Chapitre 4: SEULE

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J'étais de retour a la case départ, la où je me suis réveiller une journée plutôt, au milieux des décombres.  J'avance a petit pas, surveillant bien où je met les pieds pour ne pas trébucher. Cet endroit, qui était autrefois si joyeux, n'est plus que l'ombre de se qu'il a été. Tout est devenue tellement sinistre. Les cadavres jonche le sol depuis maintenant une semaine, personnes n'a été épargner par ce désastre, adultes comme enfants, tous ont succomber. Tout en espérant retrouver une famille saine et sauve, je traverse la ruelle faiblement éclairer par les rayons du matin, chaque nouveau crépitement sous mes pieds me fait retrousser les oreilles. pas de bruit, pas de zombie, pas de bruit, pas de zombie. Toujours en continuant de me répéter ces mots, des bruits de pas vienne perturber le silence. D'un bond, je me retrouve derrière une benne a ordure guettant le propriétaire des bruit de pas qui se rapprochais dangereusement de moi. Je sorti le couteau que Marc m'avait laisser au moment de se quitter, il m'avait bien expliquer que la seul manière de belle et bien tué un mort-vivant, je devais bien viser la tête de manière a grandement endommager le cerveau. Ils m'ont également laisser un pistolet, un Colt M1911, a utiliser seulement dans des situations d'extrême nécessiter. Il m'a dit que le pistolet contenait que 7 cartouches et que je devais limiter l'usage de celle-ci, de peur d'en manquer a un moment critique qui pourrait me couter la vie. Une petite fille passa devant la ruelle, elle avait l'air désorienter, perdue et inoffensive. Très, très, très doucement je me relève, me dévoilant ainsi au grand jour. Mon coter de grande sœur protectrice prit le dessue, je décide de l'interpeller et de la prendre sous mon aile, je peut tout simplement pas laisser une petite fille seule airer dans cette ville contaminer par ces monstres. Je me déplace sur le coter et fit quelque pas dans sa direction, je n'ai même pas eu le temps de dire un mots, qu'elle se tourne dans ma direction, me dévoilant ainsi son coter décomposer de son visage. Merde!. Elle est contaminer. Elle se rue vers moi a toute vitesse, j'ai a peine de temps de faire un pas en arrière qu'elle me saute dessue essayant de me mordre par tout les moyens. Je commence a la poignarder dans le dos, rien de marche, les paroles de Marc me reviens a l'esprit « vise la tête ». Il me faut viser sa tête, du haut de mon bras je lève le couteau et le fracasse sur son crâne et encore et encore. Le sang me gicle dessue, mes larmes me sorte des yeux, la petite fille s'effondre au sol poussant un dernière spasme avant de bel et bien arrêter de bouger. Je m'effondre a ses coter. Je viens de poignarder une petite fille, je me mit a rire nerveusement, sa y est, je deviens folle. Mon regard glissa vers le corps inerte de cette fillette, elle avait l'air de n'avoir que 5 ou 6 ans. Sans m'en rendre compte, ma main commence a caresser sa joue. La peau est froide et d'une teinte grisâtre, ma main monta jusqu'à ses cheveux blond, mes larmes se fit de plus belle. Pourquoi ? Pourquoi tout ceci a t'il due arriver ? Je me relève avec peine, regardant toujours son corps sans vie. Avec rage, j'essuie mon visage du revers de la main. Je dois être forte, je dois être forte pour moi et pour ma famille qui m'attend quelque part. Je me remis en route, une enjamber après l'autre, mon rythme accélère. Plus vite, plus vite, encore plus vite. Sans même m'en apercevoir, je me mis a courir et j'espérais ne plus jamais m'arrêter.

Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant