Chapitre 19: ET MAINTENANT ?

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Avant de commencer le chapitre 19 je suis curieuse de savoir si vous avez aimer le chapitre 18, j'ai voulue essayer de faire parler Marc a la place de Laura ...? Qu'est-ce que vous en pensez? Est ce que sa serais a refaire ?

Merci! :)
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PVM Laura

Je m'enfonçais dans ce tunnel humide et étroit, celui où on m'avais pousser contre ma volonté. Mes forces m'avait quitter à force de me débattre pour essayer de retrouver mon père, et en voilà le résultat... Moi marchant en ligne tel un bon petit soldat a l'écoute de chaque ordre lancer. Nos pas soulevaient la poussinière accumuler depuis sa construction qui, de ce que je peux voir, datait d'un nombre d'année incalculable. Les enfants pleuraient bruyamment, ainsi que quelque femmes, tous terroriser par se qu'ils venaient de vivre. Ma tête me faisais mal, tout tournais autour de moi et j'étais trop boulversé pour penser à autre chose que mon père, mon père qui est rester enfermer dans un sous-terrain infester par ces chose et, en plus, n'avait aucun moyen de sortir, car nous avions fermer la porte derrière nous. Je due perdre pied, car je me retrouvais au sol quelque secondes plus tard. Une femme viens poser ses mains sur chacune de mes épaules et m'aida a me relever malgré moi. Je la sentait prendre l'arme de ma main et même si j'essaya de l'en empêcher mes forces était réduite à néant. Je l'entend crier quelque chose mais je n'en déduis pas le sens. Tout le monde arrête de marcher et vont s'assoir un peu partout sur le sol humide. La femme me conduis un peu plus loin, surement pour me clamer ou encore pour me parler. Elle m'installa dans un de ces coins mouiller et où les lumières de secours clignotent sans cesse, pas très rassurant. Elle sort de son sac une gourde bleu ayant des fleurs blanches d'imprimer dessus et me la tend pour que je boive quelque gorger. Après m'être revigorer je regarde mon interlocutrice pour enfin savoir qui se trouve à mes côtés. La cuisinière me faisait face, la seule qui m'adressais la parole au camps.

-Pourquoi?

Elle me regarde, ne comprenant pas se sens de ma question. Je me racle la gorge et recommence:

-Pourquoi les avoir laisser derrière ? Vous savez aussi bien que moi qu'ils n'ont plus aucune chance de s'en sortir.

Je la regarde droit dans les yeux ne voulant qu'une chose, la vérité.

-Ils avaient toujours une chance de s'en sortir vivant..je la coupe.

-Ne me mentez pas! Il y avait beaucoup trop de ces monstres pour pouvoir tous les tuer ! Nous aurions dû rester les aider ! J'aurais dû rester pour les aider ! Maintenant j'ai perdu mon père, encore ! J'étais fatiguer, frustrer mais surtout déçue de moi-même qui n'a pas été capable de rester pour aider mon père.

Elle me regardait dans le yeux, comme si tout ce que je venais de dire ne l'a toucha pas. Je continuais à la regarder, attendant sa réponse.

-Comme je te disais..j'allais de nouveau lui couper la parole, mais elle me devança, laisse moi parler! Je me tue et l'écouta attentivement. Comme je te disait avant que tu me coupe si impoliment la parole, elle me jeta un regard qui voulait tout dire, ils avaient toute leur chance de s'en sortir pour la simple et bonne raison qu'il y a une autre sorti de secoure.

Je cligne des yeux a plusieurs reprise, n'en croyant pas mes oreille, il y avait donc deux sorti.

-Je te l'accorde, la deuxième sorti est, comment dire, plus petite, plus sombre et également plus fragiliser par les détonation, mais elle conduit tout de même à un sorti. Alors, reprend toi, nous avons besoin de tes semaines d'entraînement, de ta force, nous n'avons absolument aucune idée de se qui nous attend à l'extérieur et c'est pourquoi tu va prendre les commende.

Je me relève, prête à continuer notre marche vers la sorti. Me voyant passer, plusieurs femmes se lèvent à leur tour, me suivant. Nous continuons à marcher encore une demi heure pour enfin arriver au bout du tunnel, je les fit arrêter et monta à l'échelle en face de moi. Quand j'atteins le haut de l'échelle, je soulève doucement le couvercle du puisard, jetant du même coup un petit regard au alentour, rien a déclarer, tout était calme, peut-être même trop. Je fit signe aux femmes de rester en bas. Je sorti et remis le couvercle en place, sur la pointe de mes pieds je me dirige vers le coin de la rue. Toujours rien, bon, je pense que je peux les faire sortir de là. Quelque minute plus tard tout le monde était à l'extérieur, et sérieusement nous étions beaucoup trop nombreux pour ne pas passer inaperçus, je mis donc deux adulte par enfant, de sorte d'avoir bien tout le monde a l'œil et que tout le monde puisse se protéger les une les autres. Chaque femme avait un couteau sur elles et elles savaient presque toutes s'en servira comme il le fallait. Nous nous avancions dans la rue et une seule question me trotta dans la tête : et maintenant ?

Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant