Chapitre 13: PARTIR OU RESTER?

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Je venais de terminer de me laver après mon entraînement. J'étais reposer après la montée de sentiments qui était survenue un peut plutôt. Marc était rester avec moi tout le long, me consolant du mieux qu'il pouvait et en me murmurant des mots rassurant dans le creux de mon oreille. J'entre dans ma tente, qui est bien sûr partager avec Melissa et deux autres filles que je ne voie pratiquement jamais, et je me dirige vers ma pseudo armoire qui contient le peu de vêtement que j'ai réussie à prendre avant de quitter ma demeure. Je regarde sans me décider, la plus part de mes habits ne me faisais pu par la cause de ma soudaineté perte de poins. Mélissa et l'une des deux autres fille, avait été aimable et avaient eu la gentillesse de me donner quelques une de leur ancienne tenue. J'opte finalement pour un jean skini noir et un chandail gris qui a le col en V. Après mettre habiller, j'attache mes long cheveux en une toque a la vas vite et me maquille le plus légèrement possible, juste assez pour masquer la rougeur de mes yeux. Alors que je me dirigeais vers la sorti, Mélissa entra dans la tente et me regarda de la tête au pied. Je voyais bien dans son regard qu'elle se doutait de quelque chose, tête baisser, je la contourna et lui souris avant de quitter la pièce. Je lui étais reconnaissante qu'elle ne me suive pas pour me poser mille et une question auquel je n'avais aucune envi de répondre. Il était maintenant midi passer et mon ventre criait famine, se plaignant que je n'ai rien avaler depuis ce matin. Il faut bien avouer que s'entraîner sans rien avoir ingurgiter de la journée n'est sûrement pas l'une des meilleurs idée que j'ai eu. Je me dirigeais vers la pseudo cuisine que mon père avait construite pour enfin faire taire les plaintes de mon pauvre ventre affamer. En entrant dans la pièce fait de planche de bois et de métal, une femme me sourie chaleureusement et m'offrit le plat du jours, une genre de bouilli de porc et de légumes, rien de très très appétissant, mais cela pourra tout de même étancher ma faim. Boucher après boucher, mon ventre se calmait, mais la sensation d'avoir perdu mon père resta toujours aussi forte, pourquoi tout cela c'est produit ? Parce que j'ai voulu survivre ? Mon père aurait-il voulu que je meurs, tout comme ma sœur avant moi ? Ne m'aimait-il pas ? Avais-je fait le bon choix ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête, me laissant aucune réponse et un horrible mal de tête. Une main viens se poser sur le bas de mes hanches, alors que mes mains était toujours toujours sur mes tempes. Nicolas c'est assit a ma droite, tenant son bol de bouilli fumant de la main gauche.

-Ça va, beauté ?  

-Oui, oui bien sur. La fatigue paressait dans ma voix et la tristesse dans mes yeux.

-Ne me mens pas, pas à moi ma belle. Son regard se faisait inquiet, t'elle un regard de grand frère pour sa petite sœur.

Je le regardais droit dans les yeux, je ne veux absolument pas en parler et encore moins à lui, il me considérait comme sa petite sœur et comme un grand frère il ferait tout pour me protéger, même aller parler a mon père s'il le fallait.

-Rien, il n'a absolument rien. Je soutien du regard. Je te le promet.

Un long soupire exaspérer sorti de ses lèvres, preuve qu'il abandonna son petit interrogatoire, tout du moins pour l'instant.

-Très bien. Il se leva en même temps. Bon j'était seulement venue te dire de te préparer, nous partons dans deux jours.

Je le regarda, incrédule par se qu'il venait de dire.

-Partir ? Mais partir où?

C'était maintenant à son tour de me regarder sans comprendre. Il se retourna pour me faire face.

-Nous reprenons la route, a tu oublier de qu'on doit faire ? Je le regardais sans comprendre toujours sur le choc. A tu oublier la liste ? Le laboratoire ? Et la chance qu'on trouve un antidote ?

J'avais complètement oublier, voyant que je rajoutais rien Nicolas parti, me laissant seule dans mon désarroi le plus totale. Je devais maintenant prendre une lourde décision, devrais-je partir avec ces personnes qui m'on sauver a deux reprise ou rester avec mon père qui, pour lui, j'étais qu'un problème de plus? Sérieusement, j'étais plus que perdu.

Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant