Reign: le destin de Marie reine d'Ecosse

Une ouverture

On toqua à ma porte. Sûrement francois pour me dire combien il me détestait. Je n'ai eu le temps de dire entré  qu'un beau jeune homme que je connaissais bien et qui était la source de notre dispute avec francois entra dans la piece, Sébastien. Que faisait t-il ici? Lors de notre dernière rencontre francois m'avait dit que si il me retouchait il l' enfermerai dans le  cachot, de quoi en faire frémir plus d'un. Si francois le surprenait dans mes appartements je suis sûr qu'il tiendrait sa promesse et ce n'était vraiment pas mon souhait.
"Que fais tu ici ? si francois te vois ici il sera furieux et je ne donne pas cher de ton sort "
"Qu'il  le fasse, j ai vu francois partir en colère de ta chambre et je voulais m'assurer que tu allais bien !"
Il me vit en pleur, il s'assit à côté de moi, assise sur le lit. J'eu un mouvement de recul mais je vis dans ses yeux tant de douceur que je me trouvais bête de faite un tel geste.

"Nous nous sommes encore disputés! c'est comme si une force ne voulait pas que nous soyons heureux ensemble, mais je dois dire que cette fois ci c'est de ma faute ! "
"Pourquoi cela ?"
"Je veux protéger les gens que j'aime, mais sans le vouloir j'ai toujours une horrible tendance à garder des secrets! je blesse alors les gens aux alentours. "
je ne comprenais pas pourquoi je disais autant de choses à Sébastien tout est toujours facile à dire avec lui. Il ne me jugeait pas, m'écoutait toujours avec un regard bienveillant. Avec lui j'osais tout. J'etait moi même pas la reine d'écosse non juste marie et c'était la chose la plus plaisante au monde.
"Je comprends qu'il est si facile de garder des secrets pour protéger les gens à qui l'on tien "
en  disant cette fin de cette phrase il me regarda tendrement avec ces yeux verts. Je savais ce qu'il ressentait pour moi et  je me sentais mal car à cet instant  j'avais envie qu'il ressente ces choses... il était beau, attendrissant et protecteur. Je lui pris la main.
Il me regarda surpris puis me souri.
Il me chuchota:
"Ne joue pas avec moi, s'il te plaît" en me laissant un bisous sur la joue.  Cette douceur sur mes joues brûlés par les pleurs salé m'appaisait.
Et soudain, Il dit cette phrase qui me fis redescendre de mon bien être très éphémère.
"qu'elle était la cause de votre dispute ?"
Je n'arrivais plus à réfléchir devais je lui dire ? Lui dire que j'avais  révélé  à francois leur lien du sang ?  Ces mensonges m'avait tellement détruite, que je lui devais la vérité.
" Je suis désolé j'ai du dire à francois que tu étais son demi frere..."
Il me regarda avec un air horrifié
"Tu as fais quoi ?"me dit il plein de colère.
"Ce fardeau était trop lourd...je suis désolé" lui dis je en pleurant(encore).
Il me regardait pleurée et à mon étonnement, il me pris dans ses bras pour me consoler. Il avait une odeur de blé doré au soleil.je renifla de toute mes force son parfum afin de m'en embrumée. Puis il me dit
" je comprend  ta position, je n'avais pas le droit de te demander de te taire sur un aussi lourd secret.
Ça devait de toute manière exploser au grand jour à un moment. Je vais aller prévenir ma mère afin qu'elle se  prépare aux conséquences..."
Je le coupa et lui dit:
" en parlant de la relation entre ton père et ta mère je crois qu'elle est plus que conventionnelle..."
" elle a encore plongé? Je sais qui n'a  rien de bon qui peut sortir d'une telle relation... merci de me l'avoir dit je dois parler avec ma mère "
il m'embrassait une deuxième fois sur la joue  avant de partir précement.
Je savais tout au fond de moi que mon attitude avait été ambigu et que j'avais laisser une porte semi ouverte à un homme qui ne devait pas la prendre. Pourtant à ce moment j'avais envie qu'il l'ouvre. Je ne pouvais dire à personne ce que je ressentais. Même à mes amies j'eu peur qu'elles me tiennent pour irresponsable, ce que j'étais, je dois  l'admettre. Pourquoi étais je si compliquée?  On m'a toujours dit que par ma couronne,
ma vie aller être toute tracée et sans aucune embuche. On m'enviai.  Seulement aujourd'hui, je me rends compte qu'ils avaient tort. Personne ne peux comprendre  le poid de la royauté à part ceux qui en sont membre. Mais il m'était interdit de fléchir, je devais me relever mais j'avais besoin d'aide pour comprendre qui voulait ma courrone par tout les moyens. Là était la vrai question, s'en était finit de me lamenter sur mes amours, une reine devrait se préoccuper de son pays et cela commencait par trouver qui été  le lion et la croix huguenote qui voulait ma mort. Vers qui pouvais je me tourner afin de m'aidais dans ma tâche qui je me doutais allait être  périlleuse ?