La lettre

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" Comment allons nous faire François ?"
" Je vais parler à mon père pour essayer de lui faire entendre raison."
"D'accord reviens vite je ne supporte pas d'être ici seule"
" Promis!" Et sur ce dernier mot il m'embrassa sur le front.
De nouveaux j'étais seule mais peu longtemps puisque mes 4 dames de compagnie et amie vénèrent me voir.
Elle se dirigent tout 4 vers moi afin de m'enlasser.
Lola me dit :
"Oh Marie, nous sommes au courant de tout. Nous savons que tu n'a rien fait de tel que nul était ton envie de nuire à la France et surtout pas François !" Elle m'enlassa encore plus fort en pleurant.
"Nous avons reçu une lettre de ta mère qui nous a été donné par un écossais". Me dit kenna .
Devais je la lire ? N'étais ce pas ces lettres qui causait ma situation ?
Je décidais de la lire malgre toute la rancœur que j'avais à son égard à cet instant . Que pouvait ont me faire dr plus que ce qu'on me réserver dans 5 jours? Et si je ne reverrai plus ma mère afin de lui faire mes adieux je peux tout de même lire ses derniers mots qui m'était adressée. Je pris la lettre que me tendait kenna et l'ouvris tremblotante :
"Ma chère Marie... "
Ah c'est mots mon cœur vasilla, je me rendis compte en Lisant c'est premiers mots de ces derniers mots que se serait les seuls mots de ma mère que j'entendrais d'elle. Je verse quelques larmes qui viennent tachés l'encre du papier. Je me rends compte que malgré tout le mal quel a pu me faire je l'aime autant qu'il se peut qu'une fille aime sa mère. Je continue ma lecture :
" J'ai ouïe dire par un de mes espions que le roi t'a arrêté pour haute trahison. Ainsi ce sont mes lettres la cause, j'en suis désolée." Ce mot je l'avais tant attendu de la part de ma mère. Une larme tombe sur la feuille et je lis la suite :
" Cependant si tu avais deigné me répondre, je n'aurai pas eu besoin d'envoyer c'est dizaines de lettres de rappel."
Là je la reconnaissais.
"Il est bien évidemment pas concevable que le roi t'execute."
Trop de gentillesse !
" Malheureusement une guerre avec notre seule armée serait insuffisante et la France nous ecraserai et nous finirions toute deux la tête coupée. Je pense que l'armée de Henri et déjà en marche pour attaquer l'Écosse après cet affront. J'ai demandé de l'aide à tout les pays voisins aucun n'a daigné vouloir nous aider pour affronter la France. Cependant, l'Espagne s'engage à te libérer et prendre part a la bataille de notre côté. J'ai donc vivement acceptez puisque sa simple conditions étant seulement ton mariage avec le prince d'Espagne, Carlos. l'Espagne et déjà en route afin de te libéré elle sera à la cours de france dans 3 jours. Je t'embrasse ta mère Marie de Guise."
Je laissai tomber la lettre à mes pieds. Je m'asssis sur le sol froid et humide, abasourdi. Mes dames de compagnie de regardèrent. Aylee prit la lettre au sol et la lu. À la fin elle me regarderent et m'enlasserent ensemble une nouvelle fois sans un bruits, sans pleurs. Juste un silence bruyant, assourdissant.
Après de longues minutes Greer cassa ce dernier.
Et dit : "que va tu dire à François ?"
Cette question résonnait comme une question sans réponse. Que pouvais je dire ? Je n'en savais rien moi même.
Comment allait il réagir ? Serait ce la guerre pour venir me libéré ? Des centaines de mort juste Pour ma personne. Cette idée me faisait horreur je ne vallais pas plus qu'une autre personne ! Et moi me marié avec ce prince que je ne connais pas ? Comment cet événement aller changer ma relation avec François, avec la France...
Même si en dévoilant à François le plan de ma mère il risquait de le dire au roi et de faire rater mon évasion je devais lui dire il le fallait,
plus aucun mensonge entre nous jusqu'à la fin...

Reign: le destin de Marie reine d'EcosseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant