Chapitre 7: EMSEMBLE, JUSQU'À CE QUE LA MORT NOUS SÉPARE

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je suis toujours étaler sur le sol, mes amis sont là, ils sont venue me sauver pour la deuxième fois. Ils sont 4 contre une dizaine, ou peut-être plus, de ces monstres et même si d'un point de vue technique ils ont pratiquement aucune chance ils s'en tire plutôt bien. Marc et Nic se batte avec l'aide de deux Katanas et ils sont plutôt impressionnant, leurs lames tranchent les têtes les unes après les autres sans laisser une seule goutte de sang atterrir sur leurs vêtements. Mélissa se bat avec deux poignards, un dans chaque main, et Jacob assène des coups d'hache à droite et à gauche, un sourire sadique sur son visage. Je me relève même si mes muscles me cris de rester étendue dans la poussière et les décombres. D'une main tremblante, je tiens mon couteau au niveau de ma poitrine prête à me lancer au cœur de la bataille. Je fais de longue enjamber et saute sur le premier contaminé qui me tombe sur la main, mon couteau atterrie en plein sur le crâne décomposer de celui-ci, et de un, et puis le deuxième suivie, et le troisième et le quatrième. J'arrête de compter, la haine m'empêche d'avoir les idées clair. Je les hais. Je les hais tellement. Je poignarde encore et encore sans arrêt, me défoulant sur ces personnes qui n'on jamais demander à devenir ce qu'elles sont maintenant, comme ma sœur. Mes larmes se mêle au sang sur mon visage, je continue à poignarder ceux qui ont, autrefois, été des gens biens, des amis et des amants. Ma rage est plus que palpable, la tension monte et mes amis me regarde, déboussoler, par ma soudaine folie meurtrière. Nous avions tué tous les contaminés depuis un bon 5 minutes, je suis la seule toujours accroupie me défoulant corps et âme sur le corps, inerte, d'un pauvre homme-zombie. Une main féminine viens se poser sur mon épaule droite, Mélissa, je fais volteface et atterri dans ses bras pour y déverser mes larmes pour la énième fois depuis deux jours.

Je me suis remis de mes émotions et maintenant nous somme assis, les uns en face des autres.

-pourquoi? Ma voix se fit faible presque inaudible, pourquoi être revenue ?

-J'ai insister tout le long du trajet sur le fait qu'on n'auraient pas dut te laisser partir seule, dit Mélissa d'une voix douce et chaleureuse, je me suis tellement inquiéter pour toi !

Sans crier gare elle me saute dans les bras, nous tombions à la renverse sous les regardes surpris des garçons. Ils se mirent a rire, gorge déployer, alors que Mélissa pleurait sur moi, m'écrasant de son corps frêle.

-Mel... tu... m'écrase...je la pousse de mes bras essayant de la faire se relever, peine perdu elle se tiens a moi comme si la vie en dépendait.

Marc et Nic vient me porter secoure, ils la lèvent sans grande difficulté me laissant enfin respirer. En seulement quelque heurs passer à leur coter m'avais permis de découvrir leur personnalité. Mélissa est une enfant dans l'âme, bien que son physique nous laisse penser le contraire, elle aime rire et faire rire les autres, l'une des nombreuse qualités que j'apprécie chez elle. Nic, Nicolas, est un séducteur et son apparence nous le fait bien remarquer, le nombre de fois qu'il c'est essayer avec Mélissa, mais il n'est, jusqu'à aujourd'hui, jamais arriver a ses fin. Marc est le plus sérieux du groupe, il guette le danger à chaque heur de la journée, mais peut toutefois être dément et s'amuser avec nous, il est capable d'avoir le parfait milieu ce qui est agréable. Jacob, bien.... comment dit, il ne parle pas du tout ou très très peu. Marc ma dit qu'il a été traumatiser, je ne sais pas par quoi, et que depuis il ne prononce plus un mot. Il ne souri même pu, sauf quand il attaque les contaminer, là sa hache se fait aller de tout les coter et son sourire éblouie son visage.

-Heummm, ils se tournent tous vers moi, Je voulais savoir.... est-ce que je peut toujours vous accompagner ? moi voix se fit petite par peur de me faire rejeter.

 

ils me regardent tous comme si j'étais devenue folle, je le savais... Marc prit la parole... surement pour me dire gentiment qu'ils ne pouvaient se permet de me prendre avec eux, après tout plus qu'on est plus c'est dangereux. Cependant il me dit le contraire, quelque chose qui me surpris mais qui ma rendue tellement heureuse que j'en souri.

-Parce que tu croyais qu'on allaient partir ans toi? sa vois est douce et sincère, ils n'avaient, même pas une seconde penser partir sans moi et j'en étais très reconnaissante.

 

 Nous nous remettons debout et comme dans les vieux films nous partons tous ensemble vers le soleil couchant, jusqu'à ce que la mort nous sépare.  

Survivante [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant