Reign: le destin de Marie reine d'Ecosse

La révélation

Mon cœur battait a tout va ! je priais de toute mes forces que ma mere me questionnait sur ma santé ou sur  mon bonheur  comme toute mère. Elle commença froidement:

"Alors ?"

"Alors ? Lui demandais-je hébétée."

-"Qu'as tu a me dire? "

Ma gorge se noua que devais je répondre. je répondis bêtement:

"La cours de France m'a accueillis a bras ouvert, j'aime beaucoup Francis, mes amies mon rejoint et..."

Ma mère me coupa la parole:

"Tu vois très bien ce que j'insinue". son tond aussi froid me glaça le sent, j'etais perdu j'etais obbllger de répondre mais francis ecoutais la moindre parole.

"La cours de France et bien..."

"Oui..." m'incita t-elle avec insistance. tant pis j''étais piéger je devais tout dire:

" Le roi trompe la reine qui je pense n'est pas au courant."

"Qui est ce ?"

"Diane de Poitiers". dis- je peu fière.

"Des rumeurs cour que le roi et diane de Poitiers ont mis un batard au monde,  mais je pensais que ce n'était que des ragots se racontant entre domestiques."

Je restai bouche bé a cette annonce, et si le jeune homme, Sébastien, que j'avais vue dans la chambre n'était autre que le fils du roi, et donc le demi frère de Francis, c'était impossible. je me demanda a  cet instant que devait ressentir Francis. Ma mère repris

"Bien cette information pourrait nous servir d'ici peu, qu'a tu appris d'autre?"

Je voyais a cet instant le regard machiavélique de ma mère qui, j'imagine montais déjà des plan afin de détruire la France de l'intérieur.

Je débitai alors tout les secrets que j'avais appris dans ce château et a mesure que je racontais tout,  je me sentit mal, j'avais a la fois peur et honte de trahir ce pays qui m'avais accueillis a bras ouvert.  A la fin de mon récit ma mère sourie.

"Je suis fière de toi,  je savais que la cours de France avait ses secrets, ses faiblesses. J'userai de ces informations à bonne escient" .

Cette dernière phrase sonnais très fausse. elle se leva du lit et sans un mot sortie de ma chambre. Au moment ou la porte claqua je me levai doucement de mon lit et me dirigea ou Francis se cachait depuis maintenant plusieurs minutes. Je tremblais de tout mon corps, ma tête me disait de ne pas soulever ce rideaux. Pourtant il fallait que je lui explique. je sentis son souffle soulever ces draps. avec inquiétude je les tirais et je vis les traits de Francis durs , le regard vide.  A ma vue il me repoussa et s'enfuis en hâte de mes appartements. je le poursuis mais il était trop tard il était déjà loin dévalant les escaliers du châteaux. Je tombais par terre j'avais tout perdu. son amour, sa confiance. Il devait me détester au plus haut poing d'ailleurs moi aussi.

Après avoir repris mes esprits je prit le temps de réfléchir: qu'allait faire François? le dire au roi? pendrait t-il ma mère pour haute trahison, allait il attaquer l'Ecosse? Qu'avais je fais? Avais-je déclar2 une guerre qui mettrait surement fin a l'Ecosse?