Je me mis à courir et lui sauta au coup, je l'étreint du plus fort possible, nous tombons à la renverse et une lampe blanche tomba de son bureau pour éclater sur le sol en un bruit strident. Mes amis, Paul et la dame, qui m'avait diriger vers ce bureau, entrent en trompe alerter par le bruit de pot casser.
-Qu'est-ce qui ce passe?!
La voix de Paul fit écot dans mon dos. Ils venaient de découvrir que moi et mon père, dont ils ignorent tous l'identité réelle, somme accrocher l'un a l'autre pleurant de joie d'avoir enfin retrouver un visage connue. D'une voix tremblotante je murmure des :«papa, papa,...». À ce moment ce fut la première fois que j'ai vue mon père pleurer, c'est larmes de joie coulent sur ses joue pour finir leur course sur le dessus de ma tête. Je le serais plus fort, la tête bien accoter contre ses pectoraux. Je sentis des regards nous fixer de manière surprise et emplie de questionnement. Le chandail gris de mon père était maintenant orner d'une immense cerne que mes larmes ont causer. Je décide enfin de leur faire face pour leur expliquer pourquoi moi et un "supposément" inconnue étions accrocher l'un à l'autre comme si la vie en dépendait. Du revers de la main j'essuie les larmes qui se sont accrocher à mes joues rougis. Un sourire apparue sur mon visage, pas un faux comme nous nous forçons a faire lorsque nous somme triste, mais un vrais qui élimina mon petit visage bouffie.
-C'est mon père. C'est mots ont sortie de ma bouche en un souffle, dans un simple murmure mais tous on comprit se que je disais.
Des larmes montait au yeux de la femme tandis que Paul affichait un aire ravis. Marc lui, avait un sourire jusqu'au oreille comme si c'était son père a lui que nous avions retrouver.
***
La nouvelle avait vite fait le tour du campement (la fille de Daniel, le second chef, était maintenant au coter de son père.) Tout le monde, je dit bien TOUT le monde se retourne à mon passage. Cette sensation qui pouvait être plaisante pour certain, avait sur moi un sentiment contraire. Je DÉTESTE être le centre d'attention, cela me rappel la fois ou que je suis sorti des toilette des filles et qu'un morceau de papier Q s'était prit sous ma robe. Je ne vous dit pas le pire! Je suis rester comme ça durant plus de 30 minutes et personne n'a daigner me le dire! J'étais morte de honte et bien-sûr tout cela c'était produit au lycée... Toute l'école était au courante et se moquait de moi sans même prendre la peine de se cacher. Par chance quelque temps plus tard mes parents ont été mutée dans une autre ville et cette histoire n'était plus qu'un mauvais souvenir. Maintenant a chaque fois que je sort de la salle de bain je vérifie s'il n'y aurait pas mon vieux ami toujours accrocher à moi. La situation que je vie en se moment me rappel ce vieux souvenir en continue sans jamais me laisser le simple répit. Bon il n'y a pas seulement du négatif, j'ai retrouver mon père et ce simple fait me permet de faire face au plus grande difficulté qu'elle quel soit. Mélissa et moi somme devenue inséparable, on passait tous notre temps ensemble, que se soit en cuisine pour aider les autres femmes avec la bouffe ou durant les patrouille en équipe de trois. Je lui avait raconter l'histoire avec le papier Q, elle a bien rie de moi, mais elle m'a toutefois offert sa sympathie pour le deuil de ma vie sociable. Je me sentais bien, j'ai des merveilleux amis, un endroit sécuritaire où rester et refaire ma vie a neuf et par dessus le marcher j'ai retrouver mon père. Rien ne pourrais me sortir de se sentiment de confort qui s'empare de moi petit a petit.
-Tout va bien? La voix de Mélissa me fit sursauter me forçant a sortir de mes penser.
je lui sourie avant de lui répondre d'une voix absente:-Oui, oui tout va même trop bien.
Après seulement quelque jours passer dans ce nouveau chao, j'ai sue qu'il n'y aurait plus aucune fin heureuse, plus jamais.
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Survivante [EN PAUSE]
ParanormalIl y a eu un boum, après s'ensuivit le néant, un trou noir, une catastrophe totale qui toucha la planète entière. Je ne sais pas comment cela s'est passé pour les autres, mais pour moi, Laura Mckenzi 17 ans, se fut l'horreur. Je me suis réveillée au...