Chapitre 21: ENCORE ET TOUJOURS ...

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Ma course effrénée autour du parc public avait attiré d'autres contaminer, je n'y avais pas penser, mais crier comme je le faisais devait surement en attiré d'autre, c'était inévitable. Maintenant ils n'était plus une centaine mais plutôt proche de deux cents, et tous me couraient après pour avoir le plaisir de goûter à ma chaire tendre et juteuse. Mes foulées se faisaient légères sur la chausser endommagé de la grande ville, telle des pas de chat, silencieux mais agiles. Je me mis a courir de gauche à droite, tournant dans des petites rues et ruelles en croyant pouvoir les semer, mais c'était peine perdue. Je m'enfonçais plus loin encore entre les batistes de tout genre, des maisons luxueuse, aux petits appartement new-yorkais, en passant devant quelques magasins. Je tournais à ma droite, une ruelles sombre et étroite me faisais face, je continuais à m'enfoncer encore et encore, j'entendais leurs pas me pourchasser, se rapprocher de moi au fur et à mesure que je me rapprochais ... Je plisse les yeux pour mieux voir de quoi je me rapprochais dangereusement, la réponse me fit redresser l'échine. Un mur, un énorme mur de béton se dressait devant moi tel un garde ne laissant passer personne, même ceux les plus glorieux d'entre nous. Je me mis à courir plus vite, prenant un élans pour me projeter au-delà du mur. Le résultat ne fut que plus douloureux, non seulement je ne réussie pas a passer le mur, mais je me suis complètement étamper sur celui-ci. Un peu sonner par le choc encourue, je me mis à sauter, bras en l'air, pour essayer d'atteindre le haut du mur. L'angoisse laissa tranquillement place à la peur qui se transforma ensuite en panique, une panique totale qui s'empara de tout mon âme et de mon corps. Les pointes irrégulières du mur de pierre me transperçais le dos, malgré une douleur poignante je continuais à me presser contre celui-ci. Je ne veux pas mourir fut les mots que me passaient en boucle dans la tête. Je sorti mon revolver et le point sur eux, je me mis à tirer à rafale, sans même prendre le temps de viser la tête de les viser eux. Cinq d'entre eux sont toucher et seulement deux à la tête, mon chargeur est vide et les détonation les ont plus exister encore. Je lâche mon pistolet et prend mon couteau cacher dans ma botte. Je me plaçais de façons à pouvoir me défendre, fixant mes poursuivants qui se rapprochait plus vite que je l'espérais. Je voulue foncer, cependant mes pieds refusaient de bouger, ils étaient comme fixer au sol. Peu à peu tout mes membres refusaient de bouger, mes jambes, mon bassin, mes bras et même ma tête, seul mes yeux s'ouvraient et se refermaient au gré de ma volonté. J'étais paralysée par la peur, quand je pris conscience de ce fait il m'étais toujours impossible de bouger le petit doigt.

-Aller bouge,...

Ils se rapprochaient.

-Bouge merde...

Ils salivaient.

-ALLER!!!

Je tombais à la renverse au même moment qu'une flèche vient perforer le crâne décomposer d'un contaminé se trouvant plus qu'à quelque mètre de moi. Je ne compris pas sur le coup, mais une pluie de flèches vient tomber sur la flopée de zombie. Je me propulsa face contre le sol pour éviter les projectile qui fuselaient de tout les coter. Il n'y avait plus un bruit, on entendait seulement les battements de mon cœur et ma respiration saccadée. Doucement, je risquais un coup d'œil. Les corps étaient maintenant sans vie, coucher les uns par-dessus les autres gisant dans une substance d'un rouge brunâtre visqueuse, il y avait des morceaux de chair décomposer partout autour de moi et je vis même un œil rouler dans ma direction. J'en eu le haut le cœur. Je me retournais vite contre le mur à vomir le peu qui me restait dans l'estomac.

-Ça va...? Dit une voix masculine dans mon dos.

Je me retournais face à lui, une main sur ma bouche pour l'essuyer. Un gars de mon âge me faisait face, il était grand, très grand. Ses cheveux brun lui arrivait aux épaules et ses yeux gris avait l'air de scruter mon âme. Une petite tête blonde sorti de derrière son dos. Une petite fille d'environ six ans me regardais avec le même regard que le garçons. Il répéta sa question :

-Ça va ...?

-Heuum oui, oui ça va ... J'étais déboussoler, je le regardais de la tête au pieds, en évitant de regarder les cadavres qui nous entouraient. Je ... Merci... Tu m'a sauver, merci.

Il m'a sauver comme Marc, je ne sais pas pourquoi mais je suis toujours secourue. Je suis encore et toujours sauver par les autres, même quand ce sont des inconnue... Je dois encore m'entraîner, m'entraîner encore et encore jusqu'au jours ou se sera moi qui sauverais quelqu'un. Mais pour l'instant je dois me rendre à Philadelphie !


Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant