Reign: le destin de Marie reine d'Ecosse

Dures verités

J'avais peur... et le seule qui pouvait me réconforter ne voulait plus me voir. Mais pourtant j'avais tellement besoin de lui.  J'avais tellement besoin de ses bras, de son odeur, de sentir ses cheveux bouclé me caressant le visage...il fallait que je le vois ! Je devais tout lui expliquer, mes doutes, peurs, mes manigances. qu'est ce qui pourrait bien m'arriver de pire. J'ai bien compris à mes dépends que le mensonge ne résous aucun problème, au contraire il en est le créateur. Un élan de courage m'envahissait. je marchais précipitamment d'un pas décidé aux appartements de François. La porte était la...  à quelques mètres.... voudrait-il m'écouter ? il le fallait.  le garde me fit signe de ne pas passer. et dit

" Le dauphin à demandé qu'on ne le dérange pas". Étrange ce n'était pas dans ces habitudes ils était plutôt disponible a toute heure.

"Je suis marie reine d'Écosse, la future épouse du dauphin, je vous ordonne de me laisser passé."

Il s'écarta pour me laisser le passage. J'ouvrit la porte énerver qu'on me refuse ainsi le passage. Mais ce que je découvris était pire que tout ce que j'avais vécu a présent.

François était en train d'embrasser une autre femme. je restais la stupéfaite de ce spectacle horrifique. Je n'avais même plus la force de quitter cette pièce. François tourna la tète et me vis, les larmes aux yeux,il repoussa violemment la servante qui lui servait de maîtresse et dit expressément en recoiffant ses long cheveux:

"Mary, attends je vais t'expliquer..."

"Pas la peine j'ai tout compris" dis je en sanglots en sortant et claquant la porte derrière moi. Tout mes autres problèmes me semblais maintenant tellement  futile, je n'avais jamais eu aussi mal, je courus vers ma chambre afin de me réfugier sous les draps pour que personnes ne voit dans qu'elle état j'était. Mes joues bouffies par les  nombreuses larmes salées sur mon visage me tiraillais la peau, tandis que mes jambes ne demandaient qu'à lâchées prise. Je me jetais sur mon lit et pleurais. 

On toqua à ma porte. Qu'on me laisse tranquille j'avais besoin d'être seule, je ne répondis pas.

La porte s'ouvrit qui osait  rentrer dans mes appartement sans y être invité.

Je leva la tete pour savoir qui était ce. François.

"Vas t-en..." bredouillais-je.

" Ne me chasses pas... " dit il en s'accroupissant a mon chevet. Il reprit:

"Tu m'as trahit, humilié, mentit, je te détestais autant que je t'aimais et ma servante avec qui j'ai déjà fait la cours au par avant était la compatissante... et tout est allé si vite,  au fond de moi je voulais te faire du mal comme tu m'en avais fait." Me dit-il honteux.

Je me releva essuya mes larmes et lui dit:

"Alors notre relation va devenir comme ça pour toujours, je vais te faire du mal et tu vas m'en faire... je croyais que nous avions cette chance que peu de roi et de reine ont... l'amour ! Mais apparemment tu tenais beaucoup moins a moi que moi pour toi... J'ai été tellement stupide"

" C'est moi qui suis bête ! Tu es tellement têtue , tu ne vois pas que malgré tout ce que tu as fait je t'aime un peu plus chaque jours" me dit il en me criant dessus. je n'arrivais pas a y croire, il m'aimait après tout ce que je lui avait fait subir, j'avais l'impression de perdre pieds tout se brouillait.

Tout en me criant dessus il se rapprocha vers moi

" tu me fais sentir faible et je déteste ça, j'ai toujours peur pour toi, je prends des risques inutiles a la France pour toi et pourtant ..."

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase que je prit les devant et l'embrassa fougueusement. je ne me saurait jamais sentit capable de faire ça, d'ailleurs cela ne se faisait pas mais qu'importe. il me rendit généreusement mon baisé. J'était enfin heureuse tout mes soucis s'effaçaient. II me chuchota  après un long et tendre baisé:

 "Ne nous faisons plus de mal."

"Je suis d'accord" dis je en l'embrassant. Ça y est je devais tout lui dire pour que notre relation fonctionne. Comment allait-il le prendre?

"François j'ai quelques chose a te dire..." dis je d'une voix tremblante. il me souriait pour me rassurer.

Je lui dit toute la vérité ce que javais découvert, la petite fille enfermée , Nostradamus... a mesure que je lui racontais tout il me serrait de plus en plus fort la main avec compassion, comme pour me dire "Ne t'inquiète pas je te protégerai maintenant je suis avec toi. "

J'en vain a parler de me suspicion de son demi frère Bash. son regard changea d'expression, il me lâcha la main et me dit en se levant brusquement:

"Pourquoi tu ne me l'a pas dit? j'ai le droit de savoir" Me dit t-il furieux.

"Je n'était pas sur, et javais peur que tu souffres" 

"Ce n'est pas a toi de DÉCIDÉ!" dit t-il fou de rage

"Mais je..." il avait raison.

"Je ne veux pas entendre plus je dois m'expliquer avec mon père!"

Il sortit de la salle furieux en claquant la porte.

Je lui avait tout dit... mais à  quel prix?