Reign: le destin de Marie reine d'Ecosse

L'echapatoir

Erant dans les long couloir je ne savais que penser. Il n'y avait aucune place pour moi. Ni en tant que reine de France et encore moins en la compagne de François. Il m'étais insurmontable de rester ici. En marchant sans but je regardais autour de moi et chaque détail me remémorait un souvenir que je souhaitais oublié. Les complots, les meurtres et l'amour... Ce dernier me terrifiais encore plus. On ne voulait pas de moi ici ? Et bien soite! Je dois partir. En n'essayant de ne pas penser une seconde aux conséquences de mon départ, je me rendis dans mes appartements ou je fis ma valise. Je mis un châle pour que mon visage sois caché afin qu' ont ne m'appercois pas partir. Je demandais à un garde que je soudoillais gracement de préparer un cheval et de preparer un bateaux avec des hommes pour me ramener en écosse. Il se mit en route dans le plus grand des secrets. En attendant que les préparatifs de m'ont départ soit fini je m'asssis sur mon lit et regretta de ne pas pouvoir en parler à mes amies. En effet, elles auraient tout fait pour m'empêcher de partir. Je les ferai rapatrier rapidement en écosse. J'espère qu'elle me le pardonneront. Je devrai aussi me préparer à affronter les foudres de ma mère en me voyant revenir. Mais qu'importe mon pays me manquait et la France voulais me voir partir. Il ne restait plus que cette solution.
Le garde Que j'avais soudoillé il y a quelque minutes revint pour m'annoncer Que tout étais prêt. Je regardais une dernière fois mes appartements avec nostalgie puis partie sur ses pas discrètement. Heureusement il était l' heure de souper et nous ne rencontrions que peu de monde entre mes appartements et l'écurie. Soudain juste avant le départ je vis Greer sortir de l'écurie. Je fais signe à mon garde de venir se cacher prestement derrière une bote de foin. Greer se retourna vers la bote de foin semblant avoir entendu un bruit. Je retiens ma respiration et mis la main sur la bouche de mon garde afin qu'aucun bruit ne sortent. Greer se rapprocha, tandis la main vers la bote de foin... Mon cœur s'accélèrais. J'étais perdu Greer aller tout découvrir et m'empêcherai de partir. Soudain un rat sortit du foin. Greer poussa un cri de surprise puis eu une mine amusée. Elle se retourna et partit. Vite c'était le moment, je court vers le cheval puis lui donna de grand coup de pieds et nous voilà partit. Pour ne pas être vu nous primes la forêt. Il ne fallait pas se retourner. Le cheval galopais si vite que je ne voyais pas où j'allais. A travers arbustes et buissons, leurs branches ecorchais mes jambes. Je ne savais pas où j'allais. Après 1 heure de course effrainait je vis au loin un village. Épuisée je décide de prendre une chambre afin de me reposer. Je n'étais pas très loin du château, les villageois ne devait pas le reconnaître de peur qu'il me dénonce coupable de fuite. Je baisse la tête et demande une chambre. Le serveur m'accompagne dans une des chambres qui s'apparente plus à un bordel qu'à une chambre mais la fatigue était telle que j'aurais put dormir à même le sol. Je m'allonge et m'endors tres vite. Le chant du coq me réveilla. Je regardais autour de moi. Rien ne ressemblais au château de France. Une certain nostalgie m'envahit. Je me reprend très vite et me souvient de la façon dont on me traitait. Je remis alors mon châle et partit de ce taudis. Mon garde m'attendait dehors et nous repartons chevauchée en direction du bateau qui m'enmenerait dans mon pays.
J'arrive au bateau et descend de mon cheval. Le bateau est prêt l'équipage de même. En montant sur la cale, qui me permettait de monter sur le navire, je regarde derrière moi. Le port étais remplis de pêcheur voulant vendre leur poissons pêchés d'une semaine. Les gens paraissaient heureux. Mais toute ma pensée se porte sur les moments merveilleux passés avec François. Je l'aime, mais ce n'est pas suffisant. Avec le cœur lourd je monte sur le navire et la calle qui lie François et moi se retira, pour me laisser seul. Le bateau prit le large je regarde la terre qui m'avait accueilli durant un long moment. Une larme coule de ma joue. Puis je me retourne en direction de l'ecosse...