Reign: le destin de Marie reine d'Ecosse

FRANCIS

A bout de souffle, j'arrive enfin au château, paniquée. ma robe en lambeau, mon visage rouge de griffures, ma coiffure ressemblant aux buissons qui m'avait attaqué,on avait peine a me reconnaître. Dévalant a toute allure l'escalier je heurtais Francis . Je sursautas. En le regardant dans les yeux je vis de la stupeur et de l' incompréhension. une terrible envie de l'étreindre me submergea. Je ne pu me contenir et me jetas dans ses bras en sanglots . Surpris Francis eu un mouvement de recul puis me vis en larme et sans poser de question me serra contre lui. C'est ace moment que je me sentit enfin en sécurité. Son souffle chaud effleurait mon visage tandis que sa main me caressais mes cheveux en broussailles. j'avais un peu honte de m'être effondrer en pleure devant lui. Ma mère m'a toujours apprit a rester « digne »dans toute les situations. Mais cette fois ci je savait que je pouvait lui faire confiance pour ne pas me juger. Apres un long silence il me chuchota :

« Que c'est il passée? »

« J'ai vue des choses... dans la foret . » répondis je encore bouffis des larmes ayant coulé sur mes joues

« quelle chose marie ? »

« je ne saurais dire... Un homme je pense qu'il m'observait ... Et il y avait cet homme ensanglanté ...Et mon chien... » répondis je très confuse.

« je ne sais ce qui c'est passée mais on m'a raconter des choses sur cette foret je demanderais a mon père d'envoyer une patrouille pour éclaircir ce mystère. »

il ne comprenais pas la gravité des choses. Il n'avait pas vue ce que moi j'avais vue. mais la moindre parole me demandai un effort surhumain. j'étais exténuée .il reprit :

"je vais t'emmener a ton chevet et je serai la a ton réveil, tu es en sécurité ici."

 Je ne connaissait plus le mot sécurité dans ce château . Mais ces  paroles était si apaisante que  Je vis pour la première fois Francis. Pas le Dauphin,non, Francis. Cette Personne me faisait rougir a chaque fois que je la voyait, faisait battre mon cœur a la chamade et me donnait les mains moites . Était ce ça l'amour ?

Il me prit la main et m'escorta jusqu'à ma chambre. Ce geste représenter beaucoup pour moi. Ressentait t-il la même chose a mon égare ou avait il juste pitié? Tant de questions qui trottaient dans ma tête. Je n'arrivais plus a réfléchir clairement. Était ce du au fait de la fatigue et des horreur que j'avais vu ou simplement la delirance que  Francis me provoqueait a chaque fois que je plongeais dans ses yeux? Et voila encore des questions. La fatigue m'emportait et il me fallut toute la volonté qui me restait pour me hisser jusqu'à mon lit. Un lit, voila longtemps que je n 'avais pas dormis . Comme un nouveau né, Francis me bordait et déposait un baiser léger sur mon front mais déjà le sommeil m'envahissait...