condamnation !

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De retour à la cours  encadrées par 8 gardes je me dirigeais vers les cachots déboussolées, je regardais autour de moi un visage qui pourrait m'expliquer la raison de mon arestation. Les personnes croisées sur le chemin me regardaient et chuchotant visiblement sur moi  comme si je les avais trahis. Mais la seule faute que je m'explique à ce moment la étais ma fuite et elle n'était pas aussi grave pour causer une arrestation souveraine !  Je vis à ce moment mes dames de  compagnie. Elles me  regardèrent avec peur et incomprehension. Les gardes me pousseront  et je dues les laisser .En m'enfermant il prendrais le risque de déclencher une guerre contre l'Écosse. Nous perderons sûrement la guerre vu le nombre de nos bataillons mais ma mere pense bien peu au nombre d'hommes écossais qui perirons et ne retrouverons jamais leur famille. Et la mienne, allais je la retrouver un jour... Rien n'étais plus sur.
Un garde m'ouvrit la porte du cachot j'avançais et il claqua violemment la porte dans un bruit assourdissant. Me retrouvant  seule, dans le noir je regardais autour de moi comme si je pouvais m'échapper de ce cachot. Il y faisait froid. Je m'enveloppa un peu plus dans ma cape et m'assis sur le sol. Les pierres étaient glacées. J'appercus un repas qui avait été préparé. Manger . Mon ventre se mis à grogner ça faisait bientôt 36 heures que je n'avais rien mangé. Tout ces événements m'avais fait oublier la faim pour me concentrer sur ma survit. Je me precipitais pour prendre le plateau et prit le pain. Celui ci était dur comme de la roche. J'essayais de le tremper dans ce qui ressemblait à de la soupe. Je n'arrivais pas à identifier quels ingrédients il y avait. La quantité d'eau de mer salé avalée lors du  naufrage m'avait privé de tout sens gustatif. Tant mieux elle me permettrait de pouvoir manger cette soupe sans vomir.
Après, avoir mangé ce festin, je m'assoupis tant bien que mal sur ma cape encore trempée.  Je fus réveiller par le loquet qui s'ouvrait de la porte du cachot, etais ce François pour me réveiller de cet horrible cauchemars ? Rentra alors, le roi Henri , je me relevais péniblement malgré mon corps endoloris. Il s'avança vers moi et me dit :
"Vous pensiez pouvoir nous échapper ? Marie, Marie, Marie... si jeune,si belle est pourtant déjà si mesquine. Vous feriez une excellente reine si vous en aviez encore l'occasion !"
Que voulait dire cette dernière phrase. Je suis reine! Je m'exprimais du plus clairement que mes cordes vocales puissent dorénavant.
"Est ce un crime de vouloir rejoindre son pays afin de retrouver la place de reine qui m'ai dû et qui n'existe pas pour moi en France ! Je ne suis qu'un pion dans votre jeu!"
"Oh! Non marié vous n'êtes pas qu'une pionne, vous êtes bien plus intelligente d'après les correspondances que nous avons put intercepté avec votre mère !être une espionne et fuir pour aller révéler nos secrets à votre mère est effectivement un crime de hautes trahison !"
Je compris tout ce qui venait de ce passer depuis c'est dernieres heures ! Les lettres de ma mère avait était intercepté ! Je pensais que ma mère avait cessé ses manigances puisque je ne recevais plus ses lettres, mais non elles avaient tout simplement était intercepté par le seul récepteur qui ne devait absolument pas lire celles ci. Je n'ose imaginer le contenue de ces lettres. Tous les unes que les autres plus manipulatrice que la précèdentes. Tout avais été mise au grand jour. J'essayais de me défendre :
" Sir, je vous assure que je ne suis en rien complice de cette manigances!"
"Vous me dites que vous n'êtes en rien au courant de ces lettres ?"
"Si, mais..."
"Comment avez vous pu, nous vous offrons un royaume et comme remerciements vous nous super avec votre diablesse de mère !"
"Laisser moi vous expliquer..."
"Nul besoin de vous expliquer,c'est très clair. Par les pouvoirs qui me sont conféré en tant que souverain de cette terre je vous condamne pour haute trahison, vous serez exécuté dans 5 jours."
Ce mot "exécuté" sonnait comme une massue dans mon crâne.
Comment en étais je arrivé la ? Qu'allais je devenir ?
Je ne pouvais plus réfléchir... Le roi repris:
"Par ma sympathie pour vous, je vous permet de faire vos adieux à François qui c'est attaché à vous et à vos courtisane. Remercier moi de ma clémence. Bien sur il vous sera impossible de dire au revoir à votre mere "  Sur ces mots il claqua la porte du cachot, le garde devant la porte la ferma, je me précipitait a la fenêtre à bateau qui me laissait entrevoir le dehors du cachot en criant :"écouter moi, je suis inocente, je suis inocente !!" C'est derniers mots se mélangeaint a mes sanglots. Le roi ne deigna même pas se retourner,
me laissant seule  dans l'obscurité et le froid de ce cachot. Mes jambes vacillerent et je me retrouvais au sol seul pleurant cette injustice.
Francois ouvrit la porte du cachot peu après la visite du roi. À ma vu, nous nous précipitons l'un vers l'autre et  nous nous embrasons. Ce baiser était si intense... Il disait tellement de chose que seul nous pouvions comprendre. Il signifiait combien nous étions désolé de nous avoir fait autant de mal, comment nous avions peur de cette situation mais surtout combien nous nous aimions... Il était tout pour moi, et j'allais le perde. En terminant ce baisait il me serra dans ses bras et me dit:
"j'ai essayé d'expliquer à mon père la situation que tu n'y étais pour rien que c'était ta mère l'organisatrice de ce complot. Il ne voulait rien entendre. Il m'a dit qu'il avait interceptée récemment de nouvelles lettre de ta mère. Je lui ai répondu que c'était impossible  car tu avais mis fin depuis longtemps à ces correspondance et que je le savais". Je m'ecartais et lui dit en baissant les yeux.
"Je pense que ton père à raison." Il me l'achat les mains en me regardant suspicieusement. Je repris très vite afin de lui expliquer
" Ma mère a bien envoyé des lettres mais je ne les ai pas reçu et quand bien même je les aurai reçu je n'aurai pas répondu, je ne peux pas te trahir !" Il me sourit et me dit
"Je te crois, je te fais confiance. Mais mon père ne veut rien entendre... Oh Marie ! Je ne peux pas te perdre..."
Je l'embrasse en pleurant, en n'ayant plus aucun espoir...

Reign: le destin de Marie reine d'EcosseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant