planète entière. Je ne sais pas comment cela s'est passé pour les autres, mais pour moi, Laura Mckenzi 17 ans, se fut l'horreur. Je me suis réveillée au...