Chapitre 15: CHOIX

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Ça fait maintenant plus d'une journée et demi que je remet en cause mon choix, ce choix que j'ai du faire par obligation. Est-ce que c'est vraiment le bon choix ? Vais-je le regretter ? Et si l'autre choix était plus consciencieux ? Je n'ai ni parler a mon père, ni à Marc, ni même a Mélissa. Personne ne m'avais approcher durant c'est dernier jour, pour la simple raison de mon humeur massacrante. C'était enfin le jour fatidique, le jour où je devais dire a tous si j'ai décider de partir ou de rester, mais comment leur dire, si moi-même je ne suis pas sûr de la décision à prendre. Je me relève de mon lit doucement pour ne pas me cogner la tête contre le lit a deux étage que je partage avec Mélissa. Un pied après l'autre je me met debout et c'est à se moment que l'appel d'une vanille française fait appel à moi, après une longue et triste nuit blanche a tourner à droite puis à gauche sans trouver le sommeille. Je ne me suis même pas encore regarder dans le miroir pour sentir de lourde cernes orner mon petit visage rond. C'est un coup devant le miroir que je remarque, que non seulement des cernes immense se sont former sous mes orbites mais que mes yeux sont également injecter de sang. Je lâcha un long et pénible soupire, cette journée ne pouvait pas mieux commencer. J'enfile a la hâte mon jogging et mon vieux chandail de sport et parti au pas de course vers le chemin habituelle, sans même attendre Mélissa.

***

Plus vite, encore plus vite. Mes foulées se font légère, mais de plus en plus difficile. Ma respiration est sifflante et mes jambes menacent de s'affaisser a tout moment. Le clapotis de mes pas dans l'eau user ne parviens de loin, comme si c'était celui de quelqu'un qui me suivrait. Je débouche dans un couloir a droit, prenant le tournant tellement serré que je n'ai presque pu éviter le mure de brique. La lumière de la salle commune me parvenais par un simple éclairer au bout du chemin. Peut-être était-ce le couloir que nous traversons au moment de notre mort ? Des jacassements me disent aussitôt le contraire, je ne suis pas morte et je suis même plus que vivante à se moment-même. Le sprinte de la fin de fait en deux trois foulé maximum, au moment ou je traverse l'entrer de la salle commune je m'effondre de tout mon long en pouffant de rire. Des regard interrogateur se posent sur moi et des personnes accourt auprès de mon corps vider de toute énergie.

-Laura! La voix de Mélissa parviens jusqu'à moi.

Elle se tien à coter de moi et m'aide a me lever.

-Fait attention Laura ! Tu aurait pu te blesser !

Sa petite voix inquiète me dit sourire, je l'a prit dans mes bras avant de partir vers les douche pour retirer toute cette sueur collante de mon corps. Alors que je m'éloignais, j'entendis "qu'allons-nous faire de toi..." Sortir de la boucher de ma très chère amie. Après une bonne douche, je me dirigeais vers ma chambre, mais avant de pouvoir y mettre le pied on cria mon nom. Me retournant, je découvrit mon père, Marc et tout les autres se dirigent vers moi d'un pas semi-décider. Alors que Marc allait prendre la parole, mon père le coupa sans aucun remord.

-A tu fait ton choix ? Demanda-t'il d'une voix dure et sans retour.

Je fit de petit coup de tête de haut en bas pour répondre à l'affirmative. Je remplis mes poumons a leur capacités maximal et sorti d'un coup toute l'air qui avait pu y entrer. Mon regard était des plus sérieux comme ceux de toute les personnes présentes.

-Je vais rester.

C'est mots sont sorti d'un coup, lâchant à la même occasion la bombe que transportais le message. Le regard de Mélissa se décomposa en une grimasse de tristesse et des larmes perla au coins de ses yeux. Nicolas paressait triste mais aucune larmes de fit son apparition. Jacob resta de marbre comme mon père, comme si l'un comme l'autre ne ressentait rien de particulier à cette nouvelle. Et puis il y avait Marc, c'est lui qui paru le plus choquer par la nouvelle. Son visage était un mélange de fureur et de tristesse, comme si cette nouvelle le déboussolait au plus au point. Mais tout ceci n'était rien, se qui s'ensuivit me fit mal et me ramena, à la même occasion, les deux pied sur terre.

Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant