Chronique de Myriam le Love à la cité
AFTER CHRO'
PARTiE 52:
Aymene : T'es prête ?
Moi : Pour la vie ?
Aymene : Jusqu'à ce que la mort nous sépare...
Moi : Alors oui je suis prête.
Aymene : Tu m'aimes comment ?
Moi : Je t'aime plus que ma propre vie.
Aymene : Je t'aime Myriam.
On était allongés sur l'herbe, à la belle étoile. On faisait le point sur nos vies, notre parcours commun. Fin Août ça y est, le Ramadan est terminé depuis quelques temps déjà. Les préparatifs de nos fiançailles se font, les choses se concrétisent. Nous ne réalisons toujours pas. Aymene tiens fort ma main.
Aymene : On y est presque Myriam !
Moi : On y arrive enfin. La patience ça paie.
Aymene : Après toutes les galères, toutes les ruptures on est là ensemble sa mère c'est un truc de fou wallah !
Aymene était étonnée de voir comme le destin était parfaitement écrit pour nous deux. Peu importe le chemin que l'on prenait, on finissait toujours par se retrouver.
Aymene : C'est grâce à ton père tout ça... Faut le remercier de vous avoir fait déménager.
Moi : C'est vrai
Tout part souvent d'un détail, chaque grande histoire part d'une toute petite chose à la base. J'étais quand même déçue du résultat que donnaient les mariages dans ma famille, mais j'y croyais avec Aymene.
Moi : J'veux qu'on se dise nos vœux !
Aymene : Shab (genre) comme dans les films d'amours là ?
Moi : Oui !
Aymene : T'es une malade
Moi : Tu ne veux pas ?
Aymene : Mais si, mais j'suis nul à ce jeu là tu le sais très bien.
Moi : Oh t'es nul, allez joues le jeu. S'il te plaît (regard attendrissant)
Aymene : Oh la la t'aimes trop prendre par les sentiments.
Moi : Oui...
Aymene : On se donne une semaine pour les écrire d'accord ?
Moi : Oui !
Héhé Myriam obtiens toujours ce qu'elle veut allez pas croire que je prends la grosse tête hein... LOL
Aujourd'hui je passe l'après-midi chez Selma, ma cousine d'amour.
Moi : Elle ressemble trop à la famille, ta petite perle.
Selma : T'as vu ça ! Elle a des airs de toi, y'a des gens qui le disent. Vu qu'on se ressemble toi et moi à la base.
Moi : Tu trouves ? En tout cas elle est magnifique, poupounette diély (à moi)
Elle est canon sa fille, une bombasse, elle nous a toutes mise à l'amende ! J'étais fière de voir Selma posée dans son petit chez elle, avec un mari, et un enfant. Elle mérite le bonheur absolue cette femme, et je ne cesse de lui souhaiter le meilleur. Après on va pas se voiler la face, ce n'est pas toujours tout rose dans un couple hein !
Même dans le mien d'ailleurs, j'ai parfois des disputes avec Aymene, j'en parle peu mais des disputes de routine quoi vous connaissez, ça s'embrouille pour un truc bidon, on se fait la tête quelques heures, et on se réconcilie. C'est tout à fait normal.
Sauf ce jour-là, j'ai eu une énorme dispute avec Aymene. Une des plus marquantes, c'est d'ailleurs pour ça que je vais en parler dans ma chronique. En rentrant de chez Selma je suis passé directement voir mon homme, chez lui.
Il m'ouvre la porte, c'est cool personne n'est là. On est dans le salon on parle, on discute beaucoup avec Aymene, et c'est ce que j'aime chez « nous » on dialogue !
Heureusement parce que vu la pipelette que je suis, j'ai besoin d'attention, d'écoute et de réponses ! Ah ça c'est clair.
Alors on parle...
Moi : Tu pourrais me tromper ?
Aymene : T'es malade ! Pourquoi cette question ?
Moi : Je sais pas, c'est dans vos gênes.
Aymene : A nous les hommes ?
Moi : Oui. On dirait que c'est plus fort que vous, y'a le jnoun de l'infidélité qui viens faire de la bécane dans vos cerveaux.
Aymene : MDRRRRRRRRRRRRRR ! T'es vraiment pas nette comme fille wallah.
Moi : Mais le pire c'est que je rigole pas. Bon j'avoue c'était marrant de dire ça comme ça, mais je suis sérieuse.
Aymene : T'as raison, mais y'a des hommes fidèles, c'est des exceptions.
Moi : Du coup t'es un mec exceptionnel, c'est ça ?
Aymene : Mais c'est que tu comprends vite !
Moi : Ralala...
Aymene : Va me chercher ma sacoche stp, elle est sur mon lit.
J'me lève j'y vais, je saisis la sacoche et la fait tomber, accidentellement bien sûr. J'me baisse pour ramasser. Quelque chose était tombée de la sacoche, un préservatif...
Euh comment vous dire ? J'étais choquée. D'une la sacoche à mon mec, disons même fiancé, de 2 il n'utilise pas ça avec moi étant donné que nous n'avons pas de rapports ensemble, donc conclusions messieurs, dames, mon mec me trompe AGAIN (encore) !
En fait je n'ai pas trop réagis sur le coup...
Je lui ai jeté sa sacoche à la figure, et j'ai commencé à remettre mes chaussures pour filer.
Aymene : Wesh tu vas où ?
Moi : Allez casse-toi. Et fais ta vie stp, ça y est je ne veux plus de ta gueule !!!!!
Aymene était furieux ! D'où elle me parle comme ça celle-là c'est ce qu'il devait penser. Je dépasser sûrement les bornes avec ma bouche, mais lui les dépassés avec autre chose !
Il m'a saisi par le bras.
Aymene : T'es sah (sérieuse) là !?
Moi : Mais oui ! Va ba*ser tes meufs t'as raison ! Vieux mec va ! Ah mais tu me dégoûtes ! Des capotes dans ta sacoche, nooooooooooormal !
Aymene : Oh Myriam wallah t'as 2 secondes pour te calmer où j'te gifle !
Moi : BAH GIFLE-MOI T'ATTENDS QUOI ! P'tite merde !
Et baaaam une grosse gifle ! Ma joue chauffe, je suis enragée. Je lui saute dessus et lui griffe le visage, il m'attrape et me stoppe net en m'immobilisant.
Aymene : Espèce de bouffonne va ! C'est la sacoche à Ilyes !!!
Moi : MAIS BIEN SUR ! DEGAGE LACHE-MOI !
Aymene : Mais sur la vie de ma mère t'as trop pris la confiance, tu me prends pour un zémél moi ?
Une 2ème gifle...
Aymene : CALME TOI JE T'AI DIT !!!!!!!!!
Moi : DEGAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGE ! Sale chien de la casse lâche-moi je t'ai dit !
Je l'insulté de tous les noms, j'ai finis par lui cracher sur le visage, car il tenait mes mains je ne pouvais plus bouger. Il était assis sur moi, j'étais allongée au sol paralysé.
Aymene : T'es une vieille meuf, tu fais la princesse. Tu pues la merde en fait, casses-toi de chez oim wallah tu délires toute seule tu fais pitié !
Il m'a relâché, je n'avais même pas vu que je saigné de la lèvre. La sacoche à Ilyes ? C'est ça ouais ! Il me prend vraiment pour une conne.
J'me lève pour partir.
Aymene : Maintenant je vais baiser qui je veux et où je veux. T'as fait la maligne, tu viens chez moi me chéhél (allumer) la tête ! Wallah t'es bonne pour l'asile, bref casse toi je veux même pas te voir. Tu vas voir c'est quoi Aymene le sheytane ! Et c'est finis y'a plus de mariage y'a plus rien dégage !
Moi : C'est toi dégage ! Miskine tu t'es pris pour qui ? Tu crois que t'as des c*uilles en or ou quoi ? Tu fais pitié, au lieu d'assumer tes actes tu remets la faute sur ton pote t'as aucun principes. Tu n'es qu'une merde Aymene, une sous merde ! Tu es pourri, de toute façon j'aurai du le savoir t'as toujours était pourri dans le fond.
Aymene : MORT DE RIRE ! Tu crois que t'es qui toi plutôt ! Des meufs mieux que toi j'en ai à la pelle cousine ! Redescends sur terre, je t'ai traité comme une princesse et t'as pris la confiance c'est de ma faute. Bref bouge de chez moi maintenant.
Je n'ai pas parlé je suis reparti, bien sûr ses mots m'avaient fait énormément de mal. Et j'ai réalisé combien je l'aimais à ce moment-là. Je suis sortis de chez lui sans pleurer, mais une fois dans les escaliers j'ai pleurais comme une faible, enfin sur le coup je pensais que c'était faible de ma part. Mais pleurer n'est pas une honte.
Il m'avait trop blessée, mais je sais que j'ai mes tords sur ce coup-là aussi.
On ne s'est pas reparlés, silence radio... Les jours passent, ma mère vient me parler de mon « mariage » avec Aymene. Ca me dégoute...
Moi : Je sais pas maman, on verra. Y'a rien qui presse.
Elle : Toi tu t'es disputé avec Aymene on dirait.
Moi : Ouais. Mais bref changeons de sujet s'il te plaît maman.
Elle : D'accord...
Ca fait une semaine maintenant qu'on ne s'est pas parlé, fierté de ouuuuuuf ! Mais qu'est-ce qu'il me manquait !!!!! C'était gravissime !
Je passe ma journée avec Leyla, je suis souvent avec elle, même si j'en parle peu. Elle tient le coup depuis le décès de son frère, c'est une battante cette fille. Elle est heureuse avec son petit mari, et elle prend soin de son père. Une fille vraiment respectable. Même son mari prend soin du père à Leyla.
Quand certains parle de « beurette à khel » de « couple de vendu » j'ai juste envie de vous dire que ce couple mixte, fait beaucoup plus le bien que certains couple « arabes » !
Bref on parle, elle me console depuis ma dispute avec Aymene la pauvre elle a dû me supporter...
Leyla : Arrête d'être fière comme ça, va lui reparler
Moi : Attends t'es malade, j'ai trouvais une capote stp ! NON MAIS ALLO !
Leyla : Wooooh Nabillux là calme toi stp avec ton allo.
Moi : MDR...
Leyla : Mais peut-être qu'il t'a pas mentis, c'est vraiment à Ilyes.
Moi : C'est un menteur ouais !
Leyla : Yacine serait encore en vie, il t'aurait remonté les bretelles. Wallah comment il me manque je sais même pas comment je fais pour tenir...
Yacine c'est vrai, il aurait étais là il m'aurait sermonné, pendant des heures.
Yacine frérot comment tu me manques !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Quand elle m'a parlé de Yacine, j'ai pensais à la mort... En pensant à la mort, j'ai pensais à la perte d'un proche encore... Et ça m'a ramené à Aymene en l'espace d'une seconde mon cœur s'est serré.
Moi : T'as raison ! Faut que je l'appel.
Leyla : ENFIN !
Je l'appel, ça tombe sur messagerie. J'ai compris directement, il a changé de numéro... Carrément !!!!!!
Moi : Il a changé de numéro, laisse tomber là c'est trop. Il veut vraiment plus de moi ça veut dire ça c'est sur
Leyla : Il a peut-être plus de batterie...
Moi : Je sais que mon intuition est bonne Leyla.
Et j'avais raison, je suis partis avec Leyla à Auchan. Elle voulait faire ses courses. Je crois que vous l'avez compris, je croise Aymene en charmante compagnie. Ilyes,
Aymene, Moussa et 3 filles... SUPER !
Aymene ne m'as pas vu, il rigolait avec l'une des 3 filles. Belle ? Je sais pas, bof. Je m'en fichais de la beauté de la fille... Enfin un peu quoi ! Oui j'étais jalouse, à en crever même ! Mais j'ai fait mine de rire avec Leyla. On passe devant eux, Ilyes me voit et me salue. Aymene me voit et son visage changea instantanément, plus aucun rire, pas de sourire non plus. Les filles me fixent, me dévisagent même.
Ilyes : Hé Myriam ! Viens voir vite fait.
Aymene lui dit quelque chose.
Ilyes : Nan rien rien !
Je trace ma route.
Moi : Putain ils font pitié !
On va à la caisse. Ils viennent derrière nous. Mes yeux croisent le regard d'Aymene en me tournant. Je l'aime... Oui je l'aime.
Moi : Pff !
Il ne répond pas à ma provocation. Il se casse, la même fille avec qui il riait le suit.
C'était trop pour moi ! Fallait que j'explose !
Je marche vers eux, j'attrape Aymene par le bras.
Moi : T'es sérieux là ?
Aymene sourit, mais il se mord la lèvre pour ne pas rire.
Aymene : Lâche-moi. Sérieux de quoi ?
Moi : Oh putain ! En plus tu t'la racontes ! Sérieux Aymene !?
Aymene : Oh la la, commence pas à me parler chinois tu veux quoi ?
Moi : C'est qui elle déjà ?
Elle : Quoi elle ?
Moi : Mais ta gueule toi je t'ai pas parlé.
La fille était choquée, elle allait me répondre mais Aymene l'a coupé.
Aymene : MDR ! N'importe quoi ! C'est personne wesh.
Moi : C'est avec elle que tu couches ?
Aymene était mort de rire.
Elle : Elle est folle...
Aymene : Laisse-moi avec elle vite fait stp
La fille s'en va rejoindre les autres à la caisse.
Aymene : Pourquoi tu fais ça ?
Moi : A ton avis gogole !
Aymene : Parce que tu m'aimes...
Moi : ...
Aymene : Wallah pardon pour les gifles, mais tu m'as rendu fou Myriam. Pourquoi et comment tu peux penser que j'te trompe ? Wallah la sacoche elle était à Ilyes.
Moi : C'est qui ces meufs ?
Aymene : Des copines à Ilyes et Moussa. Wesh dans ma tête y'a toujours eu que toi, pourquoi tu rentres pas ça dans ta tête une bonne fois pour toute ?!
Moi : T'aurais trouvé ça dans mon sac genre tu l'aurais bien pris ?
Aymene : Nan c'est sur... Mais vas y j'aime pas les embrouilles avec toi. Regarde ça mène où. On s'est tapé dessus comme des animaux.
Moi : Les mots font plus mal que les coups, parfois...
Aymene : Tu sais quoi on se voit ce soir on en reparle.
Moi : Tu vas rejoindre les meufs là ?
Aymene : Nan ! Je vais voir Hakim.
Moi : Et pourquoi elle te suivait alors ?
Aymene : J'allais l'a déposé à la gare.
Moi : Pff !
Aymene : T'es jalouse c'est rassurant. J'y vais, je t'appel plus tard. Au fait j'ai changé de numéro !
BINGO ! J'avais raison mais j'ai fait celle qui savait pas...
Moi : Ah ouais...
Le soir il me rappel. On se voit, on décide d'aller manger. Je pense qu'on doit parler un peu... Surtout qu'on a l'intention de se marier, il faut qu'on mette les choses à plat. Et c'est ce qu'on va faire.
Aymene : J'ai pas du tout apprécié ta façon d'me parler l'autre fois. J'suis pas content Myriam, c'est pas cette fille-là que j'veux épouser moi.
Moi : Je sais mais... Voilà quoi, je vois ça c'est normal je pète un plomb aussi !
Aymene : Ouais, mais nan. T'avais pas à t'exciter comme ça, sans même me laisser le temps de m'expliquer. C'est pas comme ça qu'on fait les choses, on est des adultes Myriam ça y est les délires du lycée, c'est finis ça. On va se marier oh !
Il avait raison, je me sentais minable en l'entendant parler.
Moi : Je sais je sais...
Aymene : J'ai mes tords aussi, j'aurais jamais mais jamais dû te frapper. Même dans la colère faut que j'me contrôle.
Moi : C'est clair. Tu n'as pas le droit d'me cogner dessus comme ça ! Vraiment, peu importe mes tords tu n'as pas à me frapper. Et je ne l'accepterais plus Aymene sache le.
Aymene : Hé t'es marrante toi ! Tu m'as griffé le visage, téma.
Il me montre la cicatrice, que j'avais déjà repéré lol...
Moi : Je te demande pardon mon amour...
Je dépose un baiser sur la cicatrice. Et j'le serre dans mes bras.
Aymene : J'veux pas te perdre Myriam.
Moi : Moi non plus. Je ne veux plus te perdre. J'en ai marre d'être triste sans toi, ras le bol quand tu m'manque et que je ne peux plus te parler, par fierté. Viens on arrête nos conneries.
Aymene : Ouais. Viens on profite de chaque jour comme si c'était le dernier. Tu sais j'me dit que si Dieu il a fait qu'on se rencontre c'est pas par hasard. Y'a aucune meufs qu'à ton level.
Moi : Y'en a des plus belles.
Aymene : Rien à faire, c'est toi ma meilleure. T'as un cœur en or, 0 vices, 100% hnina, faut être con pour échanger une fille comme toi contre une autre. Peu importe si elles sont plus belles, plus ceci ou cela, toi je t'échangerais contre aucune autre.
Moi : Yééééééééh je vais pleurer arrêtes.
Aymene : C'est vrai wallah ! Ta gentillesse elle t'emmènera loin Myriam, c'est toi qui m'as fait comprendre la vie. Tu m'as fait grandir à mort. T'es juste, droite, et douce.
T'es tout c'que j'aime, et tout ce qu'il me faut. Pourquoi j'irais tout niquer en te trompant ? On a prévu de se marier c'est pour ça que ça me tue quand tu penses qu'après avoir demandé ta main je pourrais te tromper. J'ai plus 18 ans ça y est j'ai grandis.
Moi : Euh... Je t'aime.
Il me fait un câlin.
Aymene : Je sais.
J'étais heureuse qu'on se soit réconciliés, Aymene m'avait rassuré. Je sais qu'il ne ment pas, il m'a trompé une fois c'est vrai, mais il s'est fait pardonné depuis. Je l'aime... J'en ai marre de cette fierté qui détruit tant de couples ! Putain mais t'aimes un/une fille/mec va lui dire, court, nage, vole ! Appel, dis le lui !
JE T'AAAAAAAAAAIME ! C'est si dur à dire ? Un je t'aime sincère bien sûr.
Pourquoi perdre son temps par fierté ? Qu'est-ce que c'est stupide ! Tu veux savoir si t'aimes encore ton ex ?
-Tu penses à lui/elle ?
- Un détail te fait penser à lui/elle ?
- Quand il t'arrives un truc tu penses à lui raconter ?
-Tu penses à l'avenir et tu le/la vois ?
-Ton cœur s'embrase quand tu repense à vous deux ?
- Il/elle te manque sans cesse ?
-Tu imagine parfois avant de t'endormir vos retrouvailles ?
-Tu reconnais son parfum sur des passants dans la rue ?
-Tu l'appel en masqué pour entendre le son de sa voix ?
-Tu pleures parfois car le manque te fait trop mal ?
-Des chansons te font penser à lui/elle ?
-Tu compares les autres filles/garçons à elle/lui ?
Et j'en passe la liste est longue... Si vous avez la possibilité de lui dire que vous l'aimez encore faite le, je ne vous garantis pas une réciprocité mais tentez le tout pour le tout est toujours meilleur que vivre dans les regrets et les « et si... »
Bien sûr pour d'autres c'est bien plus compliqué, d'autres sont les victimes de l'amour. Largués par l'être aimé, parfois même forcer à le/la voir aimer une autre personne.
C'est douloureux, surtout quand on aime encore. Alors pour vous, les « damnés de l'amour » sachez que votre tour viendra, vous allez la rencontrer cette personne FAITES pour vous ! Qui sera là pour vous, en toute circonstance. N'ayez aucun doute là-dessus. Pas de vengeance envers celui/celle qui vous a blessé, ne vous abaissez pas à ça. Vivez votre vie, vivez la même avec le manque. Montrez que vous êtes fort/forte. Tant pis on a qu'une vie, vivez-la à fond ! Les injustes payent tôt ou tard, la roue tournera n'oubliez jamais ça. Alors laissez Dieu rendre justice pour vous, et continuer d'avancer.
Le temps répare, le temps répare ! Ne soyez pas trop dur avec vous-même, patientez et le temps se chargera de remettre les compteurs de votre cœur à 0.
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Chronique de Myriam le Love à la cité
Fiksi Umumce n'est pas moi qui l'ai ecrite hein comme je l'ai mise sur mon Facebook je la mets ici aussi pour mes lectrices l'une des meilleures de Facebook presqu'à l'ancienne (je dis presque parce que "à l'ancienne" : c'étaient des thug love ) mais c'est u...